"De retour chez nous" [pv Angel]

Le jeune homme ne parlait plus, trop occupé à penser ce qu’il allait se passer. Il se laissa guidé jusqu'à l’appartement ne faisait plus aucune remarque, il n’avait même pas poussait un petit sourire lorsque la jeune femme parla de nourriture. Décidément, c’était vraiment un mauvais jour. Si jamais le jeune homme n’avait aucune réaction lorsqu’on lui parlait de gâteau ou tout bon autre plat, c’était vraiment un très mauvais signe. La jeune femme était vraiment au petit soin pour lui. Elle lui proposa des gâteaux, du soda, ou tous autres choses qui se manger.



Le jeune homme regarda vaguement la jeune femme, il était perdu comme dans un mauvais rêve. Il ne faisait presque même plus attention à son environnement totalement absorbé par ses pensées. Il ne se contenté que de hocher la tête de gauche à droite. Effectivement le jeune homme refusa systématiquement les demandes de la jeune femme, ce n’était pas cela qu’il voulait. Il voulait juste pouvoir réfléchir. Et pouvoir enfin trancher sur cette situation qui sembler inextricable. Elle s’inquiétait pour lui, il en était certain, mais au final c’était quand même assez ironique. Celle qui était la cause de son malheur voulait pourtant son bien être.



Le jeune homme continua a hoché la tête quand la jeune femme lui parla de la futur déco, mais ce coup si de haut en bas. Comme une marionnette, un pantin désarticulé. Oui s’en était presque inquiétant. Il ouvrit juste la bouche pour la rassurer. Ce n’était pas son but d’inquiéter la jeune femme, il voulait simplement réfléchir. Mais quelle voie choisir ?



Il y pensa durant de longue minute, le choix était pour lui évident, mais pourtant il ne voulait pas s’y soumettre, cette partie indompté de lui le lui refuser. Mais que faire alors. Il y céda enfin, il garderait la jeune femme et ferait un effort pour faire un peu plus attention à elle. Il savait que si jamais il faisait cela, il perdrait en liberté. Mais ce sacrifice était la seule voie qu’il pouvait choisir, car l’autre était définitivement exclu.



Il lui fallut quand même près d’un long quart d’heure avant de se résigné à prendre cette décision. Il brisa enfin se silence qui semblait pesait comme une malédiction sur les deux jeunes gens. Il ouvrit donc la bouche pour sortir une bêtise monumentale comme il en avait l’habitude.



-Bha alors maman ca vint ses gâteaux. J’ai faim, je veux manger, je veux des gâteaux. DES GAAAAATTEEAAAUUUUU



Il avait bien sur accentué la prononciation du dernier mot le rendant ridicule au possible, mais cela devrait suffire a ce que la jeune femme comprenne qu’il allait mieux. Enfin pour le moment.

Le jeune homme ne pouvait pas s’empêcher de humer la bonne odeur de gâteau. Décidément, il savait que la jeune femme était une très bonne cuisinière. A peine lui avait il dit qu’il avait faim qu’elle s’était aussi tôt jeté sur les fourneaux. Elle était si généreuse, il avait bien fait de prendra cette décision. Cela lui avait couté pas mal de temps et de mauvaise pensée mais au moins il était tranquille pour le moment. Les petits gâteaux embaumés l’air et lui donné de plus en plus faim. Lui qui au départ n’avait accepté de manger des gâteaux que pour lui faire plaisir. Et bien, maintenant il en avait vraiment envie.



La jeune femme lui apporta le plat directement sur les genoux, et il semblait succulent. Mais ca il ne pourrait le savoir que quand il l’aurait gouté. Il résista cependant voyant que la jeune femme lui parler. Elle lui demandé si jamais il voulait quelques choses à boire avec le fondant. C’était vraiment très gentil de sa part, mais il n’a pas soif. Du moins pas pour l’instant. Mais il irait se le chercher lui-même, il avait encore deux jambes et il comptait s’en servir pendant encore pas mal de temps. Il lui dit alors gentiment ne pouvant pas s’empêcher de louché sur le gâteau. A croire qu’au final il était plus intéressé par la friandise que par la jeune hybride. Ce qui n’était pas tous a fait faux.



- Je te remercie, mais pour l’instant je n’ai pas soif. Et puis il me reste encore deux jambes, et je crois qu’elles sont encore capables de me porter, tous à l’heure je ne sais pas mais je verrais un effort. Par contre, je ne vais en mangerai que si tu en mange avec moi. Alors vins t’assoir avec moi et vins en profité un petit peu.



Le jeune homme attendait de voir que la réaction de la jeune femme, il savait qu’elle était inquiète pour lui. Et il ne le souhaité pas. Non, sérieusement il y avait besoin de revoir quelques petits trucs. Généralement le jeune homme ne se posait pas de question. Mais la c’était tous son style de vie qui était à revoir. Il était donc normal qu’il se pose des questions sur ses questions. Mais fallait il posait des questions sur les questions de ses questions. Bref, ca commençait sérieusement a lui faire mal a la tête et il devait en parler avec la jeune femme.



-Je suis désolé de t’avoir inquiété, mais tu dois savoir une chose. Ma vie a était drôlement modifier depuis que tu es avec moi. Je ne le regrette pas, mais je me pose des questions, car je tu le sais avant je n’avais qu’a vivre pour moi. Ainsi peu importe ce que je faisais, je me fichais des conséquences. Mais l’épisode du magasin m’a fait prendre conscience d’une chose. C’est que maintenant des choses on changeait. Tu comprends ce que je veux dire. J’aurais sans doute dut y penser avant. Mais voila. Bon tu m’accompagne dans cette dégustation, par se que sinon je ne vais pas y gouté. Boycotte du chocolat. Enfin non, mais si , mais non… Enfin bref aidé moi et vins manger avec moi va…

Le jeune homme dégaina la fourchette avant de la faire tourné sur elle-même comme dans les westerns, l’envoya en l’air, et la rattrapa de justesse dans une tentative plus que calamiteuse. Bon c’était officiel, le jeune homme n’était pas dans un film, pourtant il continu son délire jusque au bout. Et en regardant le gâteau préparé par Miyoki dit.



-Ce sera toi contre moi. Tu ne peux rien contre l’abysse implacable qui me sert de ventre. J’en ai déjà mangé des plus costaux que toi, alors on va voir.



Ainsi le jeune homme lança son implacable arme, celle qui fit tremblait des générations durant des déserts. La justice divine des petits gâteau, l’arme implacable par excellence, sa fourchette. Ainsi le jugement commença.



Il observa d’abord la consistance du plat, voyant que l’ustensile qu’il utiliser s’enfonça délicatement dans le fondant, la texture était parfaite, le gagnage pas trop épais ni trop fin. Et le chocolat à l’intérieur était encore chaud. Elle avait donc passé avec sucés la première épreuve. Mais ce n’était pas la plus complexe.



Deuxième épreuve, le jeune homme plaça son nez juste au dessus du plat pour en capter tous les arômes. Ainsi la senteur du chocolat était prononcer, ca il n’en doutait pas, mais elle n’était pas pour autant écœurante chose rare. Il avait sentit aussi une fine odeur de fleur d’oranger et de noisette et vu les quantités des aromes, les ingrédients devaient surement venir des tablettes en elle-même.



Troisième épreuve le touché. Ainsi le jeune homme effleura délicatement le gâteau, et celui si resta intacte.



Et enfin dernière épreuve, le gout. Voici la plus délicate, car rien, rien n’échappé aux papilles gustatives d’angel. Ainsi le jeune homme fourra le tous dans la bouche avant de mâcher bruyamment. Il analysa ainsi toutes les saveurs du gâteau avant de donner le verdict.



-Alors, mon verdict. Hum légère amertume à cause d’un chocolat, un 90% de chocolat noir, cependant adoucis par une ganache au chocolat blanc. Ainsi la texture fondante du cœur, et particulièrement intéressante. Mais j’ai quand même une toute petite remarque. Je trouve que tu aurais du choisir avec éclat de nougat, ca aurait rehaussait le petit gout de fleur d’oranger. Mais après ce n’est qu’un avis personnellement. Mais je dois avouer que tu es particulièrement douée. Je n’avais rien mangé de pareille depuis un bon moment.



Le jeune homme lui fit un petit clin d’œil, puis il posa l’assiette. Avant de reprendre la conversation. Il avait effectivement un peu d’argent de coté. Mais elle avait raison, il devait faire plus attention. L’argent ne tombé pas des arbres, mais par contre des banques… Oui, c’était un des petits secrets d’angel, il avait étant plus jeune élaboré un plan pour braquer une banque. Puis il avait abandonné faute de moyen. Mais il s’en souvenait encore, et aujourd’hui il pouvait le faire. Si jamais cela se révélait indispensable, il n’hésiterait pas. Enfin il n’avait pas a y pensé cependant. Pas pour l’instant du moins.



- Et tu sais ou tu voudrais travailler, tu as jamais pensé a une cuisine de grand restaurant, on pourrait ouvrir notre boite. Je suis sûr que ca pourrait marcher. Tu serais derrière les fourneaux et je m’occuperais de tester tes nouvelles créations. Enfin je dis ca, mais faudra voir. Parce que si tu veux faire un métier normal, tu n’aurais que les tâches les plus durs et ingrate a cause de ta condition. Et ca c’est si on te laisse bosser. Pire encore, tu pourrais être torturé et violé. Et je ne veux pas que ca arrive.

Le jeune homme était tranquillement assis dans le fauteuil, ce qu’il disait était certes injuste, mais pourtant vrai. La vie est injuste.

Il la voyait, et elle semblait anxieuse, il ne savait pas pourquoi. Mais il voyait bien qu’elle n’était pas dans son état normal. Elle ne touchait pas à la part de gâteau qui se trouvait dans son assiette. Il ne disait pourtant rien, car ce n’était pas le moment. Lui aussi était pensif, il avait tellement de chose à faire, et si peu de temps. Il resta silencieux quand la jeune femme lui parla. Elle avait pourtant raison, il n’avait pour l’instant pas encore assez pour payer toute les infrastructures pour se lancer dans cette aventure. En plus même s’il avait un peu d’argent il faudrait payer trop de chose et les deux jeunes gens seraient à la rue. Il devait donc consentir à la laisser travailler même si cela ne lui plaisait pas beaucoup.



Il l’écouta en hochant la jeune hybride et sachant qu’il ne pourrait rien faire pour la dissuader. Mais qu’est ce que cela ne lui plaisait pas. Enfin il la laisserait quand même faire, mais il y poserait des conditions. Il ne rechercher pas forcement à la regarder dans les yeux mais leurs regards se croisa rapidement et il la vit rougir. Il ne comprenait pas pourquoi. Mais après tous ce n’était pas la question. Il se remotiva avant de commencer la longue discussion. Enfin il pensait que ce serait une longue discussion car elle ne dura pas longuement justement.



-Bon je vois que tu es décidé à faire ce que tu dis. Je ne pourrais donc malheureusement rien faire pour te faire changer d’avis. Je vais donc te laisser faire ce que tu veux, je ne te demanderais qu’une seule et unique chose en échange. Si jamais tu n’as ne serais ce que des soupons sur la nature de ton employeur. Je te l’ai dis je ne veux pas qu’il t’arrive un truc. Enfin tu as quand même une idée de ce que tu compte faire comme métier ? Sinon on commencera les recherches demain, nous avons encore un peu de temps.

Il ne regarda la jeune femme encore une fois voyant qu’elle manger sans pourtant avoir faim. Il ne savait pas ce qu’elle avait et cela l’inquiété un petit peu. Il ne pouvait pas s’empêcher de s’en faire pour la jeune femme s’était comme cela. Il ne montrait pas beaucoup ses sentiments mais dernière cette apparence provocatrice se cachait un cœur en or. Enfin ne lui dite pas trop il serait capable de se le volait. Enfin bref. Il demanda à la jeune femme ce qui n’allait pas, car elle n’était pas dans son état normal. Il le savait.



-si tu me disais ce qui ne te va pas. Je ne suis pas psy je le sais, et je pourrais donc sans doute pas te faire un lavage de cerveaux. Mais je pourrais peut être t’aider quand même. Enfin je crois, tous ce que je sais c’est que tu n’es pas dans ton état normal. Je peux peut être rien, sans doute mais ca je ne le saurais jamais si tu me dis rien. Et puis je ne sais pas mais quelques choses me dit que il y a quelques chose dans ton état que je dois pouvoir améliorer. Alors dis moi s’il te plait ce qu’il se passe.

Angel voyait qu’elle était bien décidée et il ne pourrait rien faire pour la faire changer d’avis, il c’était résigné à première vu, il allait la laisser faire, c’est ce qu’il disait, et demanderait une seule chose en échange, si elle avait un soupçon sur les intentions de son patron elle devait surement le prévenir, et partir. Oui elle n’hésiterait pas, peut-être d’abord se débrouillerait seule, après tout elle était une Kitsune, elle n’était pas sans défense. Il ne voulait vraiment pas qu’il lui arrive quelque chose, c’était adorable de sa part. Il lui demanda tout de même si elle avait une idée de ce qu’elle voulait faire comme métier que sinon ils commenceraient les recherche le lendemain, après tout ils avaient un peu le temps encore. La jeune femme baissa la tête réfléchissant, c’est vrai qu’est-ce qu’elle pourrait faire après tout… elle ne le savait pas elle-même, dans la cuisine, on ne la laisserait pas approcher la cuisine, ce ne serait que la plonge et le service, ce qu’elle n’apprécie pas donc… ce ne serait pas le bon métier… qu’est-ce qu’elle pourrait faire… être enfermée sans bouger n’était pas non plus son truc, il lui fallait de l’action et pas spécialement de contacte avec les gens autours… ce serait dur de trouver… si elle devait faire du service ce serait peut-être dans un café, mais pas dans des restaurant, l’ambiance est différente entre les deux le café est plus agréable.
Pendant sa réflexion elle ne touchait toujours pas à la nourriture et ne voyait même pas son maitre qui semblait s’inquiéter, finalement c’est quand il reprit la parole sans lui laisser le temps de dire quoique ce soit qu’elle releva la tête pour le regarder un peu surprise. Il lui disait de dire ce qui n’allait pas, qu’il n’était pas psy mais qu’il pourrait l’aider quand même peut-être, du moins il le croyait et il savait qu’elle n’était pas dans son état normal il n’y pouvait sans doute rien mais il ne le saurait pas si elle ne disait rien. Il voulait savoir.

-Il n’y a rien Angel… rien du tout, surement des restes de la sortie qui n’était pas de tout repos. Je suis juste fatiguée je pense.

Elle ne voulait rien dire, ne savait pas vraiment ce qu’elle avait elle-même. Elle se leva emportant le gâteau avec elle, le gâteau tout juste entamé pour le mettre sur la table de la cuisine et rester devant un moment, les yeux dans le vague.

-Je vais aller me reposer un peu… désolée, si tu veux manger mon reste vas-y … autrement il faudrait le protéger avec un film plastique.

Elle ne dit rien de plus et se dirigea vers sa chambre pour fermer la porte derrière elle et se laisser tomber contre celle-ci, au sol le regard toujours dans le vague, morne.

*qu’est-ce qui se passe ? je réagis bizarrement… ça doit m’avoir fait réfléchir l’incident de l’autre fois… l’inconscient d’Angel… manquait que ça… bah… je vais me reposer comme j’ai dis, ça ira mieux après, il faut que j’arrête de réfléchir et donc que j’arrête de l’inquiéter.*

La fatigue peut être, mais il n’en était pas sur, après tous la jeune femme se comportait bizarrement. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentait que quelque chose n’allait pas. Il ne savait même pas pourquoi et en réalité cela l’attristé. Il ne voulait que la voir heureuse et dans ses bras. Enfin la seconde chose était optionnelle, parce qu’en réalité c’était plutôt lui qui serait heureux mais bon c’était un autre problème.



La jeune femme prétexta qu’elle était fatiguée, rien de plus. Pourtant elle n’avait pas touché a son gâteau et elle était vraiment les yeux dans le vague. Non il y avait sans doute autre chose, mais quoi. Il ne le savait pas et cela l’inquiétait. Enfin elle sortie, se dirigea vers sa chambre en lui disant que si jamais il voulait finir sa part, il le pouvait. Pourtant il n’avait pas faim lui non plus, car il ne savait pas pourquoi mais il se sentait coupable de l’état de la jeune femme. Enfin, elle avait besoin de repos. Mais lui par contre non. Il n’avait pas sommeil.



LE jeune homme sortit délicatement de l’appartement, la nuit venait de tombé, sa complice de toujours. Oui il était dans son élément la nuit avait toujours était sa complice. Depuis toujours elle avait était témoin, de ses vols et de ses interrogations. Oui, elle était sa seul amie, sa mère, celle qui le bercer le soir. Et comme a chaque fois que quelque chose n’allait pas il allait en lui parler.



-Toi amie de l’obscuré, sœur de la nuit, celle qui éclaire mes peines et mes douleurs guide moi encore une fois. Je ne sais pas quoi faire. Tu as déjà du voir se qu’il s’est passé, alors aide moi à faire le point. Je ne sais pas quoi faire, si je dois l’aimer ou pas.

Encore une fois la lune restait muette, comme a chaque fois, pourtant le jeune homme allait mieux, comme a chaque fois. Cette discutions était sans doute idiote pour la majorité des gens. Mais c’était la seul façon pour lui d’allé mieux.

-Je te remercie mon amie de m’écouter, mais il faudra un jour que tu me réponds. Enfin non ne me répond pas. C’est finalement parce que tu es muette que je peux te parler. Je ne sais pas ce que je vais faire ma sœur de la nuit.



Il marchait maintenant seul, a cette heure les rues de la ville était désormais déserte. Il était peut être temps de rentrer a l’appartement. Il était maintenant de retour a la maison et en faisant peu de bruit pour ne pas déranger miyoki qui sans doute était déjà endormi. Il essaye d’ailleurs de ne pas réveiller la jeune femme. Il s’était donc mit sur le canapé pour dormir. Enfin dormir non ce n’était pas la réalité, puisque sans doute il ne dormirait pas. Oui il resterait les yeux fermé mais il ne trouverait sans doute pas le sommeil cette fois encore.

Le jeune homme n’avait pas fermait l’œil de la nuit, il n’avait pas sommeil. Le sommeil, il ne pouvait pas y avoir accès tant qu’il n’aurait pas résolut cette histoire. Pourquoi cela, et bien parce que lui-même ne savait pas ce qu’il voulait. Il avait donc passé la nuit à réfléchir sur sa vie. Sur ses motivations, sur ses envies. C’était dur de faire le point, mais il avait eu toute la nuit pour cela. Et la lune encore une fois accomplit des miracles.



Il avait réfléchit pendant longtemps avant de prendre une décision, il avait hésité entre sa liberté et son attirance pour la jeune femme. Mais au final, il savait bien que cette vie serait sans doute dure les premiers temps. Mais cela ne le changerait pas de ses habitudes. Vivre en marginal cela ne le gêner pas, non pas du tout parce qu’il en avait l’habitude de toute façon. Il préférait d’ailleurs sans doute vivre avec une hybride qu’une humaine. Parce que soyons honnête la majorité d’entre elle était plus que superficiel. Mais pas les hybrides peut être parce que leurs comme la sienne n’avait jamais était facile. Son enfance n’avait pas était triste, mais jamais il ne s’était sentit chez lui dans ce monde.



Cette nuit, le combat avait était rude entre ces deux instincts mais au final il avait choisi. Il avait choisit de tenter ce qu’il n’avait jamais connut. L’amour, parce que c’est la seule chose qui est plus fort que la liberté. Et puis ce ne serait pas pour cela qu’il changerait sa vie. Il resterait comme il était. Il évoluerait peut être un peu bien sur. Mais cela il l’avait déjà fait. Alors bon maintenant que le changement était en marche il fallait avancer. Ne pas pouvoir aimer, c’était déjà trop tard, il l’aimait elle. Alors maintenant il ne pouvait pas faire grand-chose, mit à part attendre. Et savoir si c’était son cas, ou pas.



Il entendit la jeune femme se lever, lui était dans le canapé. Il était épuisé mais pourtant cela ne lui posait pas de problème. Il en avait l’habitude. Il se releva tranquillement mais ses cernes sous les yeux trompait personne il n’avait tous simplement pas dormi de la nuit. Il trouva la jeune femme en nuisette dans la cuisine. Et ne se manifesta pas tous de suite. Il l’observa pendant qu’elle instant de dos et il fallait le dire cette tenue lui allait particulièrement bien. Il se passa quelques secondes avant de dire.



- Et bien déjà debout de si bonne heure, moi qui me croyais matinale, je me suis fait devancer. Mais tant pis, de toute façon ce n’était pas très important. Mais je pense qu’il est temps que nous nous parlons. Le petit déjeuné peut attendre je crois, alors vins t’assoir. Il est temps que nous ayons une petite discutions.

Oui il se répétait, mais il n’en avait même pas conscience, car la fatigue faisait en sorte que lui-même ne sache pas vraiment ce qu’il voulait. Au moins il était sur que ce qu’il dirait était spontané. Mais cela avait un effet pervers, c'est-à-dire que la jeune femme serait qu’il n’avait pas fermé l’œil de la nuit. Il avait froid, mais pas avant d’avoir régler, cette histoire il irait se couchait. Et a dire vrai, il se doutait bien que la jeune femme elle non plus n’avait pas dut vraiment dormir. La nuit dernière elle avait prétexté le manque de sommeil pourtant il en était sur quand elle n’était pas coucher quand il était rentré. Enfin ca s’était une autre histoire et il était temps qu’il sache pourquoi son comportement avait changé ses derniers temps. Non en faite depuis qu’il avait fait se fichu malaise.