Neko rare et maso recherche maître (pv : Neifel) [terminé]

Une cage. Petite, froide, avec des barreaux pas très agréables au toucher bien que fins. Non, ils ne sont pas fragile, loin de là. Même monsieur Muscle aurait du mal à les briser. Mais bien entendu, les hybrides ne restent pas toujours enfermés. On les sort pour les montrer à des maîtres. Et dès que deux êtres sortent de leur cage et se croisent, un combat commence, le but étant d'amocher l'autre afin qu'il reste pourrir ici. Enfin, c'est uniquement le point de vue de Haiiro. Et elle, on ne la sortait que très rarement depuis la mort de son précédent maître. Elle était vraiment si effrayante que cela ? Ce meurtre, commis par un inconnu, n'était pourtant pas inscrit sur sa pancarte. C'est vrai, il n'y avait que les informations nécessaires.

Nom : Haiiro
Race : Neko (gênes de Felis Margarita, espèce rare)
Age : 20 ans
Particularité(s) : Masochiste soumise, cette Neko accomplira toutes vos demandes

Non, rien ne disait qu'elle avait tué quelqu'un. Et puis Haii n'avait jamais tué ! Certes elle avait déjà volé (bien que ce ne soit pas précisé) mais jamais tué, volontairement ou non. C'est horrible de tuer ! Et puis pourquoi aurait-elle tué un maître avec lequel elle avait tout ce qu'elle désirait ? Non mais il faut réfléchir un minimum parfois franchement. Oh, la porte de la cage qui s'ouvre ! Un maître pour elle ? Ah non, on lui offre juste ses dernières heures. Pourquoi ? Il y a deux jours le vendeur à dit que si elle n'était pas vendue avant la fin du mois elle serait piqué. Mais Haiiro savait qu'avant, le vendeur en profiterait. Pas grave, c'est une belle mort selon l'hybride. Un autre hybride passa, prêt à partir pour l'adoption. Première envie de la jeune Neko : se battre. Elle était poussé par l'envie de voir ses congénères moisir ici. Si elle ne trouvait pas de maître, pourquoi eux en trouveraient-ils un ? Mais elle fut stoppé par le tintement de la cloche de la porte. Direction la cage puis on la referme. Il fallait rester présentable pour espérer avoir un maître.

Nombre de messages : 42 Age : 31 Date d'inscription : 15/08/2010

Le jeune homme était à la recherche d’un nouveau jouet, mais un jouet qui ne se rebiffe pas, un jouet avec lequel il n’aurait pas d’ennuis. Un jouet nommé hybride. Ainsi le jeune homme avait prit une petite voiture de ville, le genre de voiture a son image : classe. Le jeune homme l’avait faite modifier. Ainsi de l’extérieur ce n’était qu’une voiture banale de couleur noire, possèdent des vitres teintées. L’intérieur par contre était bien plus classe à son image. Banquette en cuir blanc, tableau de bord en bois précieux ainsi que le volant. Oui, c’était un petit bijou de classe. Un bijou que personne n’avait le droit de toucher sinon, les conséquences seraient terribles. Vraiment, vraiment terribles…

Le jeune homme se gara donc à deux pas de sa destination : L’animalerie. Sortant doucement il ne lui fallut que quelques petites minutes avant d’atteindre son but. Il poussa délicatement la porte de l’animalerie. Il ne prit pas la peine de se découvrir, mais salua les vendeurs, sachant que cela lui faudrait sans doute une bonne remise. A que c’était beau de pouvoir manipuler les gens, à sa guise et a leur dépend.
Enfin il fallait quand même étudiez la marchandise, c’était quand même pour cela qu’il était venu. Il jeta donc un œil sur les hybrides. Analysant ce que ceux-ci fallait. Il exclut directement les hommes, car il ne voulait à son service que des femmes. Puis chassa de son classement les jeunes filles de moins de dix huit ans car trop fragile, elle ne pourrait pas résister à ses traitements. Il ne restait donc pas grand-chose. Et puis son jugement était dur, voyant le moindre défaut, le moindre problème. Il ne restait donc que deux candidates en liste. Une était kitsune. L’autre inu.
Finalement le jeune homme fut tiré de ses pensées, se demandait qui ou qu’est ce qui osait le déranger. Il s’avança donc vers le fond de l’animalerie ou se trouvait une cage qu’il n’avait pas eut l’occasion de voir. Il regarda donc son contenue, ne lui voyant pour l’instant pas de vis de forme. Il se rapprocha donc, drapé de cette élégance qui le caractérisait. Il lut l’inscription avec un être tout à fait neutre. Et pourtant il ne pouvait pas s’empêcher de penser que cette jeune femme serait un parfait diamant. Une fois taillée… Car une gemme n’est rien sans le joaillier qui la travail. Il se tourna donc vers la jeune femme. Se mettant à genou, avant de prendre la main gantée de la jeune femme et de la porter a ses lèvres.

- Bonjourno bella ragazza. J’aimerai faire de vous mon hybride. Est-ce que cela vous direz de m’accompagner. De laisser cette cage et de me suivre dehors, loin de cet endroit puant. Je suis sur que vous vous plairez chez moi. Après tous, je vous en vous. Vous êtes une jeune femme qui n’a pas sa place ici. Vous êtes bien trop racée pour habitait dans une cage aussi minuscule.

Le jeune homme sourit donc, sachant pertinemment que la jeune femme ne résisterait pas à cette proposition. Il en était sur. Elle partirait avec lui. De toute façon elle n’avait pas le choix. Elle le suivrait comme une bonne esclave qu’elle était. Il pouvait voir dans ses yeux. Une petite dominée, ne pouvant se passait d’un maitre. Mais, elle avait quelques choses de plus. Il ne savait pas quoi par contre. Mais il le découvrirait bien…

Haiiro se trouvait tout au fond de la boutique. Aucune chance qu’on la remarque me direz vous. Bah, il ne lui restait que le mois à vivre alors qu’elle trouve un maître ou non, ça changerait quoi maintenant ? Pourtant, elle ne put s’empêcher de frapper du poing contre les barreaux de sa cage. Mais l’hybride ne pensait pas que ce simple coup ferait un tel vacarme ! Un autre coup donné dans la cage, coup de pied du vendeur cette fois si.

*Oh ça va, pas fais exprès ! Idiot…*

Non, il ne faut pas dire cela à voix haute sinon c’était fichu et la neko savait qu’elle pourrait dire adieu au jeune homme qui s’approchait justement. Ce charmant garçon lui prit la main droite, celle au gant montant. Il alla jusque qu’à lui proposer de le suivre. Haii regarda attentivement les mains gantées de blanc qui avait prient sa main gantée de noire. Très beau contraste. Le jeune homme lui adressa un sourire, comme s’il voulait l’appâter. Mais la demoiselle était plutôt d’humeur à jouer ou pour être plus correct, d’humeur à dévoiler ses talents. C’est pour cela que la belle prit la main droite du jeune homme dans ses deux mains.

- J’aimerai tellement sortir d’ici avec vous ! Cet endroit ne me convient plus ! Et comme vous l’avez dit vous même, je suis trop racée pour cette cage. Mais cela fait longtemps que je n’ai pas pu sortir.

Tout en lui parlant pour détourner son attention de sa main, elle en profita pour lui retirer discrètement son gant. Puis Haiiro lâcha la main droite désormais nue du jeune homme qui se trouvait face a elle et elle agita doucement le gant devant son propre visage.

- Je crois que ceci vous appartient non ? Mais je me range, je ne vole rien à mes maîtres sauf pour les amuser et donc leur rendre leurs effets.

C’est vrai, l’hybride sortait ce petit tour à son ancien maître et elle lui rendait toujours ce qu’elle lui prenait. Sa vie de voleuse était terminée, seul un maître pourrait le lui ordonner maintenant.

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Le jeune homme observait la réaction de la demoiselle, il ne savait pas si celle-ci était vraiment charmé ou si celle-ci se moquait de lui en trompant ses sens de manipulateur. Dans tous les cas le jeune homme trouvait vraiment cette proie intéressante. Elle avait le même discours que lui, le genre de discours qui vous manipule. Ce timbre de voix, oui, il était comme le sien. Il était donc fait de la même matière, celle des êtres qui sont supérieur. A un détail prés, elle était son jouet, il était son maitre. Elle avait besoin de lui pour vivre, pour exister alors que pour lui, elle n’était qu’un jouet.

Le jeune homme ne l’avait même pas remarqué, mais cette jeune hybride avait en main un de ses gants. Lorsque le jeune homme la regarda, il soupira repris son gant et commença à dire.

-Voila une chose vraiment intéressante. Oui, tu as un don dans le domaine du vol a la tir, mais je te demanderais de ne plus jamais faire cela en ma présence. Vois-tu petite fleur, le vol est une activité que je ne supporte pas. Il n’y a aucune beauté, aucune classe à voler. Hors, c’est la classe qui détermine ce que nous somme. Tu as compris ?

Le jeune homme durant tous le temps de cette explication avait passé sa main encore gantée. Il sourit donc, passant délicatement le gant en soie sur le visage de la jeune femme. Provocant une espèce de frisson incontrôlable de sa part. Tout le long des explications. Soit une petite dizaine de seconde avant que le jeune homme ne brise celui-ci frappant la tête d’une petite tape bien sentit, coupant se moment assez étrange. Il sourit donc avant de dire a cette jeune femme.

-J’espère que tu m’obéiras hybride, car tu m’appartiens. Tu es un joyau, mais tu as besoin d’être tailler. Et je suis celui qui le verra. Je serais exigent, dur, sans pitié mais je ferrais de toi, la plus belle gemme qui puisse exister. Je peux faire cela de deux manières. Une que je serais sans doute le seul a apprécié. Ou alors, je le verrais dans tes larmes. Des larmes de souffrance. Mais pas celle que tu aime. Au crois moi, non. De toute façon tu n’as pas le choix non ? Tu es mon esclave ? Alors vins, Nous allons choisir ensemble de quoi t’habiller. Je veux bien sur parler de ton collier. Cette seule chose qui sera vraiment indispensable. Car il sera la preuve que tu m’appartiens.

Etrangement la voix du jeune homme n’était pas dut tout inquiétante. Et pourtant tous aurait put faire peur dans ses propos. Mais ce n’était pas le cas. Le jeune homme était doux, presque chaleureux, dut moins c’était ce que l’on pouvait imaginer. Il eut un petit sourire avant d’ouvrir le loquet de la cage. Lui prenant délicatement la main pour la conduire jusqu'au rayon des colliers et des laisses. Le jeune homme sourit quelques temps avant de demandé à la jeune femme.

-J’espère que tu as déjà une idée de ce que tu va porter ma belle. Car je déteste attendre. Ainsi, choisi vite. Choisi ce qu’il te plait. Mais surtout ce qui peut me plaire. Je pense que si tu fais cela tu sera bien récompensé. Mais, sinon, je te garde une mauvaise surprise. Une très mauvaise surprise. Il sourit donc, attendant les choix de la jeune femme, et réfléchissant déjà a ce pourrait être cette surprise. Même s’il en avait déjà une idée.

L’hybride écoutait attentivement le jeune homme qui lui caressait doucement le visage et elle en frissonna doucement. Non mais c’était quoi ce maître tout gentil ? Ah non, premier signe : une tape. Ce n’était pas vraiment ce que Haiiro voulait mais seulement elle ne savait pas encore ce qui l’attendait. Bon, elle avait interdiction de voler en présence de son maître donc autant dire que le vol était totalement banni. Pas grave, elle pourrait jouer de sa souplesse. La souplesse, l’équilibre donné par la queue : tout cela était un bon point pour son maître non ? C’est alors qu’il compara l’hybride à un joyau qui devait être taillé. En d’autres termes, elle serait unique, taillée rien que pour lui. Voilà, ça c’est dit. Le mot «souffrance» fit réagir la Neko. Ses oreilles remuèrent doucement, sa queue fouetta l’air. Ainsi, il n’était pas si doux qu’il en avait l’air ! Il voulait faire bonne impression au vendeur ou à l’hybride ? Très bonne question !

Quoi qu’il en soit, il parla de lui prendre un collier et il ouvrit sa cage avant de la prendre par la main. Direction le rayon des colliers et laisses ! C’est alors qu’elle apprit que son maître n’aimait pas attendre. Et jeta un rapide coup d’œil aux colliers face à elle. Haiiro jeta rapidement son dévolu sur un collier de couleur noir orné de petite chaîne. Sa queue remuait doucement tandis qu’elle cherchait une laisse pour aller avec. Et, bien entendu, elle fut très rapide pour choisir une laisse qui avait tout de même de la classe. De toute façon, le noir c’est toujours classe !

- Mon choix vous convient maître ?

Oui, autant prendre tout de suite les bonne habitudes.

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Le jeune homme fixé la jeune femme, observant ainsi chaque réaction chaque mouvement. Comme s’il voulait deviner chaque pensée de sa futur œuvre. Ne voulant pas dénaturé le joyau, car chaque gemme doit être modelé de façon unique, sinon on ne faisait jamais ressortir entièrement sa beauté. Il sourit donc, voyant que lorsque le mot souffrance fut dit, la jeune femme semblait beaucoup plus réceptive. Oui, il avait lut sa fiche, mais ce n’était pas ce genre de souffrance. Un genre beaucoup plus pervers mais elle le découvrirait bientôt, si elle ne lui obéissait pas. Mais ce n’était pas vraiment pressé, il devait prendre son temps pour faire un bon travail.

Le jeune homme sourit avant de lui donner une violente claque dans le dos. Souriant toujours avant de frôler la peau déjà rouge, ayant crut entendre un léger cri. Hum, connaissant la jeune femme ce n’était peut être pas faux. Mais il fallait qu’elle comprenne. Ce genre de douleur serait sa récompense. Il se rapprocha donc de la jeune femme avant de lui glisser a l’oreille.
-Comprend moi bien, ce genre de souffrance sera ta récompense, si tu es une bonne esclave. Si tu te comporte bien. Mais, au moindre écart, je serais sans pitié. Et ce genre de douleur j’en suis sur, ne te conviendrait pas. C’est compris ?

Le jeune homme était pour l’instant satisfait de son esclave. Elle avait était vite, comme il le voulait même si en réalité attendre ne le déranger pas, ce qu’il voulait c’était surtout tester les réactions de la jeune femme. Savoir comment elle se comportait pour pouvoir en tirer des leçons. Et ce test fut riche en renseignement. Déjà, elle avait dut gout, cela se voyait par les articles qu’elle venait de prendre. Un collier en cuir, de la couleur de la nuit, un vrai classique pourtant la chaine qui l’ornait plaisait au jeune homme. Il ne savait pas si elle l’avait choisi consciemment ou pas. Dans tous les cas celle-ci était un beau symbole de sa nouvelle condition. Ainsi qu’une laisse comme il les aimait : pur cuir teint à la main, et noir bien sur. Oui elle avait bon gout. Très bon gout. De toute façon, si elle n’en avait pas eut. Elle serait retournée illico dans sa cage. Mais ce n’était pas vraiment cela qui lui avait plut. Non, c’était le mot maitre. Ainsi, elle l’avait déjà reconnut en temps que t’elle. C’était une bonne chose. Une très bonne chose pour lui, comme pour elle d’ailleurs.
Le jeune homme lui prit donc la laisse avant de s’en servit de la façon la manière la plus naturelle possible pour lui. Il s’en servit donc comme une douce récompense, la courroie de cuir léchant avec violence le dos de la jeune femme. Mettant sa main encore gantée sur sa bouche pour retenir un probable cri de surprise ou de douleur. Il lui prit donc le collier. Lui mit au cou le serrant au maximum, avant de le desserrer doucement pour éviter que son joyau ne s’étouffe. Pourtant il fit en sorte que son collier soit coller a son cou, pour que jamais elle ne l’oubli. Elle était sienne désormais. Elle était a son service, et ne jamais le contredire. Ce ne fut qu’une fois ceci fait, qu’il se décida à répondre.
- Oui, cela me convins. Mais je pense te l’avoir montrer non ? Mais ce n’est qu’un avant gout. Si tu te comporte bien tu auras ce genre de chose récompense fréquemment. Mais, fais attention si ce n’est pas le cas. C’est compris ?

Haiiro fut surprise du coup dans le dos que lui donna son maître et du se mordre la lèvre inférieure pour retenir son cri de douleur et de surprise. Sa queue fouetta vigoureusement l’air. Son cri avait sûrement été entendu bien que léger. Son murmure la fit frissonner et sa queue de félin fouetta une nouvelle fois l’air. Lorsque l’hybride vit son maître lui prendre la laisse, elle ne se doutait pas une seule seconde de qui l’attendait. Un coup dans le dos. Et de deux ! Mais cette fois, l’humain avait prévu son coup en l’empêchant de lâcher un cri. Mais la que de la demoiselle fouetta encore une fois l’air. Finalement, ce maître n’était pas aussi gentil qu’il y paraissait et Haii aimait ce maître dans sa manière de faire.

Il finit par lui mettre le collier, le serrant d’abord au maximum, la bouche grande ouverte, la jeune femme cherchait de l’air, cette chose lui coupait la respiration. Mais elle se retint de porter ses mains à sa gorge pour desserrer je collier d’elle même. Interdiction, surtout quand un maître met un collier en place ! Une fois le collier en place, il lui annonça alors que son choix lui convenait, lui expliquant que ces coups serait sa récompense mais que cela serait pire si elle n’obéissait pas. Un frisson parcourut le dos de Haiiro qui se demandait bien ce qu’il lui arriverait si elle désobéissait. C’était assez tentant, il faut bien l’avouer. Mais pourtant, elle accorda une réponse simple.

- Je comprends maître.

L’hybride remut doucement les oreilles, attendant les ordres comme une brave esclave.

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Le jeune homme souriait doucement, laissant la jeune femme à ses cris. Il savait bien que ce genre de chose était pour une jeune femme de son genre, une bonne chose. Et puis lui il aimait particulièrement ce genre de cri. Car, c’était la preuve qu’il a le pouvoir, qu’il domine les gens. Qu’elle s’est soumis à sa liberté. Souriant doucement avant de caresser, le visage de la jeune femme. Elle n’a même pas réagit lorsque celui-ci a voulu l’étrangler. Dernier test, dernière chose qui aurait put la faire retourner dans sa cage. Elle est donc extrêmement docile. Il ne dirait rien d’autre que cela. Pour l’instant il n’avait pas d’ordre. Enfin pas tous de suite. Juste quelques questions… Quelques petites questions. Un maitre ne se doit il pas de savoir et de connaitre tout de son esclave ? Ainsi, le jeune homme commença son interrogatoire.

-J’ai deux choses à te dire : La première, c’est que je veux ton nom. Je veux savoir le nom de celle que j’ai acheté. Car je t’appellerais comme cela. Car le terme esclave est comment dire. Horrible, oui il n’y a pas moins classe que ce terme. Car un esclave est vêtue de haillon, une esclave est une chose que l’on peut remplacer. Or tu es un joyau. Même s’il faut que je te travail. Je verrais de toi, un véritable bijou. Ainsi, le terme esclave ne te convint pas. Mais ne te donne pas d’idée, ce n’est pas pour cela que tu ne m’appartiens pas ! Ton cœur, ton corps et ton âme seront bientôt à moi. Alors ton nom jeune fille…

Le jeune homme aurait bien sur put aller a sa cage, mais ce n’était pas ce qu’il voulait. Il voulait que la jeune femme se livre à lui. Car tailler une pierre comme cela, c’est tous savoir d’elle, c’est avoir son âme. S’il lui demander de donner sa vie pour lui. Elle ne devait pas hésiter une seule seconde. C’était cela avoir une bonne esclave. Il lui caressa donc doucement la tête avant de lui dire.

-Je veux tous savoir de toi. Je veux connaitre ton histoire. Je veux connaitre ta vie. Je veux connaitre tes passions. Je veux que tu me dises ce que sont tes plus grands secrets. Bref, je veux que tu me dises tous ce que je dois savoir sur toi. Ce genre de chose, je le comprends ne sera pas facile. Mais, il n’y a que comme cela que j’en serais assez sur toi. Pour pouvoir faire de toi la plus belle des pierres.

Il attend donc, que la jeune femme se livre, observant les réactions corporelles de la jeune femme. Les trouvant d’ailleurs assez belle d’ailleurs. Mais, il y avait tant de chose à voir dans ce genre de chose. Déjà qu’elle apprenne à se retenir en publique. Ce serait son premier point de travail. Dompter ce chat sauvage. Car c’est son but, qu’elle soit soumise, très soumise. Elle était déjà suffisamment, mais il lui manquait quelques petits détails. Pour en faire cette perle.

Haiiro écouta attentivement son maître tendit qu’il la caressait doucement. Il lui demanda d’abord son nom et enfin tout d’elle. Il voulait tout savoir, que cela concerne sa vie ou ce qu’elle aime, même ses passions. La jeune hybride regarda l’humain en couchant doucement les oreilles en signe de soumission et sa queue ne remuait que très légèrement. Elle finit par prononcer son nom.

- Je m’appelle Haiiro.

Et ainsi lancé, la demoiselle raconta son histoire : elle raconta qu’elle n’avait jamais connu ses véritable parents, expliqua qu’elle avait connu l’esclavage à l’âge de six ans dans un orphelinat ce qui l’avait conduit à apprécier la souffrance, unique amie qu’elle avait là bas, Elle exposa sa fuite à ses 16 ans qui a mené à trois ans de vol avant d’être attrapé, jugée et mise en cage. Elle alla même jusqu’à raconter des bribes de sa vie avec son ancien maître, un sadique. Elle expliqua au jeune homme que son maître avait été tué pendant la nuit et qu’elle avait été tenu pour fautive alors qu’elle n’aurait rien pu faire face à lui et que la mort de ce dernier l’avait conduite ici. Voilà pour son histoire. Il fallait maintenant parler des passions et des goûts.

- Je ne supporte pas les hybrides rebelles. Je ne les comprends pas, ils sont tellement idiots ! Les frapper reste une source de soulagement par moment mais je m’en empêche toujours.

Haii ne pensait pas avoir autre chose à apprendre à son nouveau maître.

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Le jeune homme observait donc ce diamant, écoutant sa réaction. Pour en retenir le maximum. La jeune femme semblait effectivement pas très motiver pour se livré comme elle devait le faire. Mais s’était normale. Après tous le jeune homme remuerait sans doute de mauvais souvenir, mais il devait le faire, sinon comment pourrait il pouvoir connaitre son esclave comme sa propre personne. Mais elle se décida enfin. Il savait qu’une fois cette dur épreuve fini, ce serait bien plus simple pour elle d’oublier tous cela et se concentrer uniquement sur lui. Sur son maitre, car c’était une nouvelle vie désormais qu’elle vivrait. Il n’y avait plus rien d’autre qu’elle devait savoir.

Le jeune homme une fois ceci fait sourit avant de lui passer doucement la main dans les cheveux souriant doucement, caressant la tête de la jeune femme comme on l’aurait fait avec une petite peluche. Car après tous, il pouvait le faire. Elle était son jouet, alors il pouvait faire avec elle ce qu’il voulait. Elle avait encore de la chance car pour l’instant elle restait encore intouchée par le jeune homme. Ce qui lui fit penser, qu’il devrait lui acheter des tenues un peu plus adapter a son nouveau grade. Il ne peut pas se permettre d’avoir une esclave ne se changeant pas tous les jours. Non, ce serait totalement horrible. Oui, il se devait donc de faire en sorte à ce que la jeune femme ne soit pas avec ces seuls vêtements. Mais peut importe. Pour l’instant il écoutait la jeune femme et ne dit qu’une seule phrase. Sinon elle ne pourrait pas être comme il le voulait.
-Bien, bien mais écoute moi bien. Car je n’ai pas l’habitude de me répétait. Tu dois oublier tout ce que tu sais. Je suis désormais la seule chose, l’unique chose qui compte dans ta vie. Tu ne vis que pour ton maitre. Le reste n’est qu’accessoire, c’est la seule et unique chose que tu dois savoir. Alors oublie ton passé, car tu vins de débuter une nouvelle vie. Bien, j’ai terminé. Pour l’instant. Ainsi, je vais te laisser le choix de me suivre ou pas. Tu peux partir si tu veux, mais sache que tu seras malheureuse. Je suis le seul qui peut t’apporter le bonheur.

Le jeune homme s’apprêtait à partir. Ne cherchant même pas a attendre ou pas la jeune femme, si elle le suivait, c’était qu’elle se reconnaissait comme maitre. Sinon, elle pouvait partir, il se moquait qu’elle vienne ou pas. Non, en fait ce n’était pas cela… Il savait que la jeune femme le suivrait. Dut moins, il en était quasiment sur. Il ne voulait pas utiliser la force pour que ses esclaves le suivent. Non, il n’en avait pas besoin, il préférait utiliser bien d’autre méthode. Et c’était d’ailleurs assez efficace puisque apparemment, aucune de ses proies ne lui avait jamais dit non… Enfin, peut importe. Mais le jeune homme avait toute fois une dernière question pour la jeune femme. Une toute petite question, car il savait la position de la jeune femme sur les hybrides dociles.

-J’ai une question pour toi, une dernière petite question avant que nous y allions. Qu’est ce que tu penses des hybrides dociles ? Tu as des problèmes avec eux ou pas ?
En réalité le jeune homme avait un petit secret, mais c’était une surprise pour la jeune hybride. Sa punition si elle était une mauvaise fille. Mais peut importe. Car, elle ne voulait que le bonheur de son maitre non ?

Haiiro écouta son maître, docile, les oreilles couchées même s’il la caressait doucement. Il lui demanda de tout oublier de son ancienne vie et que sa priorité ce serait lui désormais. Elle le regarda quelque peu interloquée mais les oreilles toujours plaquées contre son crâne. Il lui annonça alors qu’elle pouvait partir si elle le souhaitait, lui précisant qu’elle serait malheureuse si elle faisait cela car il était le seul à pouvoir le apporter le bonheur comme il le disait si bien. C’est alors qu’il commençait à partir. Haii resta planter là, comme une idiote. Elle se demandait si elle voulait le suivre ou si elle voulait reprendre sa vie de vol. Puis elle effleura son collier qui était coller à sa peau et regarda l’humain.

Il lui demanda alors comment elle s’entendait avec les hybrides dociles. Drôle de question mais il fallait bien y répondre.

- S’ils sont irrespectueux ou qu’ils tentent de s’enfuir, il peut y avoir des problème. Sinon je ne pense pas qu’il y ait de problème.

Elle se rapprocha alors et se plaça derrière son maître, oreilles basses et queue au repos.

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Le jeune homme l’observait doucement, cette jeune hybride était pour l’instant perdu. Il le savait, sa réaction était normale, car pour l’instant, elle ne comprenait pas tous les avantages de son nouveau statut. Bien sur, elle apprendrait à en profiter pleinement, mais il fallait pour cella qu’elle accepte d’être a son service. De lui appartenir corps et âme. Il ne voulait pour l’instant pas l’influencer dans son choix, car si elle devait lui appartenir elle devait le faire de son plein gré. Il n’y a que comme cela qu’elle serait vraiment heureuse, bon oui en la contraignant bien sur, elle aurait un vague sentiment de bonheur. Mais, elle n’aurait pas se sentiment d’être entièrement a lui, elle ne serait pas entière.

Le jeune homme tout en pensant était concentré sur les mimiques de la jeune femme, cette queue au repos, oreilles baisées. Ainsi, les graine de la confusion était déjà semer, c’était presque trop facile mais bon peut importe. Le jeune homme sourit, lorsque finalement, elle se décida a le suivre… Il sourit donc, se rapprochant, un peu d’elle. Ce serait une bonne esclave si elle lui était totalement acquise. Oui, il en était certain… il écouta donc doucement les paroles de l’hybride souriant doucement avant de lui dire en réponse a la jeune femme.

-C’est bien, c’est très bien. Car je te réserve une petite surprise, mais je te l’ai dit, c’est uniquement si tu n’es pas sage. Mais ne t’en fait pas, je ne devrais pas devoir l’utiliser souvent. Pas vrai ? Tu seras sage j’espère. Enfin si tu vins avec moi bien sur, non parce que je te l’ai dit tu peux partir si tu veux…Le jeune homme s’était rapproché de la jeune femme, une petite idée derrière la tête.

Il était vraiment proche de la jeune femme, ses yeux dans ceux de la jeune femme, ses lèvres a moins de deux centimètre de celle de la jeune femme. Le souffle chaud du jeune homme arrivé donc sur le visage de la jeune femme, il sourit donc. La laissant réagir. Puis il commençait a caresser de son doigt le visage de la jeune femme, la laissant réagir, il avait beau jouer avec elle, il en était sur la jeune femme aimait se genre de chose. Mais elle aimerait sans doute plus ce qui suivrait…
Le jeune homme avait désormais rapproché sa bouche de l’oreille de la jeune femme avant de lui chuchoter.

-Bien, je te l’ai déjà dit, je n’aime pas attendre. J’attend donc ta réponse, est ce que tu veux retourner a ta vie de voleuse, être dans le froid, seule, mourir le plus souvent de faim et soif. Ou alors est ce que tu veux vivre en étant mon esclave. En étant reconnut, en ayant un but dans la vie. Vivre sans jamais devoir te poser de question… Et en étant bien traiter ou presque …
Comme pour appuyer sa phrase, le jeune homme se saisit de l’oreille de la jeune femme avant de la pince violement. Mettant toutefois sa main sur sa bouche pour éviter qu’elle n’alerte tous le magasin. Normalement sa démonstration devrais être suffisante pour que la jeune femme le suive. Mais, on ne sait jamais, et puis, il lui avait dit. Elle avait le choix, si elle voulait partir, elle le pouvait. Mais le jeune homme sentait bien qu’en réalité la jeune femme n’avait qu’un seul choix possible. La question était donc purement auxiliaire. Mais bon, c’était vrai que si elle se soumettait d’elle-même cela serait mieux pour elle… Enfin… Nous verrons bien la réaction de cette petite hybride…

Haiiro fut surprise de voir son maître si près d’elle juste après qu’elle lui ait répondu. Pourtant, elle n’en montra rien. Le souffle de l’humain l’atteignait tellement il était près et lorsqu’il lui caressa le visage, l’hybride ne put retenir un doux frisson et elle dut se mordre doucement la lèvre inférieure. Il lui proposa à nouveau le choix entre la liberté de voleuse ou le confort de la vie d’esclave. Quand vous n’avez connu que le froid et la faim pendant plusieurs années, vous avez forcément envie de suivre un humain, même si votre rôle sera de le servir. Lorsque son maître lui pinça l’oreille, Haii se raidit et serra les mâchoires. Parallèlement, il avait placé sa main sur sa bouche pour l’empêcher de crier. Elle ne put se retenir de fouetter l’air avec sa queue, la surprise de la douleur y était pour quelque chose.

Une fois qu’il lui eut relâché l’oreille, la Neko la remua pour chasser la douleur puis elle coucha à nouveau des oreilles, la queue en forme de point d’interrogation.

- Je veux vous servir maître.

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Le jeune homme sourit doucement en écoutant la réponse de la jeune femme, encore une fois, il avait gagné. C’était tellement facile, tellement simple de jouer avec les gens. Et pourtant il ne s’en lasserait jamais… Enfin, le jeune homme reprit la laisse, avant de l’accrocher au collier de l’hybride et de s’avancer doucement vers la caisse souriant doucement. Pour l’instant il fallait régler ses achats. Donc payer, bien qu’il contait avoir une bonne, très bonne réduction pour cette article défectueux. Il avança donc vers la caisse la néko le suivant sans rechigner, souriant doucement. Après un salut respectueux au vendeur, le jeune homme exposa les articles qu’il avait prit et commencer à négocier avec le vendeur. Il n’y avait rien de mieux que négocier, c’était montrer son pouvoir. Et celui qui avait le dernier mot était celui qui avait le pouvoir. Ainsi il avait réussit à obtenir près de cinquante pour cent de réduction. Somme relativement importante. Pourquoi avait il obtenue une somme aussi importe de réduction ? Hum facile a dire, très facile même. Déjà il avait un charisme assez important, ensuite il inspirait la confiance. Ensuite, il avait le don de faire ressortir les qualités des vendeurs et se les mettre dans la poche…

Il caresserait aussi la tête de la jeune femme comme l’aurait fait tous bon maitre sympathique, et paya en cash. Souriant avant de dire :

-Bien, si vous me le permettait j’emporte ma nouvelle acquissions avec moi, après tous elle a besoin de repos. Et bien que j’aie vraiment apprécié ce délicieux instant avec vous bellissima ragazza, il va falloir que j’y aille.

Il sourit doucement avant de conduire la jeune femme a la sa voiture et il attendit d’être sortie de l’animalerie pour dire a la jeune femme. D’un ton comme a chaque fois, extrêmement calme et détendue.

- Tu as fais le bon choix, haiiro. Tu as choisi la seule voie possible qui te rendra heureuse comme tu le mérite. Ainsi, pour te le prouver, toi et moi nous allons faire les boutiques. Car, je ne tolérerais pas que mon diamant sois couvert de crasse. Ainsi, le temps que ta tenue soit nettoyée, on te trouvera une ou plusieurs tenues qui t’iront…

Il se dirigea devant son véhicule, ouvrit a la jeune femme la porte avant de se mettre au volant et de dire.
-Bien, je te laisse monter. Mais attention, si tu fais la moindre trace de griffe ou tout autre chose, je ne donne pas cher de ta vie. Mais tu es prévue. Allez installe toi. Nous y allons…

La voiture semblait plus à un carrosse qu’a autre chose. Tout n’était que gout, classe et volupté. Et le moelleux des fauteuils en cuir était particulièrement bon. Tellement qu’il fallait lutter contre Morphée pour ne pas s’endormir. Et puis, cette odeur de bois rare, se parfum de cuir presque neuf… Oui, c’était particulièrement bon d’entrée dans ce monde de classe et de beauté. Un monde a son image, voila pourquoi le jeune homme aimait tant sa voiture. Il attendit donc que la jeune femme se soit installée et attachée, sécurité oblige. Bien, voila qui était fait, les deux jeunes gens pouvaient donc se diriger vers le magasin de vêtement. Roulant toujours avec pragmatisme est classe. Ne s’énervant jamais, souriant toujours. Avant d’arriver devant le magasin de vêtement.

( je te laisse le choix de poster ici ou la bas…)

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