Déjà un mois, un mois qu’il était dans ce corps. Il était enfin près, près a retourné dans cette forêt la ou il l’espérait il trouverait des réponses, sur lui. Et peut être sur ce corps qu’il avait emprunté. Il observa rapidement les lieux, ou s’était ici. Le temps était cependant orageux, et la luminosité donc différente de la première fois ou il s’était rendu ici. Non le terme rendu ne convenait pas. Ou il avait atterrit. Il ne se souvenait que de cette source. Ce petit point d’eau ? La ou tous avait commencé. Certain pense que la vie est nait de l’eau. Mais sa vie a lui avait prit fin a ce moment. Il s’examina encore dans se lac. Oui ce corps était vraiment beau : une chevelure blonde, des yeux bleu magnifique, et des courbes a damné un sain. Si ce n’avait pas était lui, il aurait sans doute déjà proposé un rendez vous a cette jeune personne. Mais il fallait se faire a l’évidence, il n’était plus lui, il était elle. Ce qui poserait d’ailleurs sans doute quelques soucis. Des choses commune pour chaqu’une des femmes mais qui pour lui serait un véritable calvaire.
Il chassa de sa tête ses idées, pour l’instant il devait trouver des indices sur ce qu’il s’était passé ici. En espérant que personne n’avait déplacé d’objet ou d’autre chose. Il farfouilla rapidement. Cherchant dans chaque endroit possible et imaginable. Dans les buissons, les arbres, sous les feuilles, toute la zone fut passée au peigne fin, mais rien. Rien du tous, il décida donc de trancher chez lui. Enfin chez elle. Il était en bordure de la forêt. Quand elle craqua, tous simplement. Toute ses émotions, tous ces événements, toutes ses émotions avaient peut a peu détruit le peu de morale qui lui rester.
Il était en pleure. Enfin, elle était en pleure, et ne pouvait s’arrêté, certes ce n’étais pas très masculin comme réaction. Mais elle en avait tellement besoin. Toute cette frustration, toute cette peine, tous cela devait sortir. Il ne pouvait rien dire, rien faire. Il pleurait, s’était tous. Pourtant il en était conscient, quelqu’un s’approchait de lui. Mais il n’y avait rien à faire. Il ne pouvait pas bouger, juste attendre. Peut être qu’avec de la chance, cet intrus ne resterait pas. Peu être qu’il partirait en voyant le monstre qu’il était devenu. Peu être partirait il, ou elle. Il ne le savait même pas. Il n’y voyait rien. Sa vie à présent n’était que des larmes. Que des pleures. Il se reprendrait bien sur. Mais pourquoi, pourquoi était il devenue elle. Il ne le comprenait toujours pas. Par quel sortilège.
Il ne le comprenait toujours pas. Une seul chose, elle était sur que la présence se rapprochait d’elle. Il ne dit rien. Il ne le pouvait de toute façon pas. LA présence s'en alla. Et avec elle ses pleures. Bien, maitenant elle était mieux. Elle repris sa route toujours a la recherche d'indice, a l'annimalerie ou elle avait était faite hybride.