De retour dans une cage (pv Julyan)

Abendonner par son maitre, un agent de la police l'attrappa et la ramena dans une animalerie. LA jeune néko était dans une toute petite cage. Elle pouvait à peine se mouvoir. Elle était assise dans le fond de la cage les yeux fermer. Mélodie était une jeune néko rousse. Elle portait un simple t-shirt. Elle avait le corps recouvert d'une multitude de cicatrice. Elle était si jeune et elle avait déjà vécu t'en d'attrocité. Le propiétaire de l'animalerie la nourissait avec seulement du pain et de l'eau. Ce régime était fait pour la garder en vie. La jeune fille resta toujours immobile.

(pardon je suis rouiller )

Tien, elle avait du caractère cette petite. Enfin petite elle était sans doute un peu plus âgé que lui. Toujours plongé dans ses pensées, il avait quitté le café sans même sans rendre compte, oui il avait la tête ailleurs ses dernières temps. Son passé lui revenait, des souvenirs, souvent douloureux. Mais pas toujours. Une chose surtout, son nom. Il n'arrivait même plus a se souvenir de son propre nom. Oui il était comme cette jeune néko.

-Je n'aurais pas dut.

Oui il n'aurait pas du se mettre a sa place, pensé comme il pensait a travers ses yeux. Le résultat était qu'il avait raté complètement ce qu'il avait entrepris. Oui il était nul parfois, mais lui il aurait voulu ses conseils ne pas vivre comme il l'avait fait, dans la peine, la mort et cette crainte toujours au ventre. Et quand il avait gagné la liberté, c'était dut a la mort de ses parents. Quel cadeau.

Mais elle n'était pas lui, et voulant se donner bonne conscience, sa réaction était logique. Pourtant quelle chose, lui disait qu'elle n'était pas loin. Et cette chose ne l'avait jamais trahis, l'instinct, le 6eme sens, il s'en foutait de savoir. Il savait juste que cette chose ne l'avait jamais trahis. Oui le destin est souvent bizarre. Voilà qu'il se retrouver devant la même animalerie.

Il poussa encore une fois la porte, il était complètement dans ses pensées, comme si c'était une force extérieur qui s'occupait de le guidé pendant que lui, était dans ses pensées. Il se retrouva ainsi devant une jeune néko rousse couverte de cicatrice. Immobile comme gelée. Vu ce qu'elle mangé ce n'était pas étonnant. En y repensant le jeune homme avait peu être un peu tendance a être trop bon vivant sur ça. Mais il avait passé sa jeunesse a manger sur le pouce. Revenant sur la néko, il ne pouvait pas la laisser comme ça. Ce fut la seconde fois que la marchande le vit aujourd'hui. Il avait déjà régler la facture mais commença par le commencement cette fois ci

- Dit moi, quelle est ton nom

La jeune néko était dans ses pensées. Elle avait pas tellement de force pour bouger. La jeune femme regarde le jeune homme venir vers elle. La marchande s'approcha du jeune homme pour essayer de vendre cette néko. La marchante lui dit

-Cette Néko n'a pas dit un mot depuis qu'on me l'a amener.

La jeune Néko releva son visage pour plonger ses jolie yeux bleus dans ceux du jeune homme. Dans les yeux de Mélodie, on pouvait y voir un énorme tristesse. Quelques larmes coulaient le long de ses joues. Elle était recroqueviller sur elle même. Elle avait froid, elle avait faim et elle n'avait rien d'autre qu'un t-shirt sur elle. La marchante reprit.

-On m'a fait savoir quelle se nomme Mélodie. Elle avait un maitre, mais il est disparut dans la nature. Elle m'a été apporter dans cette étas.

La marchante ouvrit la cage pour essayer de faire sortire ''L'animal''. Mélodie ne bougea pas elle resta dans la fond de la cage toujours en silence.

Le jeune homme devinait se qui s'était passer, encore une victime du terrible cupidon. Se genre de blessure elle aussi devait prendre le temps de se guérir. Oui, la pauvre néko venait sans doute de subir un chagrin terrible. Il avait eu de la chance de se coté la, mais ses résolutions y était pour quelque chose, jamais il ne tomberait amoureux. C'était de l'amour qu'était nait tout ses ennuis, lui aussi mais il y a des fois ou on se dit que peut être on n'aurait pas du vivre. Il se retourna vers la marchande.

-Laisser nous seuls s'il vous plait.

La marchande partie donc, laissant ce drôle de client avec cette jeune néko. Elle en avait vu des clients bizarre mais des comme lui. Jamais. Il lui avait pris les seules néko dont elle aurait eut des soucis pour s'en débarrasser, ne négociant pas les prix. Et tous cela en moins d'une journée.

Pendant ce temps le jeune homme fouillé dans son sac, il en tira des gâteaux, une grande bouteille de jus de fruit ainsi que une large couverture. Certes elle n'était pas jeune, mais pour avoir dormis de longue et froides soirée avec, il savait que c'est le genre de chose dont jamais il ne se débarrasserait.

_Mélodie, je ne peux savoir ce que tu ressens. Mais ce que je sais c'est qu'il ai temps que tu partes d'ici. Prends, et mange ce que tu veux. Et quand tu te sentiras prête a parti dit le moi. Ça prendra le temps que ça prendra, nous ne sommes pas presser.

Il déposa au pied de la jeune néko la longue couverture, puis attendit patiemment. Il avait l'habitude de prendre son temps. Enfin si temps il y a?

Lys le regarda entrer dans l’animalerie. Elle attendit un instant avant de s’avancer pour en faire le tour. Elle n’avait aucunement l’intention d’y rentrer ! Non…

Elle s’arrêta près d’une fenêtre et, cachée dans les feuilles d’un arbre, observa la scène. Elle détailla difficilement la petite neko au fond de sa cage, mais la reconnut. Mélodie, lui semblait-il. Elle l’avait croisée quelque fois, sans qu’elles ne se connaissent vraiment.

Et le psy l’achetait aussi ?! Ne faisait-il que cela de ses journées ?!! Bah, ce n’était plus son problème.
Lys regarda une dernière fois avant de s’éloigner d’un bond souple.

Mélodie ce leva avec difficulté. Elle prit le gâteau et le mangea en silence. Elle fessait tous en silence. La jeune néko s'enroula dans la couverture pour se réchauffé. Elle ce demanda pourquoi ce jeune homme la voulait comme animal de compagnie. Elle le regarda en silence et elle ne dit rien. Elle attendait qu'il fasse quelque chose. Jamais elle ne parlerais la première. Elle se tourna vers la fenêtre et elle vie une autre hybride. Elle se posait tout plein de questions. Elle ne savait pas quoi pensser. Ses jambes avaient de la difficulté à ce tenir. Elle était toute pâle. Elle n'avait pas vue la lumière du jours depuis quelques jours.

Lys regarda autour d'elle. Quelques arbres, de l'herbe... Le ciel.
Et personne.
La neko sourit. Un sourire lumineux. Comme elle était belle ainsi ! Avec des étoiles dans les yeux...
Elle s'assit dans l'herbe, hésita, finalement s'allongea, et ferma les yeux. Que faisait-elle ? Rien. Il n'y avait personne ici, juste derrière l'animalerie. Alors elle en profitait.
Il lui parvenait de loin les bruits de la circulation. Elle se concentra sur celui des oiseaux, et sur la petite brise qui soulevait doucement ses mèches noires. Les oreilles aux aguets mais immobiles, seul le bout de sa queue montrait qu'elle ne dormait pas.

Oui, pas bavarde décidément. Il qui aimait la conversation il était encore une fois mal tombé. Entre Lys, et elle il se demandé de plus en plus quand il pourrait avoir une vraie discutions. Décidément cette jeune néko était bien mal en point. Encore une chose de plus qui lui donnait raison sur le point suivant, les Hommes n'avait aucun respect pour la vie. Car pour lui la vie n'est qu'un simple jouet. Ce qui l'inquiéta plus était bien l'état de santé de la jeune femme. Si elle était trop faible pour tenir sur ses pieds il ne rester au jeune homme qu'une solution.

Il la pris délicatement dans les bras histoire de la portée hors du magasin, oui il n'y a rien a dire, il avait l'air fin avec la pauvre néko dans ses bras emmitouflé dans les couvertures. Doucement il sorti du magasin prenant garde a ne pas déranger la néko.

-Bien, je suis julyan enchanté. Et toi tu es mélodie c'est cela?

Il sorti ainsi de l'animalerie, la néko toujours dans les bras, attendant qu'elle se remette de ses émotions, le temps qu'elle puisse se rétablir. Pour l'instant elle avait surtout besoin de repos, or le repos pour l'instant il n'était pas a programme. Il avait encore pas mal de tache a faire. Le repos serait donc pris maintenant.

- sache juste une chose, je ne veux pas de maitre entre nous, nous sommes égales. C'est d'accord?

Lys se releva d'un bond. Le psy était sortit de l'animalerie, portant le petite neko dans ses bras. Invisible, ombre parmis la nuit, elle grimpa dans l'arbre en quelques mouvements fluides et de là les observa passer. Les feuilles bruissaient autour d'elle, Lys respirait avec elles. Ses yeux de chat brillaient dans la nuit, à la lumière argentée de la lune...
Mais qui aurait l'idée de regarder dans cet arbre ? Des éclats vifs, comme un rêve à peine perceptible : On a vu quelque chose, on croit avoir vu quelque chose... Mais il n'y a déjà plus rien.

Toujours dans ses pensées, le jeune homme ne prêtait même plus attention au monde qui l’entourait. Un éclat vert sortit d’un arbre le tira cependant de sa torpeur, ainsi elle était encore ici. Il en était certain ca ne pouvait être que lys, le ciel lui envoyer donc une façon de se rattrapé. Il était décidé a ne pas laissé cette chance partir.

-Lys, pourrais tu sortir de ton arbre s’il te plaît, quoi que non tu peux y rester si tu veux peut importe. Je voudrais juste te demandé pardon, j’ai étais sans doute trop occupé par mes propres fantôme, et quand je t’ai vu, je n’ai pus m’empêché de penser a moi, il y a quelque temps. Je n’aurais pas dut. Mais avant de porté un jugement sur moi, j’aimerais juste que tu es toute les cartes en main.

Je suis née comme toi, entre deux mondes. Père flic, mère fille de chef de gang. Personne n’a compris leur amour. J’ai toujours vécu avec des noms d’emprunts, je ne connais même plus le mien. Toujours en fuite pour échappé à mon grand père, toujours à vivre dans la peur, une boule au ventre. La peur d’être retrouver, jamais libre de ses mouvements, trop dangereux. J’ai gagné ma liberté au prix de ma famille, de mon nom, et de tant de souffrance. J’ai vu la partie la plus noir de l’humanité, mais je m’en suis relever, car l’homme n’est pas aussi méchant qu’il semble, il est juste con. Et aujourd’hui j’ai était con, con de croire que tu pensée comme moi autre fois.

Nous sommes pareille et pourtant si différents, tous ce que j’espère c’est que tu me pardonneras.

Il replongea dans ses pensées, le regard tourné vers mélodie, la néko avait besoin de récupérer la pauvre. Oui l’amour comme la famille deux fléau, deux fléau pourtant indispensable. Le mode était mal fait et pourtant si beau. Oui une vraie rose, mais les épines du monde sont très très pointue et on ne guérie jamais totalement.

La jeune néko resta sans bouger. Elle était en petite boule dans les bras de son nouveau maitre. Elle écouta ce que son maitre disait a elle ne savait pas qui. Elle ouvrit les yeux pour essayer de voir a qui son maitre parlait. Elle ne voyait rien. Elle sentait une présence mais elle ne voyait personne. Elle referma les yeux et elle se colla doucement sur le torse de Julyan. Le soleil était coucher. il coimmencait a faire froid. La jeune néko était emmitouflé dans une courverture. Ses jambes dépassaient de la couverture. Mélodie se frottait les jambes pour essayer de se réchauffé. Elle trouvait que la converssation commençais à être longue. Elle écoutait à moitier puisqu'elle s'endormait doucement dans les bras de son maitre. Mélodie réouvra les yeux et elle regarda son maitre en silence. Elle n'avait pas rien dit encore. Habituellement elle parlait beaucoup, mais elle était gèner.

Tien mélodie venait de se réveillé, toujours emmitouflé dans la couverture. Le pauvre jeune homme était assez mal a l’aise, oui il l’avait pas l’habitude d’être aussi proche d’une jeune personne aussi charmante. Mais cela ne régler pas le problème, il faisait froid dans se fichu pays. Il avait cependant une bonne idée, à l’ endroit ou il se trouver il pouvait encore ignorer la fichu loi de ce fichu pays. Après tous, si une loi ne protège pas tous les citoyens, elle peut être ignoré, la loi et faite pour mettre tous le monde sur un pied d’égalité, une loi qui se permet de rendre esclave un peuple, peu importe ces différences ne mérite pas d’exister.

Il sortit alors de son sac, ce vieux compagnon de voyage, jamais il ne l’avait trahi et tiré de nombreux mauvais pas, a oui, ils en avaient vu tous les deux des choses. Mais ce n’était pas la question. Tous doucement il déposa la néko par terre pour évité de la réveillé. Il Sortit de son sac un paquet d’allumette, il n’en rester que deux. Bon ca irait pour cette fois, ramassa vite quelque branche et dans la minute qui suivait un beau brasier illuminé les environs. Le feu faisait son travail, réchauffons l’atmosphère, et les cœurs. Julyan adorait regardé le feu, comme les étoiles, il symbolisait tous ce qu’il défendait. Il se retourna vers la jeune néko. Elle semblait avoir froid, mais surtout elle semblait gênée.

- Quelque chose ne va pas, tu as l’air, a je ne sais pas comment dire ca, eu gênée ?

Il retourna dans son sac, chercher quelques choses à manger, trois pommes de terre, un peu de papier d’aluminium. Grace à une branche, il retira quelque une petite dizaine de braise, puis après avoir enroulé les patates dans le papier d’allu, il attendit quelques minutes.

-Lys si tu veux venir, il y a quelques patates qui seront bientôt prête. Bon, je l’avoue, pour l’instant c’est assez sommaire. Mais bientôt je vous ferez un vrai festin, ma spécialité, le saumon en papillote.

La jeune femme s'assit et elle se couvrit les pieds. Elle regarda le jeune homme lorsqu'il lui adressa la parole. Elle baissa la tête et elle parla pour la première fois.

Je trouve cela un peu normal, je suis devant vous dans ma tenu et je suis dans cette état. Oui je suis gêner.

Elle était assise enrouler dans la couverture a regarder le feu. Elle cacha le plus de peau quelle pouvait. Ses petite oreilles rousse bougeaient a chaque son. Elle était mignonne et bien former. Mélodie avait une voix qui séduisait habituellement tous les hommes qui l'avait entendu. Elle garda ses yeux vers le feu en attendant une parole de son maitre

Oui je comprends, a je vous jure, On dirait que le monde est remplis de pervers. Attend je dois avoir quelques vêtements de rechange.
Le jeune homme fouilla encore dans son sac, a croire que celui-ci contenait tous se qu’il fallait pour survivre, c’était le cas. Le jeune homme le trimbalait toujours avec lui, il contenait tous, nourriture, boissons, outils, vêtements. Bref tous se qui servait à vivre. Il tira rapidement un t-shirt, un pull, et un pantalon. Oui ce n’était pas vraiment le genre de vêtement destiné à une jeune femme, mais il n’avait rien d’autre pour l’instant. Il après s’être bien assurer que personne ne les observer, il les tendit à la jeune néko.

Je vais me tourné le temps que te change, comme ca tu seras tranquille. Je suis désolé mais niveau vêtement féminin on ne peut pas dire que je sois prévoyant sur cela.

Elle était vraiment charmante cette jeune néko, mais cela ne changer rien. Il ne pouvait pas se dire que les êtres humains puissent utiliser des êtres vivants comme des objets, les jetaient des que ceux-ci ne convenait plus. Il s’éloigna quelque temps du feu, de telle sorte qu’il ne pouvait rien voir. Et vu comme il avait les yeux fermés à ce moment là, et bien il ne pouvait rien voir du tout. Il attendit patiemment que la jeune néko se soit changé si elle le voulait.

Il se peut si vous le voulait que nous passerons un petit coup de shoping, enfin si vous le voulez.

Il ne pouvait s’empêché de pensé qu’il avait laisse le collier Mélodie. Il hésitait vraiment à l’enlever, car la première fois qu’il avait fait cela, ca avait faillit finir en massacre. Il avait cependant une idée mais voir un être vivant, porté un collier le dégouté, les nékos étaient comme les humains, alors pourquoi les traiter comme des bête.

*décidement je ne comprends même plus mes semblables.*

Argh ! Le psy qui se mettait à raconter sa vie ! Enfin, il avait bien dit qu'elle n'était pas obligée de descendre non ? Lys ne pensait pas qu'il la trouverait... c'est qu'il avait les sens aiguisés, cet humain ! Bon... Tant mieux, elle n'avait pas envie de descendre !
Lys resta donc dans l'arbre. Oui, elle était bien là. Elle était tranquille mais pouvait observer le psy et sa nouvelle hybride... Tient, il n'avait pas enlever son collier à elle d'ailleurs.
Ah ! Et cet idiot qui faisait un feu ! Il voulait ameuter le quartier ?! Ramener la police ?! Se faire arrêter et laisser la petite seule ? Non... elle n'était pas si jeune... mais elle semblait si fragile !
Voilà que le psy sortait de nouveau tout un attirail de sa poche ! Pour habiller la neko... Lys avait bien du mal à le comprendre : Pour s'occuper d'elle, n'était-il pas plus simple de la conduire chez lui ? Plutôt que devant une animalerie...

Lys soupira, se détendit légèrement sur sa branche et leva de nouveau son doux visage vers les étoiles. Les feuilles de l'arbre semblaient vouloir former comme un cocon de verdure autour d'elle. Mais tant qu'elle voyait les étoiles... Par de plafond, pas de barreaux. Lys profitait pour la première fois depuis longtemps d'une nuit de libertée.

Décidément pas bavarde cette lys, enfin il y a des tempéraments comme ca tellement désabusé qui préfère se murer dans le silence. Enfin, il se demandé de plus en plus pourquoi il l’avait choisi. Peut être parce qu’il retrouvait en elle une partie de lui, une partie de lui perdue. Une partie qu’il avait sut reconstruire, une partie appelle confiance. La confiance au autre, pourquoi donc l’avait il encore, c’était une bonne question et jamais il n’avait trouvé la réponse. Aujourd’hui il la chercher encore, peut être parce qu’il croyait encore a l’humanité. Malgré ces défauts, il ne pouvait pas s’empêcher de penser que tous n’y était pas mauvais. Il comparait souvent l’humanité a une statué ou se mêler les plus beau matériaux comme les plus vulgaires. Mais, c’était toujours à l’intérieur que les pierres précieuses et l’or étaient cachés. Profondément caché mais bien présent pourtant.

Il était allongé dans l’ombre, a repensé a ce feu crépitant symbole de tous ce qu’il détester et tous ce qu’il adorait. Symbole de passion, toujours a double tranchant. Pour ce qu’il y est de la discrétion, il s’en fichait. Pourquoi tous simplement parce que la police était suffisamment occupé pour ne pas s’occupé d’un simple feu de bois. Entre les fugitifs, les différents meurtres de ses derniers temps il était tranquille. Mais, même ils rentreraient bientôt chez lui, il avait juste profité de ce moment de calme et de sérénité. Il aimé ses moments au coin d’un feu.

( bon je m’autorise un petit double post. Vu que mélodie n’est pas réapparut depuis à peu près un petit mois. )

Déjà un quart d’heure que le jeune homme attendait dans le froid. Il décida enfin a se retourné, tous doucement histoire de bien montré a la jeune femme qu’il pourrait bientôt la voir, il ne disait rien. Pour une fois, il ne pouvait pas rompre le silence de la nuit. Quand il se retourna il trouva la jeune néko dans un profond sommeil. Oui la journée avait était dur pour tous. Ils méritaient tous un peu de repos.

- Lys, tu veux venir ? je vais l’emmenez au trou qui me sert de tanière ? La bas on pourrait peu être boire un truc chaud. Enfin si tu veux.

La jeune femme, était pire qu’un chat sauvage. Ce qui faisait tous son charme et puis elle était charmante cette lys, si la situation était différente il aurait peut être put tombé amoureux. Mais c’est une autre histoire .

Lys rouvrit les yeux. Oui, elle les avait fermés. Elle les rouvrit quand L'humain se retourna pour regarder sa nouvelle petite néko. Cela faisait longtemps qu'elle s'était endormie.
La jeune femme se crispa quand soudain il s'adressa à elle :

"Lys, tu veux venir ? Je vais l’emmener au trou qui me sert de tanière. Là-bas on pourrait peu être boire un truc chaud. Enfin si tu veux."

Elle hésita. Pourquoi pas ? Non... Mais pourquoi pas ? Lys se froça à descendre de l'arbre. Un mouvement silencieux dans l'obscurité. Elle fit un pas dans sa direction, puis soudain, elle disparut, tout simplement.
Non, elle ne pouvait pas.
Lys avait fait un bond si rapide en arrière qu'il n'avait surement pas vu son pas en avant.
Et maintenant elle courrait dans la ville, aussi vite et aussi loin que ses jambes pouvaient la porter. Très loin. Très vite. Elle courrait dans le noir.
Sa peau aussi claire que la lune, ses cheveux aussi noirs que le ciel, ses yeux brillant comme des étoiles.
Ses mouvements aussi silencieux que la nuit.
C'était ça. Son univers.

Elle courrait. Et pour la première fois depuis longtemps, Lys perçu dans son coeur une graine de bonheur. Une lueur d'espoir.

HJ/ désolée, pas d'inspi ^^"

Il avait vu malgré le noir un pas vers lui, puis un mouvement de recul. La revoilà partit, un vrai feu follet. Que met la plus belle cage ne pouvait arrêter, physiquement peut être mais jamais mentalement. Oui, libre comme le vent, il n’y avait rien de mieux. Mais ce mouvement de doute, commencer elle a lui faire confiance. Cela le fit sourire. Enfin il fallait pour l’instant s’occupé de mélodie, qui était toujours assoupie près du brasier incandescent. Il ne lui fallut qu’un coup de poing pour éteindre le brasier. Les petites braises qui volaient, rendaient cet instant magique. Puis l’obscurité, seul la lune et les étoiles brillaient. Compagnon de toujours, de tous les siècles, de tous les voyageurs. Et il rentra chez lui, le voyage lui pris plus de temps qu’en temps normale. Il avait la petite néko entre ses bras, tentant de ne pas la réveillé. Il n’arriva chez lui qu’au petit matin déposant la jeune néko dans le seul lit disponible. Il ne rester que a retrouver lys. Pour cela il lui faudrait fouillait la ville et l’animalerie serait le meilleur moyen de commencer. Il se remit donc en doute, le manque de sommeille ne le gêné pas. Depuis le temps il y était habitué

( mélodie si tu revins, je reviendrais te voir. Tu n’auras qu’à poster dans ma maison.)

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