Consentions, amour et morale

Le voyage s’était passé s’en trop de problème, rien ne s’était passé sur le chemin et il leur avait fallut peu de temps pour revenir a la maison. Aujourd’hui était pour lui comme la rupture d’une ignorance salvatrice : Ne pas se posait de question, pour vivre heureux. Mais ce temps était fini. Il y avait quelque chose qui le blessa. Elle l’appela maitre, oui, c’est ce qu’il était entrain de devenir, il lui imposait sa vie a elle qui n’avait jamais rien demandé. Hum que faire. Peu être qu’il se trompé. Peu être que finalement le destin avait prévu ce qu’il allait ce passé, que cela faisait partit de sa destiné.

Une serrure, voila ce qu’il venait de sauté, une prise de conscience. Et si, et si effectivement l’amour et la liberté était compatible ? Non ce serait trop beau, ca ne peux pas être possible. Et pourtant, pourquoi pas ? Et bien parce que ce serais trop simple bien sur. Mais pourquoi n’essayer. Il ne savait pas encore ce qu’il avait le droit ou pas.

Il était bientôt en vue de la villa, il était toujours dans ses pensées. Il ne savait pas ni comment le dire, ni comment choisir. Son cœur et son âme étaient en guerre, mais peu être bien tôt retrouveraient ils la paix. Il ne le savait pas.

LA maison, au sweet home, enfin passons. Il rentra rapidement, tout en prenant garde a ce que la néko le suive toujours. Enfin, il s’assit rapidement dans un fauteuil tout proche. Enfin il était au calme et cela lui permettrait de mieux pensé. Oui, cela irait mieux maintenant. Il ne resté plus qu’a lui annonçait, et ce serait cela le plus dur.

-Assis toi, je pense que tu va en avoir besoin. Après tous vu ce que je vais te dire cela t’évitera peu être une chute.

La jeune néko suivait son maitre en silence. Elle avait retirer sa casquette et son long manteau. Elle tenait toujours ça tortue dans ses bras. Elle ne comprenait pas tellement le nouveau comportement de son maitre. Elle n'osait pas le regarder dans les yeux. Elle marcha en silence derrière lui.

Elle mit une main sur son collier et elle eu un petit sourire. Elle se disait que sa vie d'esclave était presque fini. Elle devait toujours l'appeler maitre a l'extérieur de la maison, mais dans la maison elle pouvait faire ce quelle désir. Mélodie se sentait pour une des première fois de ça vie libre.

Lorsqu'elle aperçu la maison de son maitre, elle le regarda et elle le suivi. Quand il lui dit de s'asseoir , elle fit se qu'il lui demanda docilement. Mélodie avait un peu peur de se qu'il voulait lui dire. Elle se demandait si elle avait fait une erreur quelconque.

Elle avait les oreilles basse et elle prit sa queue de chat et elle se mit a jouer avec nerveusement. Elle ne comprenait pas de quoi son maitre voulait lui parler.

Bien, le moment était venu, il ne savait toujours pas comment lui annoncé cela mais cela serait très dur. Après tous, s’était la première fois qu’il tombait amoureux, enfin si c’était ca l’amour. Il ne le savait même pas. Pourtant, il n’y avait que cela qui avait cet effet. Enfin, peu être il ne le savait même plus. Enfin il regarda la jeune néko, et une chaleur l’envahit. Si c’était vraiment cela l’amour, peu être valait il mieux seder. Mais ses résolutions, hum que faire ? Déjà peut être lui avoué. La jeune néko semblait nerveuse, mais pourquoi. Enfin si il en avait une idée, elle était aussi nerveuse que lui. Bien, comment lui dire.

-Voila mélodie, je voudrais te dire quelques choses. Tu sais au magasin, il s’est passé quelque chose. Je ne sais pas ce qu’il se passe. Enfin si je pense savoir. Mais je ne sais pas quoi faire. Je crois que je t’aime, mais si c’est le cas, je dois renier tous ce que j’étais depuis près de cinq longues années. Bref, je ne sais pas quoi faire. A savoir, est ce que je dois t’aimé, ou bien continué a vivre dans cette illusion de destin.

Le jeune homme était mal à l’aise, plus que cela, même. Il ne savait pas ce qu’il devait faire. Peu être que oui ca vie ne devait être qu’une série de doute, et de souffrance. Enfin, peu être que non. Ou bien peu être que si. Peu importe, ce qu’il redouté c’était ce que Mélodie penserait de lui, il l’avait blessé il y avait quelques heures et maintenant il se disait amoureux. Mais c’était peu être vrai a prés tout, oui il était peu être amoureux. Mais lui-même ne savait plus rien. Toute ses convictions avait fondu comme un bloc de glace sous le soleil d’un mois d’aout

Mélodie écoutait son maitre en silence. Elle avait les oreilles base pensant se faire disputer. Lorsqu'il commença, elle resta la a l'écouter, mais quand il dit ''Je crois que je t’aime'' Mélodie remonta les yeux vers son maitre et elle le regarda dans les yeux. Elle ne savait que dire, elle ne savait que faire. La jeune esclave se leva et elle alla doucement s'agenouiller devant son maitre. Elle mit doucement sa tête sur les genou de son maitre et elle lui dit doucement .

-Si vous ne savez pas se que vous devez faire, c'est que vous n'êtes pas près à laisser quelqu'un rentré dans votre cœur. Moi aussi jais beaucoup d'affection pour vous, mais je ne veux pas que vous regretter de m'aimer. Jamais je veux vous empêcher de faire se que vous aimez. Je veux votre bonheur.

Elle le regarda avec un petit sourire . Elle avait sa tête accoter sur les genou de son maitre. Elle se frotta sur lui comme un chaton. Elle se mit a ronronner doucement.

Ces paroles raisonnées à son cœur comme un chant. Un chant de guérison qui panse les blessures, et les incertitudes. Mais est ce que cela suffirait a le conforté dans l’un de ses choix, il ne le savait pas. Mais ce ronronnement le conforté dans une chose, oui elle ne le laissé pas de glace. Maintenant il ne lui restait qu’a attendre, attendre que son cœur choisisse entre une voie ou l’autre. Il se devait de lui dire.

- Je ne sais pas, je ne sais pas qu’est ce que je dois choisir. Mon cœur et mon âme sont en conflit. Je sais que tu m’aime, mais moi je ne sais pas quoi choisir, entre la liberté et l’amour. Entre toi, et mon passé. Je sais que je te fais souffrir, mais je te demande juste un peu de temps. Une nuit, deux au maximum, peu être même moins. Le temps seul pourra me dire ce que je dois choisir. Mais je, je ne sais pas aimé. Je ne pensais que jamais cela ne m’arriverais. Je ne te promets donc rien, car je ne sais pas dans quoi je nous embarque. J’espère juste que cela ne se finira pas comme dans mon passé.

Le jeune homme resta enfoncé dans se fauteuil, il était complètement épuisé, jamais il n’avait vécut cela. Cette fatigue était morale plus que physique, pour l’instant il ne songeait qu’a une chose, trouvé le repos a ce conflit. Mais le sommeil ne lui reviendrais que dans deux cas, soit en trouvant la paix, soit il serait éternelle, et il serait de retour dans les limbes. Dans tous les cas, il ne savait pas quoi faire.

La jeune femme était toujours accoter contre ses genoux. Elle le regarda avec son regard bleu. Elle ne fessait que ronronner et l'écouter. Elle voyait très bien qu'il était épuiser.

La jeune néko le regarda et elle se leva et elle alla chercher une couverture. Elle la mit doucement sur le corps de son maitre et elle lui donna un doux baiser sur le front. Elle lui dit.

Je ne suis pas presser vous savez, vous êtes ma seule famille je n'est nul part ou aller. Mais je me demande pourquoi devez -vous choisir, vous ne pouvez pas faire les deux. Je ne veux pas vous forcer à m'aimer.

Elle se remit à genou devant lui et elle retourna s'accoter sur ses genoux. Elle resterait avec lui pour le laisser dormir tranquillement. Elle allait prendre soin de lui même si il ne l'aimerait pas. Elle le regarda et elle resta en silence.

Oui, il était épuisé mais il ne dormirait pas encore cette nuit, il avait encore une dernière chose à faire. Il regarda la jeune néko lui apporté une couverture. Il se sentait bien. Elle était avec lui, et jamais il ne s’était sentit aussi bien, il en était d’ailleurs honteux. Ce n’était pas a elle a prendre soin de lui mais l’inverse.

-Pourquoi, parce qu’il y a quelques année j’ai perdu la chose la que j’avais la plus cher au monde a cause de l’amour. Pour survivre j’ai du ne plus jamais écouté mon cœur, celui-ci était remplie de haine et de souffrance. Il ne souffre plus autant qu’autre fois. Mais certaines blessures sont encore présentes. Et puis, il faut dire ce qu’il est. Je ne suis toujours en vie parce que j’ai un objectif, vivre dans un monde ou chaqu’un aurait le choix. Le choix de vivre comment il le veut, l’hybride ou l’humain sont identiques après tous. Mais je ne sais pas si les deux sont compatibles.

Il était épuisé bien sur. Il aurait voulut dormir, ne serais ce qu’une heure ou deux, mais il ne pouvait pas s’empêcher de pensé a ses parents, a sa promesse et a Mélodie, les trois étant les seules choses qui comptait a ses yeux. Il aurait voulu savoir l’heure. De la ou il était il ne voyait pas quel heure il était et a 18h il avait rendez vous avez son fournisseur. Pour se prodigué les explosifs qui lui servirait a incendie le quai, retardant encore l’arrivage des prochains hybrides. Il demanda a la jeune néko.

-Dit moi s’il te plait qu’elle heure est il, est ce que j’ai encore le temps. Le temps et la seul chose que je n’ai plus. La seule chose qui me manque. Crois moi nous avons jamais assez le temps.

La jeune fille le regarda et elle s'étira pour voir l'horloge. Il était bientôt 15h. Elle le regarda et elle lui dit

-14h54

Elle se ré accota sur ses genoux et elle se remis a ronronner . La seule présence de son maitre la fessait se sentir heureuse. Elle se frotta doucement contre lui et elle le regarda dans les yeux.

Elle ne pouvait rien dire pour le convaincre que il pourrait continuer a faire ce qu'il fait et aussi être aimer par une femme. Elle ferma les yeux doucement pour avoir un instant de bonheur. Elle resta en silence.

Ce regard fut comme lui comme une clé, il déverrouilla, l’étau de ses craintes. Elle avait raison et il le savait. Il pouvait l’aimé et continué a lutté contre cette humanité qui n’avait aucun autre but que d’asservir l’autre et en faire un jouet. Il se sentait mieux. Et son cœur était désormais en paix avec son âme. Maintenant il pouvait l’aimé. Il ne savait pas encore jusque ou, et comment. Mais il s’avait qu’il avait lui aussi le droit d’être heureux temps qu’il n’oublierait pas les autres.

-Oui tu as raison, j’ai le droit d’être moi aussi heureux, j’ai de le droit de vivre ma vie. Mais je ne dois pas oublié les autres. Tant que je vivrais comme cela j’aurais le droit moi aussi à mon bonheur. Ecoute, je ne sais pas comment aimé, mais je veux bien essayer. Je ne peux cependant rien te promettrais. Car moi, j’ai crut que pendant longtemps je serais marié a mon passé pour le restant de mes jours.

Il se leva doucement, et la releva tous en la plaquant contre lui. Depuis la première fois depuis des années, il était heureux. Enfin heureux. Combien de temps cet état de paix durerait chez lui, il ne le savait pas. Mais il l’espérait que ce serait éternellement. Il s’assit ensuite sur le fauteuil, elle toujours sur lui, l’obligeant elle aussi a s’assoir sur lui. Si on lui avait dit hier qu’il trouverait l’amour il serait parti en vous prenant pour fou. Mais il fallait se faire une raison, il était bien amoureux. Et même s’il était fou, en fin en partie c’était de quelqu’un d’autre et pas de douleur. Et cela, cela il ne l’avait pas ressentit depuis bien longtemps. Peu être qu’aujourd’hui s’annonçait sous les meilleurs hospices. Il ne le savait pas

La jeune femme se leva avec lui. Elle était maintenant dans les bras de son maitre. Elle le regarda et elle lui fit un jolie sourire.

Elle s'assit sur ses genou et elle s'accota la tête sur l'épaule de son amour. Elle ferma les yeux et elle se mit a ronronner. Elle se sentait si bien. Elle reprit la couverture qui était maintenant par terre et elle la mit sur leurs deux corps. Elle regarda le jeune et elle lui caressa doucement la joue avant d'aller enfuir son visage dans son cou.

Mélodie déposa un léger baiser dans le creux du cou du jeune homme. Elle n'avait rien d'autre a dire. Elle était juste bien dans les bras de son maitre.

Elle était maintenant sur lui. Son corps agissait sur lui comme le meilleur remède possible. Jamais il ne s’était sentit si bien. Il aurait voulu que jamais ce ne se termine. Que a jamais le temps se figue sur se bonheur que la vie lui accordait enfin. Il sentait la crinière de la jeune néko sur son dos, et cela lui faisait du bien. Puis elle se mit a ronronné, lui aussi, s’il avait put l’aurait sans doute fait. Mais il n’était pas comme elle. Et elle était différente des autres. Simple sans préjuger inutile.

Puis, elle se redressa, et repris la couverture. Se mouvement lui sortit un frison, son corps lui manqué. Et il ne s’était même pas séparé depuis une seconde. Pourtant, pourtant elle lui manqué déjà. Elle lui revint, en ramenant sur eux la couverture, mais il s’en fichait seule elle embrasé son cœur, et son esprit. Il ne voulait que sentir son corps contre le sien.

Il sentit une caresse, et il en frissonna. Mais s’était un frison de surprise plutôt que de froid ou de peur. Puis elle replongea dans son coup. Il pouvait sentir son souffle doux et chaud sur lui. Puis, il sentit dans son cou un baiser. Il l’enveloppa de son bras, il voulait être au plus près d’elle. Ils ne faisaient plus qu’un désormais, perdu dans une infinité, Ils étaient seuls et pourtant si heureux. Il brisa le silence.

-Je t’aime, je le sais maintenant, et j’espère que cet instant durera toujours, mais je sais que ce n’est pas vrai. Car dans trois heures je devrais partir, et pendant le peu de temps que je ne te ferais pas je serais malheureux. Pourtant je dois partir. Mais je ne le fait que pour être plus proche de toi a mon retour.

Mélodie sentit les frisson du jeune homme. Elle souriait tendrement et elle resta coller contre lui. Pour la première fois de ça vie elle était dans les bras d'un pas par obligation mais par amour. Elle se sentait si bien à cette instant. Elle aussi aurait voulu que le temps s'arrête. Lorsqu'elle entendit Julyan parler elle le regarda et elle lui dit doucement

-Ne vous inquiétez pas, à votre retour je serrai toujours ici à vous attendre. Vous avez qu'a m'expliquer qu'est ce que je dois faire pour le repas et je le ferrait. Je veux que vous revenez ici et vous accueillir avec un bon repas.

Elle lui sourie et elle se recolla. Elle se remit a ronronner et elle frotta doucement son nez dans le creux du cou du jeune homme. Elle ferma les yeux et elle profita du moment présent. Elle se sentait tellement bien dans les bras de son amour. Oui elle le vouvoyait encore, ce n'était que par respect. La jeune esclave devait doucement être déprogrammer à être une esclave et reprogrammer à devenir une jeune femme normal. Elle perdait peu à peu ses comportement d'esclave, mais on ne pouvait pas lui en demander trop pour le moment.

Il la sentait contre lui pour la première et pout la première fois son cœur ne crié pas de douleur mais au contraire baigné dans l’allégresse. Il ne pouvait détacher son regard d’elle. Et il la sentait rayonnait, oui il ne l’avait jamais vu aussi belle. L’hybride n’était plus une esclave, mais juste une jeune femme comme toute, non plus belle que tous les autres. Il aima sa voix, son visage et son cœur, il l’aimé de tous son être. Il l’écouta, et se mit à sourire.

-Ne t’en fait pas pour le repas, je m’en occuperais a mon retour. Je veux juste te savoir près de moi, car c’est la seule chose qui compte. Bientôt j’aurais fini, et nous pourrons vivre ensemble et sens ennuis. Enfin jusqu'à la prochaine fois. Mais ca ne sera pas avant un petit peu de temps.

Il y avait cependant une question qui le taraudé, ce n’était pas une question importante, mais il voulait savoir si la néko avait déjà ressentit cela pour quelqu’un d’autre. Il l’espérait d’ailleurs, sinon, il la plaigne. Car subir une vie d’asservissement sans amour, sans la moindre trace d’affection, il y avait de quoi devenir fou.

-Dit moi Mélodie, a tu déjà connus l’amour avant moi, ou bien est ce comme moi ton cœur n’a jamais eu la chance de connaitre la joie que nous vivons aujourd’hui.

Elle continué a le vouvoyer, mais lui n’arrivé pas encore a l’appelle mon cœur, mon ange, mon amour, bref tous ces petits noms. Toute ces petites attention, pourtant il n’aimé pas moins qu’un autre, mais il n’y arrivé pas. Il ne pouvait pas dire cela de peur que son rêve ne se brise. Comme elle, il avait encore besoin de temps. Mais cela viendrais. Il se resserra contre elle, on aurait presque dit que oui leur deux corps n’en était plus qu’un.

La jeune néko était toujours assise sur son maitre. Elle resta la tête accoter sur son épaule. Elle écoutait ce qu'il lui disait son maitre. Elle le va la tête quand Julyan lui dit qu'il s'occuperait du repas. Elle le regarda dans les yeux et elle se ré accota en silence. Elle referma les yeux pour continuer a relaxer dans les bras de son maitre. Elle était tellement bien. Lorsque son maitre lui posa une question sur ses ancien amour, Mélodie se redressa et elle le regarda dans les yeux. Elle lui dit.

-J'ai passer ma vie avec ma sœur aine comme esclave. Donc c'était elle qui me protégeait ou que me soignait quand un de nos maitre me battait. Elle aimait mieux recevoir deux fois plus de cou de fouet et de me voir sans une égratignure. Il y a un mois, un animalier a réussie a nous séparer et c'est depuis se temps la que je n'est pas eu de nouvelle. Mais il y a quelque temps, j'ai ressenti comme un vide comme si quelque chose venais de s'éteindre en moi. Quelques jours avant votre venu a l'animalerie jai entendu a travers les grilles de ma cage que ma soeur jumelle était morte tuer par un homme. Je reconnaissait bien ma soeur. Jamais elle ne c'était laisse mener. Sinon à part ma soeur, personne ne m'a donner de l'affection.

Elle se recolla et elle lui dit

-Vous êtes le premier.

Elle referma les yeux et elle enfuit son visage dans le cou du jeune homme. Elle aimait beaucoup l'odeur de son maitre. Elle ronronnait tendrement.

Ainsi il était trop tard pour elle, et c’était en partis sa faute : Oui, malgré tous ses efforts pour évité que les hybrides ne finisse comme ca, il avait échoué. Il savait que généralement, tous ses efforts donné ne menait a rien, car la semaine suivante, la plus part des hybrides capturé retourné immédiatement en cage ou dans les quelques jours suivants était retrouvé, cependant cela permettait de remettre leur laissé un petit peu de répit, de remettre les compteurs a zéro. En espérant qu’une bonne âme les prendre sous son aile. Mais les bonnes en se moment il n’y croyait plus. Mais pour l’instant il devait mettre ses doutes entres parenthèses car c’était mélodie qui avait besoin de réconfort.

-je suis désolé, car ces aussi en partis ma fautes si elle n’est plus la : j’aurais put la sauver sans doute. Mais il y a tellement à faire, et si peu de monde prêt pour cela. Mais je suis convaincu qu’elle continu a veillé sur toi, et qu’elle est heureuse de te voir heureuse. Je sais ca ressemble au sermon des sectes, mais bon.

Il la prit encore une fois dans ses bras, mais l’étreinte était ce coup si un peu plus forte, plus protectrice aussi. Il voulait qu’elle oublie cela, qu’elle oublie les mauvais moments de ce funeste passé. Il était avec elle cela ne changerait jamais. Peu importe ce qu’il devait faire.

-Je ne sais plus quoi pensé de mes semblables, partout ou je vais-je ne vois que peine, et souffrance, guerre et famine. Et cela provoqué par l’homme, peu être et ce que finalement ce sont nous les tares de la nature, mais cela n’est plus important.

Il se recolla contre la jeune femme. Il n’était bien que quand était près d’elle. Et jamais il ne voulait que ce moment de bonheur finisse. Pourtant il serait bientôt l’heure.

La jeune néko resta dans les bras de son mettre. Elle se laissa serrer dans les bras de son maitre en silence. Elle ronronnait d'aise. Mélodie leva doucement la tête et elle alla tendrement déposer un baiser sur le front du jeune homme. Il se posait tellement de question. Elle le regarda dans les yeux et elle lui dit

-Vous savez, les hybrides on été fabriquer par les hommes. Nous sommes que pour eux des animaux de compagnie comme nos moitiés, les chat, les chien, les lapin et j'en passe. Nous sommes que des jouets pour eux. Puisque durant notre fabrication les humains nous on rendu attirant pour tous les humain. Des femmes hybrides aux hommes.

Pourquoi vous battez vous pour une cause qui d'après moi est perdu d'avance. Oui notre humanité nous donne toute les qualité des humains, mais nous ne sommes pas une création naturel. Pour nous aider, il faudrait s'attaquer a la source du problème. Au usine de fabrication d'hybride, mais en fessant ça c'est peut être la fin de ma race.

Elle lui caressa la joue et elle lui dit.

Donc je peu vous être utiles je crois. Je connais plus de chose sur les hybrides que vous.

-Oui, ce sont les humain qui vous on créer, je le sais, et j’en suis conscient. Cependant vous avait une âme, et vous êtes aussi intelligent que nous. Vous êtes nos égaux, et cela peu de j’en sans rend compte. Si je suivais ton résonnement je me serais servit de toi et je t’aurais jetais. Mais je ne le peu pas, parce que nos cœur battent au même rythme, ta voix et comme la mienne, nous sommes quasiment identiques. Je ne veux pas la fin des hybrides, je veux juste un monde ou nos deux races peuvent vivres en paix. Ou il n’y aura plus ni peine, ni souffrance. Nous n’y sommes pas encore, et je doute qu’un jour nous y seront. Mais il est possible d’amélioré se monde.

Il l’embrassa également sur le front. Oui, il savait bien sur qu’elle en savait plus que lui sur les hybrides, il savait qu’elle pourrait l’aidé, mais il ne voulait pas l’exposé, ni au milieu ni a autre chose. Elle pourrait devenir un moyen de pression. Ou pire être exposé a un danger certain.

-Je ne sais pas si tu es au courant, mais il y a déjà eu trois laboratoire de la région qui on était la cible d’attentat, miraculeusement personne n’a était blessé, mais cela coutera très chère de réparer tous les dégâts. Je sais que tu me serais d’une aide précieuse, mais se serait te mettre en danger et je ne peux même pas imaginé cette idée, je sais me fondre dans la masse, je sais survivre a peu près n’importe quoi, enfin n’exagérons rien, mais quand même. Mais toi, non et si jamais tu tombé sur un piège, tu pourrais mourir et ca je ne veux même pas l’imaginé. J’en serais malheureux et je ne suis pas sur de survivre, nous avons déjà tous les deux trop perdu.

Mélodie ferma les yeux lorsque julyan l'embrassa sur le front. Elle lui sourie et elle lui dit doucement.

-Si ma perte servira pour aider les hybrides de se monde, je suis prête à faire tous ce qui est en mon pouvoir pour vous aidez dans votre mission. Je veux venger la mort de ma sœur. Je veux aider les hybrides à ne pas vivre les même horreurs que jai vécu.

Elle tourna un peu pour dévoiler son dos qui était plein de cicatrice. Oui avec les crèmes qu'il avait mit dessus elle ne fessait moins, mal, mais jamais elle voulait qu'une autre créature ne souffre comme elle a fait elle même. Elle rebaissa son chandail et elle ce recolla doucement contre lui. Elle voulait venger sa sœur. Même si cela devant la faire mourir.

Ainsi la jeune femme voulait ce venger, pourtant la vengeance était la pire chose qui pouvait dictait le cœur d’une personne, Homme ou Néko, La vengeance n’entrainé que souffrance, peine et malheur c’était une raison de plus. Non c’était décidé il ne la laisserait pas venir. Elle ne devait pas l’accompagné, elle ne risquait rien de plus que la mort, et en plus elle n’était pas assez entrainé. Il serait ferme et définitif elle ne viendrait pas.

.-ce que je vais te dire va sans doute te choqué, mais je refuse que tu viennes et ce sera définitif, rien ne me fera changer d’avis. Et ceux pour trois raisons. La première tu veux te venger, et a ce titre, ton cœur risque de te conduire sur des voies que tu regretterais sans doute toute ta vie. La seconde tu es blessés et a ce titre tu n’a pas encore toute l’agilité nécessaire pour échappé a une course poursuite ou a une fusillade, et puis tu manque d’entrainement tu ne tiendras pas dix minutes s’il faut courir. La troisième enfin, c’est que tu compte beaucoup trop a mes yeux pour que je te laisse prendre le moindre risque. Je ne reviendrais pas la dessus. Et ma décision et irrévocable, je suis désolé

Bien sur qu’il n’aimé pas ce montré aussi strict, mais il le devait, il ne pouvait pas prendre le risque qu’elle se fasse blessé. Lui il avait l’habitude, il connaissait toute les ficelles du métier, tous les tours de passes passe pour s’en sortir. Pas elle. Elle resterait ici. Il ne bougerait pas.

La jeune femme le comprenait très bien les sentiment du jeune homme. Elle n'allait pas le désobéir. Elle se recolla doucement sur lui et elle lui dit doucement

-Je comprend très bien votre point de vue, et je ne vous désobéirez pas. Je vais rester ici sagement a attendre votre retour. Mais promettez une chose, ne laisser personne vous faire de mal.

En disant ses mots, elle approcha doucement son visage de celui de son maitre. Elle l'embrassa doucement sur la joue en s'approchant doucement de la bouche du jeune homme. Elle ne savait pas si elle devait l'embrasser ou si il n'était pas près à cela. Mélodie respirait doucement le parfum de l'haleine du jeune homme. Elle était si proche quelle pouvait l'embrasser, mais elle laissa le soin à Julyan de décider si il le voulait ou non .

-Ne t’en fait pas pour moi, depuis le temps que je vis dans la rue, je connais toute les combines, tous les trucs, bref ce ne sera pas aujourd’hui que quelqu’un mettra la main sur moi, surtout que maintenant j’ai une raison pour me battre.

La jeune femme approcha doucement son visage du sien. Elle l’embrassa sur la joue, et elle continuait à s’approcher. Il était maintenant à moins de quelques millimètres l’un de l’autre. Il pouvait sentir son odeur. Sa bouche était si proche de la sienne. Il y déposa rapidement les lèvres. Mais ne put aller plus loin. S’était encore trop récent pour lui, il lui fallait du temps. Le temps de panser ses anciennes blessures. Si son passé avait était différent il aurait déjà succombé a la tentation, mais ce n’était pas encore le cas. Il y avait encore un reste d’appréhension mais cela changerait bientôt. De toute façon, il était bientôt l’heure d’y allé. Il était l’heure. L’heure d’avancer vers sa destiné et d’aidé un peu les autres. Comme il le faisait déjà depuis deux longues années. Peut être prendrait il sa retraite bientôt, mais ce ne serait que lorsque son œuvre serait accomplit.

-Je suis désolé, mais je ne peux pas allé plus loin. Laisse-moi un peu temps. De toute façon, il est l’heure que j’y aille. Je serais de retour dans quelques temps. Une heure ou deux tous au plus, ne t’en fait pas, je vais revenir.

Il l’a prit encore une fois dans ses bras. Si seulement cet instant pourrait durer infiniment. Il n’aurait voulu que cela mais le destin lui disait d’y allé. Et comme son cœur il suivait toujours l’appel du destin.

Mélodie profita du court baiser que julyan lui offrait. Elle lui sourie à la fin du baiser et elle le prit dans ses bras. Lorsqu'il lui annonça que c'était le temps pour lui de partir, Mélodie le regarda d'un aire triste et elle lui dit

-Reviens vite.

Elle se leva pour le laisser partir et elle le regarda d'un aire triste. C'était un peu normal, Julyan allais dans des endroit risquer. Elle alla le reconduire à la porte et avant qu'il la quitte, elle lui dite.

Fait attention a toi

Elle l'embrassa tendrement sur la joue droite avant de se reculer pour le laisser partir

Voila une heure qu’il était parti. Il avait réussit encore une fois. Le hangar était maintenant hors service, et comme d’habitude personne n’avait était blessé. Enfin bref, Lui cependant ne s’en était pas sorti tout à fait indemne, il avait faillit y restait, encore une fois, mais une fois de plus il s’en était sorti. Comme d’habitude. Il s’en était tiré avec quelques égratignures, mais il s’avait qu’il y avait de très forte chance pour qu’il se fasse crier dessus par mélodie. C’était justement pour cela qu’il avait fallait y restait. Il avait pensé a elle, ce qui lui avait fallut d’être effleurer par une balle. Bref, il n’avait pas était touché mais sa jambe lui rappellerait bien qu’il devrait éviter a tous prix de commettre la même chose. Mais cela lui avait appris qu’il devait aussi ne plus avoir peur du lendemain. Et vivre chaque instant présent comme le dernier. Il hésitait maintenant mais peu importe, il ne referait pas cette erreur.

Il rentra rapidement chez lui. Il ne la trouva pas. Il était fatigué, mais surtout complètement sale. Il avait besoin d’une douche, d’une longue douche. Il la retrouverait dans peu de temps. Il resta sous l’eau une bonne vingtaine de minute, avant de se rhabillait.

Il sortit rapidement avant de s’écroulait sur le canapé. Déjà près de deux nuits qu’il ne dormait plus. Enfin presque plus. Et les derniers efforts de ses vingt quatre heure l’avait complètement épuisait. Déjà deux laboratoires et un hangar détruit en moins d’une journée. Il dormait maintenant profondément. Il voulait voir Mélodie, mais son corps lui était trop fatigué, ca ne serait que partie remise.

La jeune femme avait errer sans but dans la maison. Elle avait fait les 100 pas durant une bonne heures. Après elle avait trouver le balais et elle l'avait passer dans toute les pièces de la maison. La maison n'avait surement jamais été aussi propre. Mélodie avait visité toute les chambre. Elle avait décider de prendre la chambre qui était la plus près de celle de son maitre.

Parfois, la jeune esclave regardait par la fenêtre pour voir si Julyan ne revenait pas. Elle imagina comment elle pourrait placer sa chambre. Elle avait décider de mettre son lit dans le milieu de la chambre et les bureau sur chaque mur. Elle se promenait dans la maison sa tortue a la mains. Elle n'aimait pas trop être seule.

La jeune femme rentra doucement dans la chambre de son maitre. Il y passait surement pas beaucoup de temps, mais cette pièce avait son odeur. Mélodie enfoui son nez donc l'oreiller pour respirer le doux parfum de son maitre. Elle s'endormit quelque temps après. Elle n'avait pas manger, et elle était épuiser de sa journées. Son corps se roula en boule pour faire disparaitre les grognement de son estomac. Elle n'entendit pas son maitre rentré. Elle dormait pour oublier sa faim.

Enfin bref, il fouilla dans toute la maison avant de la retrouver sur le lit de sa chambre . Elle dormait, elle était si paisible. Il avait eu honte de l’avoir laisser. Mais il n’avait pas vraiment le choix. Il était près d’elle désormais. Elle était complètement repliée sur elle-même. Bon, effectivement, elle dormait sur son lit. Mais en temps, elle était quand même sa petite amie, enfin ce point était encore obscure a son esprit. Elle était plutôt celle qui avait dégelé son cœur. Donc oui on pouvait dire petite amie. Il était environs huit heures du soir.

Si elle n’avait pas mangé, elle devait avoir faim, très faim. Il se dirigea vers la cuisine. Il prit rapidement quelques pommes de terre, un morceau de viande et un ognon. Il fit rapidement cuire le tout. Un doux fumet s’échappa du plat, Il prit deux bol dans le placard d’en face et les posa proche de la marmite. Après avoir versé deux louches du ragout dans chaque bol il se dirigea vers sa chambre. Et lui aussi s’allongea sur son lit. Il resta quelques instant près d’elle a l’observait dans son sommeil. Elle se réveillerait sans doute bientôt. Mais, il ne la déranger pas, il voulait la protéger. De tous ces vilains songes qui hantent les nuits. Il était silencieux, immobile. Mais quand elle se réveillerait elle trouverait avec joie sans doute son amour.

Une chose le déranger, il n’avait pas sut tenir sa promesse. Son épaule le faisait souffrir mais il ne disait rien, il en avait l’habitude. Un coup de crème et cela passerait sans doute. Enfin il l’espérait.