Chaque matin de bonne heure, personne ne venait à l'animalerie. Ce qui n'étonnait pas vraiment la petite Neko, elle qui se levait tôt afin de se faire remarquer et vite partir de cet endroit. On ne pouvait pas dire que c'était vraiment l'idéal de dormir dans sa cage humide et qui devenait moisie. Depuis le temps qu'elle se trouve dans cette cage, Etsuko aimerait pouvoir sortir dehors comme avant et se promener pleinement dans la rue en espérant qu'un maître ou maîtresse ne soient pas méchant(e)s. Déjà que la neko n'en pouvait plu de ces vendeurs qui crient à tout bout de champ pour rien, heureusement que certains employés ne sont pas comme ça. Un peu plus tard, des gens entrèrent dans le lieu où les hybrides sont en attente d'une adoption. Pour tuer le temps passé de cette journée qui était finalement comme touts les autres que l'hybride a vécue ici, elle les observait passer un par un, soit en groupe qui regardaient bêtement ou intéressés de ce qu'il avait dans les cages. Etsuko avait les jambes pliés contre son corps en portant une simple robe violette pas très bien propre. Remuant ses oreilles et sa queue pour se décontractée, l'hybride commençait à murmerant une chanson connue lorsqu'elle était une enfant. Un des vendeurs qui passaient devant sa cage et tapait la porte avec des barreaux en fer:
Tu peux pas te taire!? Tu n'es pas ici pour monter un concert d'après ce que je sache!!
Pa..Pardon Monsieur...
Cela ne m'étonne pas que personne te veut si tu chantes comme une casserole! Tin'... Pas possible ces hybrides!
Le vendeur s'en allait rapidement à la caisse, assis devant sa grosse machine tandis que les autres donnaient le repas. Si Etsuko ne pouvait pas chanter en chuchotant, elle aurait droit faire quoi? pleurer? Cela se peut... tellement que la minette commençait en avait plus que marre de cette vie en cage. Lorsqu'un vendeur lui tendit sa gamelle, Etsuko déclinait de manger, heureusement pour la neko, c'était un qui ne repprochait pas les hybrides.
Etsuko, tu devrais accepter car je fais seulement pour votre bien.
Désolée... mais je n'ai pas envie de manger tout de suite...
A cet instant, Etsuko n'a pa pu s'empêcher de pleurer tellement les émotions étaient trop fortes. L'employé déposait tout même, lui donnait un mouchoir pour qu'elle séche ses larmes et reparti. Elle décidait de se calmer et essuyer ses joues toutes mouillés. Puis Etsuko commençait à mangée un peu sa nourriture mais sans plus, elle préférait être prête pour les gens qui viendront peut-être devant sa prison et la libérée.