L'été glisse sur le monde

Voilà près de 2 mois que j'attends sans grand espoir - à quoi peut servir l'espoir pour ceux de notre race ? - la personne qui pourra me sortir de cette cage exigüe, de ce nid de bactéries où les miens miaulent, parlent, se battent sans répit. Pourtant j'aperçois parfois une de ses pauvres créatures amorphes et je la pleure doucement dans le silence de mon coeur en espérant qu'elle quittera bien vite cet état trop dur et trop vrai pour les humains.
Oui car un visage inanimé n'est pas vendable. Il faut du souriant et même de l'insultant parfois... Certains humains aiment ça. Mais un visage impassible ressemble trop à celui d'une poupée immobile donc surement inintéressante. Oui ce doit être cela. Ce doit être pour ça que je ne suis pas partie et que je me retrouve en arrière plan dans cette boutique, au raz-du-sol.

Face à mes pensées noires, je me serre un peu plus contre les plaques de métal qui séparent les cages en petit enclos où nous tenons accroupis. Ses plaques froides comme les grilles qui sont dans mon dos grâce à lesquelles les humains peuvent nous voir. Tout est gris, tout est froid et je me serre encore en boule, plongeant mon visage dans mes bras et mes jambes, ignorant ce qui se passait autour de moi. Je relève un peu les yeux, le coeur lourd et je regarde en face de moi la vitrine de verre qui me sépare de l'extérieur. De là les humains peuvent voir une partie de la marchandise avec ses promotions et ses nouveautés. Mais je ne suis pas visible sauf vraiment pour les petits enfants et les chiens. J'eus un sourire. Oui j'étais du même niveau qu'un chien... Pourtant de là, je pouvais voir les humains de la rue d'en face en entier et finalement, je chassai mon cafard par l'observation de ses derniers. Je m'approchai au maximum de la vitrine et y colla mon visage, regardant le monde.

Tout glissait sur moi. Je me trouvai être qu'une spectatrice de la vie des autres. J'avais été mise en retrais de la scène de la vie mais je voulais y retourner et je savais que je ferais de mon mieux pour satisfaire celui qui me voudrait. Mais après saurait-il accepter le fait que je ne soit pas une actrice qui mine. Je ne connait pas la comédie du sourire si mon coeur pleure. Mon visage impassible est le reflet de mon âme mélancolique.

...

Alors dans cette cage miteuse, elle regarde avec ce soupçon d'espoir que sa race ne devrait pas avoir la foule qui traverse les trottoirs sans un regard. Mais elle, elle les voit.

[pas trop d'inspiration...]

Miyuki décida d'aller faire un tour en ville, elle avait beau être depuis longtemps ici, elle en sortait presque jamais sortie de chez elle, faire un tour lui changerait les idées. Elle passa par la plage pour sentir l'air marin dans ses cheveux avant de remonter et fit quelques magasins mais sans rien acheter, elle n'avait pas vraiment la tête à ça aujourd'hui, en fait, elle s'ennuyais un peu et elle détestait quand elle n'avait rien à faire même si ce qu'elle avait à faire était désagréable, c'était toujours mieux que rien, en passant dans les rues, elle vit beaucoup d'humains et d'humaines avec des nékos. En rentrant elle vit l'animalerie, elle haussa les épaules et se dirigea, peut-être qu'elle trouverait une belle et gentille néko elle aussi, elle se décida donc et traversa la rue en faisant une première inspection rapide derrière la vitre

Miyuki entendit la cloche résonnait quand elle entra et rougie un peu en voyant tout les regards tournés vers elle avant que quelqu'uns se détourne. Miyuki parcoura un peu le magasin sans s'occuper du vendeur qui venait lui parler, les pauvres nékos étaient mal traités dans des cages où on ne mettrait même pas un chien tellement elles étaient petites. Miyuki parcourut le magasin du regard en marchant lentement et vit le marchand venir vers elle avec un sourire aux lèvres *Oh non..pas encore lui* se dit-elle alors qu'il continua d'avancer, il lui demanda ce qu'elle pouvait faire pour elle et elle poussa d'un signe de main ferme

"Si vous commenciez pas prendre une douche, ça serait déjà bien"

Miyuki vit le vendeur rougir et partit derrière le comptoir d'un air dépité, Miyuki vit en face d'elle, une fois que le vendeur n'y était plus, une minuscule cage où se trouvait une toute petite néko qui semblait jeune, Miyuki lui fit un sourire doux et lui demanda très doucement

"Bonjour petite néko, quel est ton nom?"

La cloche tinta, sortant la petite hybride de sa rêverie comme si on lui avait lancé un seau d'eau en plein visage. A vrai dire il n'y avait pas qu'elle que ce son avait réveillé. Les nekos et les autres créatures se dressèrent tous autant qu'il purent et regardèrent l'inconnue.

Je me tournai légèrement et vis une paire de chaussure de femme puis je haussai les épaules me disant qu'elle prendrait surement un mâle pour des raisons "pratiques". Je détournai donc la tête, replongeant mon regard vers la rue en gardant quand même mes oreilles tournées vers l'intérieur du magasins.

Les pas de la femme résonnaient sur le carrelage en un petit tapement sec qui semblait hésiter parfois sur la route à suivre. Ils allaient et venaient tandis que ceux de l'homme, plus lourds, la suivaient en demandant ce qu'elle désirait. La femme le repoussa sèchement et je me dis qu'elle aurait mieux fait de l'écouter car il nous connaissait mieux que n'importe qui. Mais ça n'importait pas grand chose car il reviendrait à l'attaque.

Il y eut un silence après le déplacement de l'homme jusqu'à son comptoirs probablement puis la jeune femme se mit à parler, s'adressant à un hybride d'une voix douce. Ses paroles me parvinrent distinctement mais je restai immobile lui faisant dos sans me rendre compte qu'elle s'adressait à moi jusqu'au moment où un jeune inu mâle lui répondit :

"N'attendez pas de réponse madame, cette neko ne parle pas ou presque pas. Elle s'appelle Amarra."

Je cligna des yeux et me tournai légèrement afin de regarder l'inconnu ou plutôt ses jambes. Je m'approchai un peu de la cage afin de mieux la voir et vice versa. Je levai finalement mes yeux bruns vers elle et lâcha un discret "Bonjour madame" d'une voix chevrotante, mal assurée.
Il faut dire qu'à force de me taire, je perdais l'élocution des mots et avait tendance à bafouiller un peu. J'hésitais sur la prononciation et finalement je préférais me taire afin de ne pas dire de bêtise.

L'homme sembla percevoir la discussion et revint à la charge en donnant des coups sur les cages quand les hybrides faisaient trop de bruit à son goût. Il se plaça près de la jeune femme et commença sa tirade d'une voix sûre, habitué à ce genre de pratique :

"Je vois que vous semblait intéressée par la neko dans cette cage. Elle est adorable, ça je vous l'assure. Obéissante, calme et docile. Elle vous servira et n'obéira qu'à vous. Cependant elle ne parle pas. Mon apprentis dit qu'elle parle mais je suis sûr qu'il fait son intéressant. Si vous désirez un animal plus sociable j'en ai un du même genre qu'elle. Doux comme un agneau et obéissant comme un chien. En plus il s'agit d'un mâle et il est vraiment de belle qualité. Voulez-vous que je vous le montre, vous ne serez pas déçue ?"

J'observai cette tentative de manipulation en couchant mes oreilles et j'entendis l'inu au-dessus de ma cage murmurer un "Connard" que je dus être la seule à comprendre. Pourtant je me sentais vide et attendais la réponse de la demoiselle, me préparant à ce qu'elle vote pour le mâle car là était souvent le désir des humains. Je n'étais pas déçue, trop habituée à ce qu'ils me délaissent pour des hybrides qui savaient aligner plus de trois mots. Le problème était que je n'arrivais pas à parler vraiment. Mes phrases se bloquaient dans ma gorge et finalement je finissais par hocher de la tête, agaçant encore plus mes propriétaires ou les intéressés.

Miyuki attendait une réponse de la part de la jeune néko qui était dos à elle mais elle savait comment elle était faite parce qu'elle l'avait vu à travers la vitrine avant d'entrer, elle eut alors une réponse mais elle en venait ps de al jeune fille mais d'un inu qui se trouvait à côté d'elle, elle remercia doucement le mâle pour cette information et vut enfin la néko se retourner comme si elle venait juste de comprendre que c'était à elle qu'elle s'adresser, Miyuki lui fit un sourire à son bijou et lui en adressa un d'une voix douce et faible, c'est alors que le vendeur revint et lui dit quelques mots, malgrès sa haine des hommes et des vendeur,s elle l'écouta, on ne sait jamais

"Non merci, je ne veux pas de mâle, de plus, cette jeune fille est très jolie et elle semble vraiment gentille, le fait qu'elle ne parle presque pas n'est pas grave la parole n'est pas forcément nécessaire pour communiquer, par contre, je n'aime ps vote façon de parler d'eux, ce ne sont quand même pas des marchandises"

Miyuki se rabaissa au niveau de la jeune néko et lui souria, tant pis si elle ne la connaissait pas encore, elle voulait la sortir de là, elle espérait que la néko le veuille aussi

"Qu'en dis-tu petite, tu veux être ma néko?"

La réplique de la jeune femme se saisis de surprise au point que j'en écarquillai les yeux. D'une part elle venait de dire qu'elle n'était nullement gênée par le fait que je ne parlais pas ce qui était en général la première chose qui rebutait les futures propriétaires et d'autres part, elle venait d'insinuer que nous n'étions pas des marchandises ce qui étaient proscrits. Je couchai mes oreilles devant le regard méprisant du vendeur qui ne disait plus rien, fixant la femme avec dédain tandis qu'elle tournait son regard doux vers moi, un beau sourire aux lèvres.
Je détournai à mon tour mes yeux apeurés vers la jeune femme, plongeant mon regard dans le sien alors qu'elle posait LA question que j'avais tant attendu.

Mais que dire ?

Un oui serait certes une libération, un espoir nouveau, une porte avec une chance d'aboutir à une vie stable... Tout ce dont j'espérais. Cette femme avait dit que je n'étais pas une marchandise malgré que je le pensais avec conviction. J'admettais d'être qu'un objet et je m'en accommodais. Mais sa phrase était une gifle violente qui m'ouvrait des perspectives que je n'avais jamais osé entrevoir.

Je secouai la tête.

Un non alors ? Rester ici, cloitré, attendant encore un homme sans coeur ? Une femme sans esprit ? Une mort lente ou rapide suivant les préférences du vendeur ? Patienter dans mon univers qu'il me semblait chercher chaque jour à fuir un peu plus...

Je clignai des yeux et hochai doucement la tête en signe d'assentiment. Le vendeur se crispa devant ce signe et serra les poings de vendre une créature qui finirait peut être en liberté. Mais qu'importe j'avais osé franchir ce pas, tenter cette chance malgré les risques de tomber dans un échec. Je regardais celle que j'allais servir. Celle à qui j'avais confié mon âme et j'eus un élan d'affection pour elle. Je la regardai avec amitié et lui offrit un de mes rares sourires de joie. Un de ses sourires que j'avais perdu peu à peu au fil des mois, des années, de désillusions et d'abandon.
Pourtant au fond de moi, cette fois, je voulais que ça marche, je voulais bien faire mon travail, je voulais bien lui obéir, je voulais tout faire pour que l'on s'entende bien, je voulais la rendre heureuse. Mais en cet instant de libération, c'est elle qui faisait mon bonheur et je désirais lui rendre ce bonheur qu'elle m'avait offert par cette simple proposition.
Alors, avec beaucoup d'hésitation, baissant les yeux, effaçant mon sourire, couchant un peu les oreilles, je me concentrai, cherchant les mots, hésitant sur la prononciation, ouvrant la bouche puis la refermant, incertaine...
Puis je relevai les yeux vers elle, gardant pourtant mes oreilles baissées et articulai de ma voix chevrotante :

"Me..Merci ... ça fait chaud... là."

Je désigna mon coeur pour lui signifiait que ses paroles m'avait fait plaisir et répéta une seconde fois le "merci" sous les yeux ahuris du vendeur.

(Désolée du gros retard)

Miyuki regardait la jeune néko tout en attendant sa réponse, il fait dire qu'elle se fit attendre un bon moment mais Miyuki pouvait comprendre qu'il fallait un temps de réflexion, au bout d'un moment, un petit hôchement de tête apparu sur le visage de la néko, elle acceptait l'offre de Miyuki et fit même plus de ça, elle lui fit un très joli sourire qu'elle lui rendit juste après et lui fit un bisou sur la main qu'elle prit dans la sienne avant d'écouter ces quelques mots qui firent sourire Miyuki encore un peu plus

"Ne t'inquiète pas petite ange, je reviens tout de suite"

Miyuki lâcha tendrement sa main et se dirigea vers le comptoir ou le vendeur se frotter déjà les mains, Miyuki indiqua la cage de la petite Amarra et lui demanda le prix pour elle, Miyuki sortit une liasse de billets de sa poche et transmises une grosse quantité de billets verts au vendeur qui recompta posément avant d'enfin donner la clé à Miyuki qui le regarder avec haine et dégoût et lui refusa qu'il ouvre de lui-même la cage car il aurait sorti Amarra brutalement, Miyuki revint vers la cage de Amarra et lui sourit tendrement avant d'enlever le cadenas et d'ouvrir la prison de fer qui retenait la néko prisonnière

Miyuki tendit la main à Amarra et la fit sortir de cette cage peu après, elle passa ses bras autour d'elle et la serra tendrement contre elle caressant ses cheveux et sa joue

"Désormais tu est ma néko, ma petite Amarra, désormais, tu vas pouvoir vivre normalement et heureuse, tu ne seras plus jamais seule, je serais là pour toi, tu est si mignonne, je suis vraiment heureuse de t'avoir comme néko"

Miyuki continua de serrer la petite Amarra contre elle en caressant doucement sa joue.

Je gardai mes oreilles couchées, observant la jeune humaine qui allait devenir ma maitresse. Elle me fit un sourire et embrassa ma main qu'elle garda dans la sienne. Ce contact me fit frissonner mais je ne réagis pas plus que ça, me contentant d'observer ma future maitresse.
Puis elle me lâcha en m'adressant une phrase rassurante à laquelle je répondit par un hochement de tête alors qu'elle prenait le chemin du comptoir où l'attendait le vendeur. Ils s'échangèrent de l'argent pour moi et l'homme lui fit remplir des documents pour signaler que la jeune femme possédait un neko puis cette dernière revint vers moi, toujours souriante comme si c'était le plus beau jour de sa vie ce qui me touchai et me faisait sourire timidement.
J'étais gênée de tant d'attention mais aussi ravie que l'on s'occupe de moi si bien. Ma maitresse me tendit la main et me fit sortir de ma cage où j'avais été parqué puis elle m'enlaça sans aucune raison mais avec une douceur encore inconnu pour moi. Je me crispai, couchant un peu plus mes oreilles et ne bougeant pas un pouce de peur d'un changement de réaction ou tout simplement de crainte de briser ce moment étrange. C'est alors que je sentis une main me caresser les cheveux et ma joue avec bienveillance tandis qu'elle me rassurait encore de sa voix tendre.
Je l'enserrai alors de mes bras, répondant à son geste d'affection en poussant un léger ronronnement, appréciant son geste malgré que je sois sale et peu présentable. Je sentais sa chaleur et cela me rassurait, calmant mes inquiétudes et faisant taire mon désir de fuite.

J'ignore combien de temps cela dura mais le jeune apprenti nous interrompit en toussant légèrement, s'excusant de nous gêner, mettant ainsi fin à notre étreinte. Je le regardai et il tendit à ma maitresse un collier noir tout simple et une paire de chaussure qui m'était destinée car j'étais pieds nus, en déclarant que c'était cadeau. Puis il me jeta un coup d'oeil et me fit un sourire encourageant avant de s'en aller dans l'arrière boutique. Je tournai mes yeux vers ma maitresse et attendit qu'elle me tendre mes chaussures pour les mettre, lui laissant le bon plaisir de me mettre ou non mon collier.

Puis dans l'attente d'un ordre, je restai près d'elle, à l'écoute, calme et prête à accomplir ce pour quoi j'avais vu le jour.

(Pardon du retard)

Miyuki profita de la douce étreinte et le sourire qu'elle avait s"l&git quand quelques secondes plus tard, Amarra passa elle aussi ses bras autour d'elle et l'enlaça aussi, poussant même un léger ronronnement très agréable aux oreilles de Miyuki qui continua tendrement ses caresses sur ses cheveux et sa joue avec affection, ce moment continua jusqu'à ce qu'un assistant vendeur vint l'interrompre, Miyuki prit le chaussures et chaussa sa nouvelle protégée avec le sourire toujours puis regarda le collier et Amarra

"Je ne suis pas fan de ce genre de choses mais je ne voudrais pas qu'on te prenne pour une néko en fuite et que tu te fasses capturée, donc, je vas te proposer une chose, soit je te fait porter ce collier, soit, si tu n'aimes pas, je peux acheter un petit ruban ou nous mettrons un médaillon, que préfères-tu?"

Miyuki attendit sa réponse et rajouta

"Bien, ensuite, je te propose qu'on aille se décrasser et se détendre un peu aux sources avant d'acheter des vêtements, à moins que tu es faim?"

Ma maitresse me chaussa ce qui eut pour effet de me mettre mal à l'aise. Elle s'était accroupie devant moi et dans cette posture c'est plutôt moi qui avait le sentiment de dominer d'où ma gêne. Je me mis à rougir et détournai les yeux afin de ne la regarder dans cette position, me laissant faire.
J'attendis qu'elle eut finie pour la regarder à nouveau et époussetai ses vêtements afin qu'ils ne soient pas trop sales après avoir trainés un peu par terre.
Je l'entendis me parler et cessai de bouger pour la regarder. Elle me donnait le choix du collier et je décidai de prendre le plus simple en lui désignant le collier noir avec un petit sourire puis je repris mon nettoyage de ses vêtements.

Un fois fait je me plaçai à nouveau près d'elle et répondit par la négative à sa question. A vrai dire je me sentais surtout sale et indigne d'elle dans ses vêtements qui embaumaient. Et puis je dus reconnaitre qu'ici on ne mangeait pas trop mal car le propriétaire aimait savoir qu'il avait des animaux en bonne santé...

En écoutant ma maitresse, je me dis que mon travail serait surtout de l'accompagner et de la servir dans sa vie quotidienne... J'aimais ça et cela me faisait plaisir de savoir que j'allais pouvoir en savoir plus sur elle. Je lui pris doucement la main au cas où elle ne voudrait pas de ce contact et attendit que l'on parte pour la suivre.
Je regardais ce qui fut mon domicile pendant une grande période de ma vie et j'avais l'espoir de ne plus y remettre les pieds. Je voyais d'autres nekos et hybrides en tous genres nous regarder, la plupart avec envie, me jalousant d'avoir une maitresse qui semblait si gentille et attentionnée. Saurais-je à la hauteur ? L'avenir me le dira.

Je t'ai enfin répondue en faisant le post aux sources Amarra https://maitre-ou-neko.1fr1.net/les-sources-chaudes-f42/premier-moment-de-calme-pv-amarra-t1520.htm#15762.

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