un don. ( privé mélodie. peut être hentai)

Le jeune homme laissa faire la jeune femme, appréciant qu’elle prenne enfin des initiatives, car il s’avait bien que malgré tous le respect qu’il avait pour elle, durant des années elle avait était habitué à être au service des humains. Ainsi même s’il ne connaissait pas tous de son passer, il ne pouvait donc que l’imaginer.



La jeune femme s’installa sur lui comme une cavalière sur sa monture. Et à vrai dire, cela ne lui déplaisait pas. Il observa la jeune femme, qu’elle était belle, une véritable amazone. Elle incarné à la fois la force et la beauté, la douceur et la force. Oui elle était belle dans cette position de guerrière et il s’avait que devant lui se trouver la femme de sa vie. Celle qui le complète. Et tant dis que elle l’embrasser, lui il lui rendait ses baiser se laissant porter par cette vague d’amour. Elle était contre lui et il ne pouvait que percevoir son souffle chaud et régulier car il avait choisi de fermer les yeux. Car cet instant magique devait profiter à chaque sens. Pour que jamais ces moments ne s’efface de sa mémoire. Ainsi lorsque la jeune femme lui dit ces mots, il ne put s’empêcher de la prendre dans ses bras. Ses mots l’avaient profondément touché, comme peut de chose avant elle. Il l’attendit quelques instants que la jeune femme ai fini de parler. Puis posa doucement son index sur la bouche de la jeune femme avant lui-même ouvrir la bouche, mais pour une fois son cerveau ne disait rien. Seul son cœur parlait.



-Je sais ce que tu ressens, car je vie la même chose Mélodie. Mais nous n’avons pas besoin de mot pour nous comprendre. Nous sommes liés par une force qui nous dépasse. Sache juste que tu es la seul qui compte à mes yeux, celle a qui je veux donner le monde si c’est ce que tu veux. Jamais je ne serais séparé de toi. Car ce qui me rend heureux c’est ton bonheur. Ainsi si tu veux me rendre heureux, je ne peux que te dire d’être heureuse, et d’être toi-même. C’est la seul recette du bonheur que je connais. Et je veux le tien comme tu veux le mien. Ainsi nous vivrons heureux parce que jamais personne ne pourra nous séparer.

Julyan laissa partie la jeune femme, car elle avait raison il se faisait tard, et les deux jeunes gens avaient besoin de sommeil. Mais au fond, il savait que cela était nécessaire. Et puis, ce n’était que leurs premières nuits en temps que couple, et surement pas la dernière alors il était temps que les deux jeunes gens aillent se reposer. Il attendit donc que la jeune femme revienne. Et elle ne tarda pas, mais avant cela la jeune femme s’était changer. Elle était belle même dans les tenues les plus communes. Mais cela s’était une autre histoire. Il attendait le retour de la jeune femme, mais celui-ci ne fut pas très long, car quelques minutes plus tard la jeune femme revint avec un plateau chargé de vivre et un bout de papier.



La jeune femme lui tendit alors un bout de papier que le jeune homme prit immédiatement. Il ne mit pas longtemps à lire l’invitation. Un bal, il ne savait pas danser mais pourquoi pas, ce serait peut être une bonne façon de rencontrer du monde. Lui cela ne lui faisait rien d’y allé, mais il fallait voir avec la jeune femme. Apres tous ce serait-elle qui serait la vedette.



- Qu’est ce que tu en pense, tu veux y allé ? Personnellement cela ne me fait rien tant que tu me demande pas d’y allé en costume. Et autre petite précision la dance et moi on n’est pas très ami. Mais écoute si tu veux d’un cavalier habiller comme un sac a patate et qui ne sais pas danser je suis ton homme.

Le jeune homme prenais tous cela avec humour cependant il fallait dire vrai, ce n’était pas son style ni ses aptitude a la dance qui le rendait exceptionnel loin, de la.

Bien sur le jeune homme ne serait pas à l’aise, mais était ce une raison pour priver la jeune hybride de ce genre de réjouissance. Non, se serais égoïste de sa part. Et puis il passerait peut être un bon moment après tous. Bha il verrait, et puis s’il se souvenait bien et bien ce bal était ouvert a tous et a toute. Hybride comme humain main dans la main le temps d’une soirée, oui il était de son devoir d’y assister. Il se leva donc du lit ou il se trouvait avec la jeune femme. Alors que celle-ci venait de jeter l’invitation en soupirant le jeune homme lui prit la main. Doucement en se mettant a genoux et en disant.



- Est-ce que la belle princesse qui se trouve devant moi voudra bien accompagner le pauvre homme que je suis. Je ne te promets pas de ne pas te marcher sur les pieds par contre pour un slot mais si tu me fais l’honneur de m’accompagner se sera avec plaisir. Enfin, je te demande juste un petit truc. Juste ne m’oblige pas de me transformer en pingouin. Non parce que je n’aimerais pas finir en repas. Mais sinon je te propose la chose suivante, on mange un petit peu et après on y va ?



Il remonta sur le lit avant de se coller a la jeune femme et de la prendre dans les bras. Se nourrir que d’amour et d’eau fraiche, peut être. Mais pourquoi s’y limité. Et puis un peu de raisin n’avait pas fait de mal a personne, surtout comme il allait s’en servit. Il allait directement les manger sur le coup de la jeune néko. Oui c’était une façon pour lui de manger tous en prolongeant un petit peu les activités de la nuit dernière. Il ne restait plus qu’a espérer que la jeune femme ne le prenne pas trop mal.

Le jeune homme observa son amour, et comprit vite que la belle hybride était chatouilleuse. Il arrêta donc son calvaire, pour la laisser en vie a la fin de leur petit déjeuné. La faire mourir de rire n’étant pas spécialement son objectif il la laissa se dégagé et ne partit pas a sa poursuite. Enfin, il était quand même soulagé, il n’aurait pas a se déguisait en pingouin. Quoi que, s’il voulait faire honneur à Mélodie, il devait quand même faire honneur à la jeune femme. Ainsi il se décida à trouver quelques chose dans sa garde robe. Ainsi pendant que celle-ci fit la vaisselle, lui cherchait désespérément quelque chose d’un peu classe. Malheureusement pour le jeune homme sa garde robe étant très peut fournie, Il n’y avait pas grand-chose. Cependant au bout que quelques essais il avait finalement réussit à créer quelques choses de pas trop ridicule pour la jeune femme. Il entendit quelques bruits d’eau et compris que celle-ci venait de prendre la salle de bain. Et étant décidé a embêtait gentiment la jeune femme il alla la rejoindre dans la pièce exiguë.





Il pensait avoir devant ses yeux une nymphe, une créature mythique dont la seule voix pouvait charmer un homme et dont les formes plus qu’ensorcelante. Et il fallait le dire de se coté là, la jeune hybride n’avait rien à envier aux divinités grec.



- J’espère qu’Artémis ne me maudira pas pour avoir surpris une de ses nymphes dans son bain. Toi belle créature dont les déesses sont jalouses car ta beauté n’as nul égale. Comment vis tu le fais d’être chasser de l’éden ? Mais puisque tu as choisi le pauvre homme que je suis comme âme sœur permet moi de te rejoindre dans cette source, ou les seuls témoins de notre amour ne seront que les gouttes d’eau ruisselant sur ton corps.

Le jeune homme en avait peut être un peut trop fait, mais peut importe car au fond, peut importe sa réponse, elle était bien belle comme cela. Mais si jamais elle accepter sa présence, il en profiterait pour passer un bon moment avec celle qui comblait son cœur.

Le jeune homme regarda la jeune femme comprenant que celle-ci n’avait sans doute pas compris ce qu’il venait de dire, mais il s’en moquait royalement. Il ne voulait pas la gêné. Ainsi lorsque la jeune femme lui fit de la place dans la douche il l’observa encore un peu avant d’entrer. Il ne s’était même pas déshabillait. Non il était entré comme cela, et n’était pas décidé à changer. Mouillait oui il le serait mais peut importe, ce n’était pas ses vêtements qui craignaient l’eau. Et puis il ne voulait que passer un peu de temps avec la jeune femme. Pas autre chose, quoi que l’idée de l’embrasser un peu ne la déranger pas à vrai dire…



Il passa doucement sa main dans la chevelure fraichement lavée de la jeune femme avant de lui gratter tendrement ses oreilles. Il devait l’avouer, il les trouvait complètement craquantes. Il avait d’ailleurs bien du mal à ne pas les manger. Mais la jeune femme en elle-même était un plat à son gout. Enfin il n’était pas venu la pour cela. Il était venu voir si elle n’avait pas besoin de lui. Et lui comptait d’ailleurs lui demander.



- Je suis venu voir si la femme de ma vie n’a pas besoin d’aide. Non en faite je l’avoue je voulais juste passer un petit moment avec toi. A croire que tu m’as ensorcelé maintenant je n’arrive plus à me détacher de toi. Mais vu que je suis la si jamais tu as besoin d'un petit coup de main hein.



Il était dans le dos de la jeune femme et le jeune homme commençait à masser doucement le dos de la jeune femme. Elle était stressé c’était certain, et il devait sans doute y être pour quelques choses. Après tous il profitait déjà bien trop de la générosité de la jeune femme. Il n’avait rien fait depuis son retour de la maison. Lui qui en avait pourtant l’habitude. Enfin, il ne restait plus que ce petit massage fasse effet.

La jeune femme avait son maitre dans son dos. Elle plaça pudiquement un de ses bras sur sa poitrine et l'autre sur son sexe. Elle avait remarquer que le jeune homme était rentré dans la douche avec ses vêtements. Elle se demandais bien de quel coutume étrange cela pouvait bien appartenir. La jeune femme, bien que peu pudique, n'osait pas se retourner de peur de froisser la sensibilité de son maitre. Mélodie ne savait pas vraiment encore comment réagir avec Julyan. Ce jeune homme était bien différent de tous les maîtres qu'elle avait eu au court de sa courte vie.

Elle avait trouver son changement d'habitude assez drastique. Au début il ne voulait rien savoir de l'amour, et par la suite il était tomber amoureux d'elle. De plus, il n'osait pas tellement la toucher et maintenant il se retrouvait dans la même douche qu'elle.

La jeune esclave ne savait plus comment réagir a tous ses changements si soudain. Comment pouvait elle oser faire quelque chose si elle n'était pas capable de définir des limites claires. Elle était tellement mélanger qu'elle n'osait plus bouger. la jeune esclave était toujours sous la douche et elle avait les yeux fermer. L'eau dégoulinait sur son visage et sur sa peau pâle. Sa queue de chat était abaisser par signe de soumission et ses oreilles aussi à plat, mais pour ne pas avoir d'eau dans les oreilles. Elle ne savait plus quoi faire.

( je suis désolé de se retard : mais avec mes oraux a passer, je n’ai pas put m’y mettre avant : j’espere que ca ira quand même. )





Le jeune homme avait tenté une fois de plus de vaincre ses peurs, de vaincre cette angoisse. Mais il s’en rendait compte, tout allait trop vite pour lui. Ainsi, même s’il était désireux de connaitre, de savoir ce que ressentait la jeune femme peut être cela lui aurait il permit de calmer ses appréhensions. L’eau ne le gênait pas, mais une sensation. Une sensation de peur. Il avait voulu allait trop vite, pensant que cette impression disparaitrait d’elle-même, mais non elle accentuait jusqu'à en devenir intenable. Il n’y avait qu’une seule solution : fuir.



Il sortit donc de la douche, il était trempé mais il n’y prêtait aucune attention. Il ne voulait qu’une seule chose pour l’instant, s’en allait le plus loin possible. S’il avait était un néko, il se serait enfuit la queue entre les jambes, et les oreilles repliées sur elles même. Enfin, il était quand même facilement repérable, il n’y avait qu’à suivre les traces d’eau au sol.



Pendant ce temps le jeune homme lui était en train de réfléchir dans sa chambre. Il s’était faible, dut moins c’est ce qu’il pensait. Depuis tout petit, on lui avait appris à ne jamais avoir peur. A ne jamais fuir, et a toujours se battre même lorsque les choses semblent désespérées. C’était cela ou mourir. Pourtant il avait fuit, il avait eut peur. Il était en pleure. Finalement, cette carapace qu’il s’était forgé était entrain de s’écrouler. Et avec elle ses repaires. Il s’en rendait compte, et en refaire serait long, trop sans doute avant qu’il ne se brise. Mais peut être que ce n’était pas plus mal. En attendant lui, il se trouvait vraiment faible.

Bon, le jeune homme avait légèrement froid, mais c’était au fond un bien petit sacrifice comparait a ce qu’il risquait de perdre de plus cela ne durerait pas, le manoir était déjà en vue. Bon, lui aussi était sans doute bon pour un bon rhume, mais tant pis. Il ouvrit enfin la porte de la villa avant de rentré et se mettre à l’abri de la morsure du froid. Mais, ce n’était pas encore suffisant, il fallait se réchauffer. Car même si elle s’en était sortit vivante, elle risquait quand même une bonne infection. Or, pour éviter cela, il n’y avait pas trente six solutions, du repos, de la chaleur et son petit bonus.



Il partit à la chambre chercher une couverture, qu’il déposa sur le dos de la jeune femme avant de repartir en cuisine. Il prépara une casserole d’eau et le temps d’aller chercher quelques herbes dans la pharmacie, le liquide commencer à bouillir. Signe que la dernière partie de l’opération pouvait commencer. Il transvasa donc le liquide dans deux tasses avant d’y placer les herbes. Il plaça aussi quelques gouttes de miel dans la tasse réservé à la jeune femme. Il savait ainsi que l’amertume des plantes serait moins forte. Il revint donc les deux tasses en main a coté de la jeune femme les deux tasses en mains avant de lui en tendre une et de se placer avec elle sous la couette.



-Bois, ca devrait éviter que ton état n’empire. Et pour répondre à ta question de toute a l’heure, sache que je suis allé te chercher et bien c’est tous simplement parce que tu m’es ma vie. Je ne t’aurais donc pas laissé tomber. Et non, tu ne me rends pas triste. Je me rends compte juste que je veux aller trop vite. Voila tous. Mais pour l’instant repose toi, la journée a était dur pour tous le monde, alors repose toi. Et on en rediscutera demain.

. Le jeune homme pouvait enfin respirer, il avait eut peur, vraiment très peur. Car ce petit coup de tête aurait put avoir de grave, très grave conséquence c'est-à-dire la mort de sa femme. Oui, il avait vraiment eut peur que la jeune femme y laisse sa peau. Enfin, il était désormais a la maison alors peut importe. Le jeune homme se plaça a coté de la jeune femme. Si les conditions avaient était différentes, ont aurait put penser a un petit rendez vous amoureux. Oui, d’ailleurs ce n’était peut être pas vraiment le cas, mais cela y ressemblait.



Le jeune homme observé la jeune femme boire sa tasse de thé. Oui, sa réaction était normale, lui aussi lorsque pour la première fois il avait dut boire cette affreuse tisane. Pourtant il n’y avait rien de plus efficace. Mais oui, on ne s’habituait jamais à ce genre de gout horrible et affreux. Mais bon, entre cela et une pneumonie. Et bien il fallait prendre un peut sur soit. Le jeune homme eut un petit sourire avant de boire sa tasse d’une traite et de faire une grimasse digne des plus beaux films d’horreur. Mais bon, ce n’était pas cela qui le changerait.



Malgré que le jeune homme buvait tranquillement sa tisane mais la jeune femme semblait eux, il ne savait pas quoi dire. Enfin, il semblait l’avoir quand même un peu attristé. La jeune femme se blottit alors contre lui. Il la prit alors doucement dans les bras avant de l’embrasser sur la joue. Oui, cela devrait la réchauffer légèrement. Il lui fit un sourire avant de dire.



-Oui cette bouillie est infecte, mais tu veux elle est terriblement efficace. Enfin, tu ne peux pas savoir la peur que tu m’as fait avoir. Oui, j’ai vraiment eut peur Mélodie, alors s’il te plait. Non, je t’en supplie, ne refait jamais cela. Oui, ne recommence jamais

Le jeune homme continuait à observer Mélodie, il ne pouvait s’empêcher de la fixer. Comment pouvait il en vouloir a une si belle jeune femme, elle était si belle comme cela. C’était cette moue à la fois désolé et pourtant amoureuse qui la rendait si rayonnante, il ne voulait qu’une chose, la protéger de chaque épreuve de la vie. Pour que jamais il ne lui arrive rien. Il continua donc son étreinte, la prenant délicatement contre lui. Ne voulant plus qu’elle le quitte comme elle venait de le faire.

Il ne savait pas encore ce qu’il se passé, mais lorsque la jeune femme l’embrassa, il la regardait donc doucement avant de lui caresser doucement les oreilles. Il les gratouillait donc tant tôt du bout de l’ongle, ou de la chaire. C’était donc de douce caresse a la fois réconfortante et sensuelle. Il ne réfléchissait pas, ce geste venant naturellement, même intuitivement. Il arrêtait finalement ses caresses, ne se rendant même plus compte de ce qu’il faisait ou pas. Il était comme grisait. Il ne savait pas, il ne savait pas si s’était la peur de la perdre, l’adrénaline, leur corps si proche, ou la tisane. Mais il ne contrôler absolument plus rien. Son esprit était une marre de pensée. Et c’était son cœur qui pour une fois avait prit le dessus.



Le jeune homme ne bougea pas et puis d’un coup alla embrasser la jeune femme d’un baiser sensuelle et passionné. Un véritable ballet de langue venait de commencer, une valse de l’amour qui dura de longues, très longues minutes, que ce soit pour lui comme pour elle. Mais, c’était la preuve évidente que la jeune femme était son seul et unique amour. Il ne bougea plus. Restant comme cela. Visage contre visage, cœur contre cœur. Laissant le temps a mélodie de comprendre ce qu’il venait de faire.