Bientôt la sortie ou la fin (pv Angel)

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Une journée d’hivers, froide, mais belle quand même. Miyoki près de la vitrine contemplait avec admiration les flocons qui dansaient dans le ciel se déposant sur le sol blanchit où les passant essayaient de garder leur équilibre bien que difficilement. Cela la faisait sourire, elle aurait presque aimée être dehors et en même temps se réjouissait d’être au chaud et surtout de ne pas devoir essayer de tenir son équilibre, elle se connaissait, elle serait tombée directe en mettant un pied dehors, maladroite comme elle était.
La matinée passa sans que personne ne prête attention à elle, pourtant elle était soldé, 50% de réduction en plus de son prix déjà très bas à l’origine, vu son âge le vendeur voulait s’en débarrasser, bientôt elle serait même amenée à être tuée si elle ne trouvait pas acheteur. Il ne devait lui rester qu’un mois… le mois de la dernière chance. Ses neufs queues se balançaient, elle savait que qui l’attendait et le vendeur, un homme très aimable vint auprès d’elle pour lui donner sa « gamelle » de nourriture.

-Tiens, ma grande… Je suis désolé de ne pas réussir a te vendre… j’espère pour toi que bientôt tu partiras… avant que cette heure n’arrive…

-Ne vous inquiétez pas pour moi Monsieur, ce n’est rien. Merci pour la gamelle en tout cas.

Elle lui fit un large sourire alors qu’il retrouvait lui aussi son sourire, il retourna vers les autres pour les nourrir à leur tour. Les autres marchandises savaient aussi ce qui allait lui arriver bientôt et la regardait compatissante alors qu’elle prenait son temps pour manger, une bonne nourriture, de la viande fraiche a peine cuite et quelques légumes à coté. Elle ne se souciait pas de ce qui l’attendait, elle regardait dehors elle vivait au jour le jour, même enfermée dans sa petite cage elle était heureuse, elle se contentait de ce qu’elle avait. En fait elle était surtout heureuse de ne plus être un poids pour Shin depuis 3 ans, elle se demandait comment il allait, mais finalement ça ne l’a regardait pas, il avait 19 ans, il était grand, surement continuant ses études il ne devait pas s’embarrasser de son souvenir mais vivre pleinement.
Après avoir mangé, elle fit une petite sieste, avant de s’occuper d’elle un peu, grâce au reflet de la vitrine, ensuite elle se reposa à observer l’extérieur, la neige, elle y serait si bien, son instinct animal voulait tant l’amener à courir dedans, s’y rouler, mais en même temps elle n’avait aucun moyen de se satisfaire. Elle restait, assise en tailleur, chantonnant très bas une petite chanson douce. Elle tournait la tête vers la porte à chaque fois que la clochette tintait et saluait d’un large sourire chaque client. Elle sentait qu’elle allait bientôt partir. Ce client là, elle le salua comme chaque autre.

-Bonjour Monsieur.

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Il faisait froid en cette journée d’hiver. Heureusement que le jeune homme ne se séparé jamais de son long manteau en cuir, il le gardait toujours quelques soit le temps et la saison. C’était la pièce capitale de son look. Avec ses lunettes bien entendu. Oui il était rebelle, oui il était égoïste mais il adorait cela. Alors bon que dire d’autre.

il maugréa contre ce fichu temps de chien. Il détestait la neige, cette espèce de couche blanche, il était arrivé aujourd’hui et déjà il détestait cette région. Pourquoi est ce qu’il fallait que les choses rares se trouvent loin et toujours soit dans une grotte soit dans un endroit ou personne ne voulait aller. Pourquoi ces hybrides comme ils les appelé ne pouvait pas se trouvait dans une petite ile des caraïbe, au lieu de cette espèce de pôle nord. Un coup de vent le glaça jusque aux os, c’était décidait il n’y avait plus qu’une chose a faire, se précipiter dans le premier magasin venue pour profité du chauffage, et se tiré une fois mieux avec en prime un ou deux articles de valeur s’il n’y avait pas de caméra, histoire de faire faire un peu de sport a ces manchots de vendeur.

Il entra, un filet d’air chaud s’échappa de la boutique. Oui l’atmosphère était agréable, il en profita pour enlevé la neige qui s’était accumulé sur son blouson. Ce ne fut qu’a ce moment qu’il remarqua ce qu’était la marchandise de cette boutique. Des hybrides. Il sourit, chose rare. Il avait décidément une chance pas possible. Finalement cette journée qui s’annonçait pourrie ne le serait pas autant que ce qu’il pensait. Il regarda rapidement chaqu’une de ces créatures. Il n’arrivait pas à choisir celle qui lui appartiendrait. Il était comme un enfant et aurait voulu toute les tester avant de faire son choix.

Enfin, il la vit. Une kitsune, il la trouver simplement splendide. Non le terme « parfaite » serait plutôt le bon mot. Elle était grande, cela se voyait même si elle était assise. Des cheveux beiges, qui faisaient ressortir ses yeux émeraude. Et puis ses excroissances animales, il n’avait jamais vu cela. Il croyait se trouvé devant un ange. Un ange qui devait lui appartenir. Mais vu sa beauté, son prix devait être démentielle. Il n’y avait pas d’autre explication pour que celle si soit encore en cage. Il se dirigea vers l’étiquette. Non ce n’était pas possible. Son prix cela devait être une erreur, ce ne pouvait pas être autrement. Il lui fallut bien longtemps avant qu’il ne réalise que la jeune femme lui avait parlé. Qui sait peu être savait elle pourquoi son prix était il aussi bas.

- Eu oui bonjours mademoiselle. Eu par une petite question, pourquoi votre prix est il aussi bas. C’est une arnaque ou quoi ?

Oui il avait un franc parlait. Il ne fallait pas lui en vouloir, après tous il n’était pas méchant. Juste un peu égoïste et pressé. Dison qu’il avait peur que cette jeune hybride lui passe sous le nez. Depuis le temps qu’il rêver de se moment. Trois longs mois déjà. Il attendit sa réponse, il ne pouvait pas se faire doublé par quelqu’un d’autre.

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La personne qui était entré était un homme qui ne l’avait pas entendu d’abord, il c’était approché la regardant comme un enfant qui d’abord avait regardé partout autour avec un air comme voulant essayer tout les jouets présent dans un magasin de jouet. Il c’était approché brusquement vers elle et semblait halluciner en voyant l’étiquette avec le prix marqué dessus, un prix déraisonnablement bas. Il lâcha alors quelque mot en la direction de l’hybride ayant enfin prit conscience que celle-ci l’avait salué. De loin le marchand surveillait mais laissait faire. Il demanda pourquoi son prix était aussi bas, si c’était une arnaque. Elle fit non de la tête affichant un très large sourire et ses 9 queues remuants derrières elle.

-Ce n’est absolument pas une arnaque Monsieur… Mon prix est aussi bas à cause de mes queues, et aussi parce que je suis âgée et que les gens pense que je serais plus difficile à dresser.

Elle avait répondue sincèrement elle n’avait rien à cacher, elle regardait l’homme au blouson en cuir, il s’intéressait à elle, peut-être partirait-elle. Elle posa son regard rapidement sur le marchand qui lui fit un signe, elle fit un large sourire. Le marchand s’approcha.

-Bonjour cher Monsieur et Bienvenue ! Cette jeune créature vous intéresse-t-elle ? Elle se nomme Miyoki, originaire du japon, d’un petit village je crois… elle a vécu seule un moment, si vous souhaitez la moindre information je peux essayer de vous répondre ou elle vous répondra peut-être elle-même, elle n’est vraiment pas méchante.

-Je me ferais un plaisir de répondre à toutes vos questions.

Le marchand se montrait agréable prêt à faire une éloge de l’hybride, sur son caractère et tout ce qu’il fallait, il n’arrivait pas à déterminer ce qui pouvait intéresser le jeune homme donc il parlerait de tout s’il le fallait. Miyoki elle ne cherchait pas à se montrer mieux que d’habitude ni rien, elle restait elle-même, souriante, assise en tailleur regardant et écoutant. Elle ne parlerait que quand on lui demanderait.

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La jeune hybride lui répondit immédiatement, ainsi il n’y avait rien a caché. Effectivement elle était un peu plus âgée que la majorité des autres hybrides mais elle était tellement plus femme que c’est espèce de gamine. Et puis effectivement elle avait neuf queue, soit, cela la rendait unique et lui rajouté cette dose de mystère qu’il cherchait. Oui, son choix était fait, ce serait elle et personne d’autre. Cependant avant de l’acheter, il voulait savoir son passé. Savoir si quelques choses avait la choquait ou la traumatisé. Après tous, il y avait peu être une bonne raison a ce que cette hybride soit en cage. Une tare ou quelques choses qui pourraient être rédhibitoire. Enfin même si cela était le cas, il l’aurait pris quand même. Il aurait peut être fait juste un peu plus attention.

Il remarqua le marchant, effectivement l’homme avait l’air d’être assez sympathique, peut être qu’ici, il ne volerait rien. Enfin, peu être il ne fallait pas trop pousser hein. Il remit rapide c’est lunette en place, le vent de tous a l’heure les avait légèrement décalé et ainsi on pouvait voir une petite partie de ses yeux. Et il détestait cela. Il ne s’adressa pas méchamment au marchant, mais il était peu être un peu impatient.

- Y’a des papelards à faire, si c’est le cas je pense que vous devriez aller les chercher je pense que je vais la prendre cette créature.

Le marchant s’exécuta, il partit en arrière boutique. Et vu le bruit qu’il se dégager de l’arrière boutique il ne serait pas de retour avant un bon moment. Ce qui tira un second sourire du jeune homme. Et bien, deux sourires en une seule journée, un exploit. Décidément cette journée était a marqué d’une pierre blanche. Il se reconcentra rapidement sur la jeune hybride essayant d’en apprendre un peu plus sur elle.

-Eu Miyoki c’est ca ? Qu’est ce que tu peux me dire sur toi. Parce que si je dois être ton futur maitre, faudrait que j’en sache un peu plus sur toi. Enfin si t’veux rien me dire pas grave, je m’en fiche.

Il repensa rapidement à ce qu’il venait de dire, c’était la première fois qu’il s’intéressait a autre chose que a soit même. Décidément, elle avait un pouvoir magnétique sur lui et il avait intérêt à faire attention. Sinon il finirait comme tous ces espèces d’amoureux transit qui ne vive que d’amour et d’eau fraiche. Il eut des nausées rien qu’a y pensait. Manquerait plus qu’il se transforme en saint. Ca serait le pompon. Enfin l’autre pingouin revenait. Bientôt elle serait a lui, et après il verrait bien. Peu être un jeu de séduction se mettrait en place. Il n’était pas un barbare après tous. Et puis le jeux et bien plus drôle quand on prend le temps d’attirait la victime vers soit avant de refermait cette étreinte. Oui c’était bien plus amusant comme cela.

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Le jeune homme souriait encore une fois il s’adressait au marchand après avoir remit ses lunettes de soleil comme il faut, il demanda s’il y avait des papiers à remplir et que dans ce cas il devait aller les chercher qu’il la prenait. Il profita du temps où le marchand cherchait dans l’arrière boutique pour questionner la jeune Okami qui écoutait attentivement. Il voulait qu’elle lui dise tout ce qu’elle pouvait sur elle qu’il fallait qu’il en sache un peu plus sur elle pour être son futur maitre, mais si elle ne voulait rien dire ce n’était pas grave.

-Oh… et bien… je suis née dans un village qui n’existe plus aujourd’hui, ma mère avait accepté que je fasse partie d’une expérience, je suis née avec une sœur jumelle qui est maintenant décédée… Quand mon père s’est suicidé et que ma mère est morte les villageois m’ont indiqué de venir en ville pour survivre mais j’ai dut rester caché vu que j’étais une hybride… après plusieurs plaintes des voisins… il y a 3 ans j’ai décidé de me rendre dans une animalerie pour me rendre esclave moi-même, j’ai été transférée il y a 1 an dans cette animalerie ci et dans un mois si personne ne voulait de moi j’étais destinée à être euthanasiée.

Elle continuait à sourire, elle avait omis de préciser qu’elle avait vécu avec ce garçon Shin, elle n’avait pas à en parler et surement cela n’avait aucune importance pour le moment, elle ne se doutait pas de ce que ça pourrait peut-être amener par la suite.
Pendant qu’elle parlait le marchand revint, il n’entendit que la fin de son histoire sur son transfert. Il ne se fit pas remarquer tout de suite attendit que l’hybride finisse de parler avant de prendre la parole à son tour et de préciser qu’il avait préparé les papiers.

-Monsieur, les papiers sont là-bas sur le comptoir, allez-y, si vous êtes sur de votre choix je vais la sortir et vous la laisser alors.

-Merci monsieur Khy Hon…

Elle avait parlé tout bas, elle le remerciait parce qu’elle savait qu’elle allait sortir, enfin, elle le remerciait d’avoir été si gentil alors que dans l’animalerie précédente elle n’avait pas connu ça, mais plutôt de la détresse là bas… le marchand était de tout autre nature.
Le marchand qu’elle avait appelé de son nom guida le client jusqu’au comptoir, lui expliqua vaguement ce qu’il fallait regarder, remplir avant de lui indiquer qu’il pouvait lui faire sans augmentation de prix quelques cadeaux en accessoires divers, 3 exactement qu’il pouvait choisir s’il le souhaitait derrière, il pouvait aussi ne pas en prendre. Après ça il le laissa seul pour revenir vers la cage et l’ouvrir.

-Viens… Tiens tes affaires, gardes les bien et prends soin de toi, si tu as besoin repasse. Je suis désolé, je dois t’attacher.

-Merci…

Il lui mit un collier, c’était obligatoire pour chaque achat, il la guida ensuite jusqu’à son nouveau maitre à qui il donna la laisse.

-Voila Monsieur.

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Le jeune homme l’écouta attentivement, décidément elle n’avait pas eu une vie facile. Elle avait tous perdu, et elle s’était même livrer d’elle-même perdant le peu de liberté qui lui restait, elle était bien plus forte que ce qu’il pensait. Pourtant généralement tourné sur lui-même, il eu une petite pensé.

*Elle n’a pas eu une vie facile, j’pense que finalement je ne suis pas si a peindre. Et mec, tu pense a quelqu’un D’AUTRE tu as intérêt à te rependre et illico sinon tu va finir avec une soutane ! Ptêtre, et alors, t’a vu la vie quelle a eu, je vais pas non plus l’obligé a faire cela. De toute façon tu l’aurais pas obligé tous court, c’est ca le problème chez toi, tes un gros dur sentimentale. Tu sais quoi, tu m’énerve, bon tous cela pour dire que je vais être un peu moins égoïste, mais ces pour elle hein.*

Oui, il n’était pas méchant juste un peu trop centré sur lui. Enfin la kitsune continué à sourire, elle était décidément vraiment belle quand elle souriait. Il ne pouvait pas comprendre comment, une si jolie femme était resté en cage tous se temps. Non cela lui paraissait impossible. Ou alors les gens était fou, complètement givré. En parlant de givré, il avait une idée. Une idée machiavélique comme seul son cerveau pouvait en faire. Une idée si vile, si destructrice, qu’il avait peur de ne pas tenir le temps nécessaire à sa réalisation.

Le marchand le tira de ses rêveries. On lui demanda de se dirigeait vers le comptoir, il s’exécuta. Il regarda rapidement le dossier, signa quatre à cinq fois sur plusieurs page. Et a la dernière ne puis s’empêcher de lâché un soupir signifiant que oui, il commençait à en avoir vraiment mare : il n’avait toujours eu des problèmes avec ses incompétents d’administration. Et il détestait ca signait des dossiers, pour lui il n’y avait pas plus inutile. Ni plus casse pied. Mais bon, un si beau bijou demandé quelques sacrifices non ?

Enfin une fois cette espèce de sale besogne fini, il entendit qu’il avait apparemment le droit a trois cadeau, enfin trois accessoire pour le même prix. Il hésita. Que prendre, il ne le savait même pas. Il se dirigea vers l’arrière boutique histoire de voir se qu’il si trouvait. Mais il ne trouva rien à son gout. Il retourna donc devant près de la porte. En attendant que la jeune femme soit prête. Voila son rêve venait de se réalisé. Depuis plusieurs mois il n’avait attendu que cela posséder un être vivant. Posséder quelques choses de différents qu’un chien ou un chat. Mais finalement, cela ne lui faisait pas plus que cela. Peu être qu’il était devenue trop sentimental. Il se disait que si il ne se reprenait pas très vite il serait transformé en guimauve. Ou pire encore, en enfant de cœur. Bref, en tous ce dont il s’était toujours moqué.

-J’oubliais, je m’suis pas présentait, j’suis angel, richard angel. Et j’espère que ca se passera bien entre nous. Par contre je suis pas du coin, donc si tu connais un endroit sympa, on pourrait pt’ être y allé.

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Quand la kitsune arriva vers le comptoir pour retrouver son futur maitre celui-ci n’avait choisit aucun accessoire, le marchand haussa les épaules et regarda si tous les dossiers étaient bien remplis. Il n’y avait rien à redire de ce côté-là.

-Bien tout est bon, voici, vous savez le prix maintenant…

Il tendit la main attendant avant de donner la laisse que celui-ci eut payé, ensuite il pourrait partir avec l’hybride. Quand ceci fut faire il laissa Miyoki à son sort après lui avoir rendu son sac d’affaires.
Le jeune client se présenta enfin face à la kitsune comme s’appelant Angel Richard, il ajouta qu’il espérait que cela se passerait bien entre eux, il annonça aussi qu’il n’était pas du coin et donc si elle connaissait un endroit sympa où ils pourraient aller. Miyoki fut bien gênée, elle n’était dans cette ville que depuis 1 an et ne connaissait que la rue qu’elle voyait depuis la vitrine, rien de plus.

-Je suis désolée monsieur je ne suis pas d’une grande aide de ce côté-là, je ne connais pas du tout la ville… je ne connais que cette cage… avant j’étais dans une autre ville…

Elle baissa la tête un peu honteuse de ne pas pouvoir aider son nouveau maitre. Elle tenait son sac fermement dans ses mains qui étaient jointes devant elle.

-Euh… peut-être… avez-vous un logement monsieur ? si vous n’en avez pas il faudrait peut-être en trouver un… pour qu’on ne dorme pas dehors cette nuit… Je…

Elle regarda le marchand qui n’était pas loin puis demanda à sortir pour qu’ils puissent parler plus tranquillement. Une fois dehors à l’abri de la neige par les bouts de toits qui dépassaient elle reprit la parole en ouvrant son sac et fouillant un peu à l’intérieur.

-J’ai de l’argent… de quoi payer un petit studio… sur moi… si vous n’avez pas… je n’ai pas assez pour acheter quelque chose de grand et a plusieurs chambre… mais un studio… j’ai de quoi… ça date de quand j’habitais seule... j’ai vendu mon appartement… et gardé l’argent en cachette… au cas ou cela pourrait servir plus tard… Je… j’ai des vêtements aussi dans ce sac… donc vous n’aurez pas à faire de dépenses immédiates pour moi… par contre il faudra après avoir trouvé un logement, trouver un magasin pour faire des courses… pour manger… je vous ferez le repas si vous le souhaitez… et aussi… je m’occuperais de tout, vous pourrez rester tranquille à vous reposer.

Elle fit un large sourire montrant son petit tas de billet qu’elle lui tendait, elle lui offrait mais elle en avait gardé au fond de son sac encore au cas où, elle était prévoyante parfois. Elle attendit la réaction de son nouveau maitre.

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Il écouta, ainsi cela faisait déjà un an qu’elle était une cage. Il la plaignait, lui il ne pouvait restait en place plus de cinq minute. Mais elle avait raison il fallait qu’ils se trouvent un petits studio. Finalement, il avait eu raison de la prendre. Il ne s’attendait pas a ce qu’elle y pense, après tous lui-même n’y avait pas pensé. Mais effectivement lui non plus ne souhaité pas passé la nuit dehors. Puis elle demanda à sortir. Il faisait froid dehors, et de léger flocon continué à descendre du ciel avant de finir leur vie piétiné par des dizaines de gens. Enfin, exactement deux, parce que tous les autres était chez eux au chaud.

Tous les deux étaient à l’ abri sous un toit, elle sortit de sa poche une liasse de billet. Il la regarda, il ne comprenait pas. Pourquoi lui offrir cela a lui. Enfin elle lui expliqua, elle avait obtenu cet argent en vendant son ancien studio. Et elle avait gardait l’argent, effectivement elle était très prévoyante. Mais lui non plus n’était pas s’en ressource. Il avait beau être gamin, il n’était pas idiot non plus. Mais pour l’instant il ne dit rien. Il savait que dans sa poche il devait avoir une coquette somme. De quoi s’acheté une petite villa, mais il préférait un studio. C’était moins bourge selon lui. Enfin il la laissa finir, apparemment elle savait cuisiner, et elle s’occuperait des taches ménagères. Heureusement, parce que les seules choses qu’il s’avait cuisiné ce résumé en des choses si simple qu’un enfant pourrait le faire, et en se qui concernait les tâches ménagères il ne fallait absolument pas compter sur lui.

-Ces bon garde ton fric pour l’instant, et ne t’en fait pas j’en ai pas l’air mais je suis pas aussi stupide pour partir dans une ville sans un peu de fric. J’dois même avoir de quoi acheter une ptite villa, mais perso j’préfère un appart. Pas toi ? Et puis me vouvoies pas, on dirait que suis un vieux quoi. En se qui concerne le repas on se fera sans doute un petit resto. Pas de faire les courses toute de suite. Par contre, je te le dit tous de suite, je suis très bordellique, et très mauvais cuisinier. Donc, oui je pense que ce sera mieux si tu t’occupais de se genre de ptit détaille. Enfin pour en revenir à notre histoire garde ton blé. On sait jamais. ans prendre

Il l’observa rapidement, elle devait avoir froid dans cette tenue. Lui avait au minimum trois épaisseurs, sans comptait son blouson, mais elle un simple kimono. Oui elle devait se gelé. Bon qu’est ce qu’il fallait pas faire pour évité qu’elle n’attrape un truc. Il enleva son blouson, et lui mit sur le dos. S’il y avait une chose dont il ne se séparé jamais c’était bien son blouson, même quand dehors il faisait quarante degrés. Enfin, bref elle avait vraiment quelques choses. Il la mit cependant en garde.

-Fait gaffe, par contre j’y tien a ce manteau, et puis dedans y’a tous le fric donc si tu le perds on est marron. Y’a aussi un truc qui me parait zarbe, pourquoi tu n’a pas acheté ta liberté, tu avais largement assez non ? et puis je suis sur que le marchand aurait accepté.

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Elle ne s’attendait pas à cette réaction de la part de ce garçon, il refusa l’argent en annonçant qu’il n’était pas si stupide pour partir d’une ville sans argent et qu’apparemment il avait assez pour s’acheter une villa mais qu’il préférait quand même un studio ou un appart. Elle, elle s’en moquait un peu. Il lui demanda d’arrêter de le vouvoyer qu’il avait l’impression d’être plus vieux à cause de ça et pour le repas pour ce soir ils allaient aller au restaurant. Il était d’accord pour qu’elle s’occupe du ménage et de la cuisine qu’il était bordélique lui et elle devait garder son argent au cas où.

-Bien…

Après ça il lui déposa son blouson en cuir sur les épaules elle le regarda avec de grands yeux alors qu’il lui annonça de faire gaffe à celui-ci qu’il y tenait et qu’il y avait l’argent dedans. Il demanda aussi pourquoi elle avait pas acheté sa liberté qu’elle en avais assez pour cela. Miyoki baissa la tête une nouvelle fois.

-Merci pour le blouson… vous… tu n’étais pas obligé… je n’ai pas froid. Pour ce qui est de la liberté… les hybrides ne peuvent pas l’acheter, quand ils sont libres ils sont encore moins bien que quand ils ne le sont pas… on est rejetés par la population… libre les gens en profitent pour nous battre parce qu’ils savent qu’ils n’auront pas de problème avec les autorités ou d’autres personnes car on n’appartient alors à personne… Beaucoup d’hybrides meurent ainsi parce qu’ils sont libres… les femelles sont souvent violées… c’est aussi pour ça… je ne voulais pas essayer de survivre mais je veux essayer de vivre… non libre si ça me permet de ne pas souffrir comme les hybrides libres.

Elle le regarda et fit un léger sourire, elle tenait fermement le blouson pour qu’il ne tombe pas pour qu’elle ne le perde pas, ni ne l’abime. Elle attendit le signal pour pouvoir le suivre jusqu’à un endroit où ils trouveraient un appartement à s’acheter alors. Il choisirait elle, elle se moquait de où, de la taille de l’appartement et du reste… il le fallait meublé c’était tout ce qui importait.

-Pour une agence immobilière, il y en a une en face… de la où j’étais dans ma cage… je la voyais… si vous euh… tu veux qu’on s’y rende … Je te laisse choisir par contre l’appartement… je n’y connais rien.

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Elle le remercia, et au vu de se grand yeux elle ne comprenait pas. Pourtant c’était simple a comprendre, si elle tombait malade, ce serait a lui a s’occupé d’elle, a faire le ménage, la cuisine, bref toute ses taches complètements inutiles et dont surtout il ne voulait pas faire. Ca ce serait la version qui lui aurait donné, mais en réalité, il voulait surtout qu’elle ne soit pas malade elle. Enfin, il ne l’avouerait jamais. Il ne fallait pas le dire cela, jamais il ne l’avouerait.

Elle lui parlait donc de la vie des hybrides libres. Hum, décidément il n’avait pas de chance ces pauvres créatures. Vivre en esclaves ou bien vivre dans la crainte, vivre dans la souffrance. Hum jamais il ne pensait que cette vie pourrait être aussi dure. Après tous lui vivait dans la joie, et sans soucie. Il se demandait pourquoi, l’humanité était aussi dur envers eux. Mais bon ce n’était pas son problème.

- T’en fait pas pour le blouson, après tous si tu tombe malade, ca va être a moi a m’occupé d’ toi, et ca serait pas forcément une bonne idée, rien qu’a voir la façon d’on j’occupe de moi.

Bon, apparemment elle tenait bien son blouson, ses la seule chose avec ses lunettes auquel il tenait. Il n’avait pas eu de mal a lui mettre sur le dos, cependant a le quitté des yeux c’était une autre histoire. Enfin elle lui indiqua la direction d’une agence, effectivement. Oui, il y en avait une pas trop loin. Il pourrait choisir la bas quelques chose de pas trop petit. Avec deux chambres au minimum et meublée. Il s’y dirigea en faisant bien attention a ne pas se ramasser. Effectivement il y avait une petite couche de verre glas, dut aux faibles températures de ses derniers jours. Il attendit que la jeune kitsune le rejoigne, apparemment elle ne bougerait pas tant qu’il ne le lui demanderait pas. Bon ok.

-Tu vins, parce si tu continue tu va te changer en bonhomme de neige.

Il rentra rapidement dans la boutique. Un vendeur l’accueilli avec un grand sourire bien hypocrite au possible. Mais il changera rapidement de tête quand il vit de quelle race était celle qui l’accompagné. Quand le jeune homme vit ca, il ignora complètement le vendeur. Et ce dirigea pour voir les différentes offres. Avec les quelques critères qui s’offrait a lui, il y avait plusieurs choix possibles. Hum il hésita, cependant son choix se porta sur un petit appartement assez grand pour que deux personne puisse y vivre confortablement. Il était bien isolé, avec deux chambres, une salle de bain, et une grande pièce qui servait a la fois de salon et de cuisine. Il demanda a la jeune kitsune son avis.

- Qu’est ce que tu en pense, il a l’air pas trop mal lui. Enfin, pour moi il ira. Toi je sais si ca t’va ou pas.

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Il prétexta pour le blouson que c’était pour qu’elle ne prenne pas froid et qu’après si elle l’était ce serait à lui de s’occuper d’elle et que ce ne serait pas forcément une bonne idée vu comment il s’occupait de lui déjà. Il n’y avait rien à répondre à cela elle ne fit qu’un simple signe de la tête pour montrer qu’elle comprenait bien. Elle sourit encore.
Il ne quittait quand même pas des yeux le blouson qu’elle tenait fermement mais finalement il commença à aller vers le bâtiment qu’elle lui avait indiqué, elle hésita par contre à le suivre mais il l’appela pour qu’elle suive. Toujours hésitante elle commença à avancer, doucement prenant garde à ne pas tomber, elle faillit à plusieurs reprises glissant sur le verglas qui c’était installé sous la neige mais arrivait à se retenir à chaque fois, elle ne voulait pas salir le blouson en cuir de son maitre. Celui-ci était d’ailleurs déjà entré dans le bâtiment, elle le suivit. Là ils s’installèrent pour faire leur choix, il c’était arrêté sur un appartement avec deux chambres, une salle de bain et une salle qui faisait salon, salle à manger et cuisine en même temps, il lui demanda ce qu’elle en pensait malgré qu’avant elle lui avait pourtant indiqué qu’elle n’y connaissait rien et que c’était à lui de faire un choix.

-Il me va aussi … s’il vo- euh te va.

Elle lui fit un léger sourire, elle regarda une chose par contre, il était déjà meublé, parfais. Elle regarda vaguement l’adresse et fit un petit point sur ses souvenirs pour savoir où ça se situait à peu près d’après ce qu’elle avait put entendre des conversations entre les clients dans l’animalerie.

-C’est pas trop loin je crois… dans le quartier ouest il me semble… enfin après… je ne sais pas plus… où c’est exactement faudrait demander… enfin si v- tu veux…

Elle hésitait toujours, ça lui faisait bizarre dans son rôle de devoir tutoyer, elle essayer de feindre un maximum son obéissance mais elle avait du mal aussi. Elle aurait voulu déjà remettre à sa place le vendeur qui était d’une hypocrisie absolue. Quelques petites mises au points aurait étaient nécessaires mais ce n’était pas son rôle non plus. Elle attendit simplement que son maître fasse ce qu’il avait à faire après ce choix.

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Le jeune homme se contorsionna pour atteindre la poche du blouson qui avait le blé. Il récupéra les deux liasse de billet, et recompta rapidement le tous. Effectivement, la somme y était. Bien, bien, il allait voir le vendeur, lui chuchota quelques choses, ce qui provoqua rapidement la fuite de l’espèce d’hypocrite dans une espèce de cris d’indignation. Il revint le sourire au lèvre vers la jeune hybride.

-Y’a pas plus efficace que de remettre les pendules a l’heure : j’demandé a l’autre pingouin qu’il se bouge de ramené les clés de l’appart et qu’il arrête me regardé avec son espèce de sourire d’hypocrite fini. Il devrait se bougeait avec les cent dollar de plus cependant. Bon en se qui nous concerne, on va pt’être d’abord faire un tour vers un petit resto sympa. Et vu que tu as pas mal de mal a me tutoyé je veux bien que tu me vouvois un certain temps. Enfin jusqu'à qu’a ce que tu sois un p’tit peu moins crispé j’ai vraiment l’impression de causer a un androïde, faut te détendre un peu. J’vais pas te manger après tous.

Quoi que, il aurait bien voulut, mais cela c’était une autre histoire. Le vendeur revint rapidement, les clés de l’appart en main. Il lui remit en main rapidement avant de lui tourné rapidement le dos. Bha il avait l’habitude, après tous. Ses ce qui caractériser son franc parlé. Celui lui avait toujours fallut ce genre de réaction. Et il en avait comme toujours absolument rien a faire. Enfin, bref. Il se tourna rapidement vers la jeune femme. Et lui posa une question.

-T’as faim, par ce que si oui on va direct au resto ce chercher un truc a bouffé, sinon on passe a l’appart pour déposé tes affaires. Et ensuite on va bouffer. Enfin comme tu veux, de toute façon que ce soit dans un sens ou dans l’autre on va passer par les deux.

Et voila qu’il lui demandait son avis. Décidément il était entrain de se ramollir, était ce l’effet de ses belles émeraudes qui croisait son regard à chaque fois qu’il la regardait. Possible. Mais tant que ce phénomène ne se limitait qu’a elle cela irait. Enfin espérons-le. Ils sortirent ensuite de la boutique. Le jeune homme essaya rapidement de trouvait un sujet de conservation le temps qu’ils rejoignent une des deux destinations.

-Bon de quoi est ce que l’on pourrait bien parler, j’en sais rien moi. Eu tien par exemple qu’est qu’aime, que ce soit dans la vie, dans les gouts, dans l’amour. Eu ca c’est peut être indiscret, t’a donc un joker.

Le jeune homme continué a marché en prenant garde que la kitsune le suive. Il faisait froid et la route était toujours gelée. Mais il ne s’en tirait pas trop mal. Il évitait les plaques de verre glas et toutes ces autres bêtises qui vous valent généralement des entorses

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Angel récupéra l’argent avant d’aller voir le vendeur hypocrite qui était plus loin puis il revint avec le sourire aux lèvres pour dire qu’il n’y avait pas plus efficace pour remettre les pendules à l’heure, que maintenant il allait se bouger de rapporter les clefs et que son sourire hypocrite serait finit. Il demanda si elle préférait qu’ils aillent au restaurant d’abord puis à l’appart ou l’inverse, et aussi il accepta qu’elle le vouvoie encore si ça la mettait plus à l’aise mais il fallait qu’elle se décrispe qu’il avait l’impression d’être en face d’un androïde, qu’il n’allait pas la manger.

-Euh… d’accord… je vais essayer… je suis désolée… euh pour le restaurant, je pense que ce serait mieux d’abord, j’avoue que j’ai peut-être eut une gamelle mais le temps passe vite… et le temps qu’on trouve où manger… le soir sera là et ce sera l’heure. On s’installera après.

Elle sourit encore, le vendeur revint pour donner les clefs puis reparti rapidement. Ils sortirent de l’agence et commencèrent à avancer, ne sachant pas trop où aller pour le moment quand même. Pour meubler la conversation il demanda ce qu’elle aimait sur la vie, ses gouts, en l’amour, mais qu’elle pouvait ne pas répondre au dernier. Elle marchait avec difficulté mais l’écoutait bien, elle était un peu à la traine ne voulant pas tomber en glissant bêtement.

-Ce que j’aime ? et bien… je ne sais pas trop… j’aime beaucoup dessiner… enfin peindre plutôt, et… J’aime tout ce qui est sucré… sauf les bonbons ... mais toutes les pâtisseries et les biscuits… miam… et puis… euh… je ne sais pas… je n’ai pas eut beaucoup de liberté ni assez d’expérience dans la vie pour pouvoir dire ce que j’aime dedans… et pour ce qui est de l’amour… j’en sais rien non plus.

Elle fit un large sourire alors qu’elle glissait encore deux ou trois fois entre chacune de ses paroles, elle arrivait quand même à ne pas tomber.

-Et vous ? au fait on va manger où ? quel type de restaurant ?

En disant cela malheureusement elle ne put retenir sa maladresse plus longtemps, elle s’effondra, non pas au sol mais sur son maitre qu’elle poussa alors qu’elle s’accrochait à lui pour ne pas salir son blouson dans la neige. Tout les deux au sol elle était toute rouge et s’excusa.

-Je… désolée… pardon… je suis maladroite… c’est l’un de mes plus gros défauts ! pardon !

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Le jeune homme continué a marché, il écoutait attentivement, ce qu’elle disait essayant de tous retenir, tous ce qui pourrait lui être utile pour que plus tard elle lui tombe dans les bras. Il aurait voulu baver à cette idée, mais aller au restaurant avec une stalactite entre les dents, ca le faisait pas trop. Il se concentré donc sur ce qu’elle disait. Elle parlait de gâteau. Lui ce qui lui plaisait c’était la brioche, enfin bref. Il se ressaisit, il ne devait pas nom plus devenir comme cela en sa présence. Mais elle ne connaissait rien a la vie, ni a l’amour. C’était vraiment trop beau, ou était le piège dans cette histoire. Enfin, pour l’instant il regardait la route, essayant de ne pas glissé. La jeune femme allait lui posait une question a lui, ou allait il mangeait, il avait repéré un petit resto pas loin.

- Et bien, je te propose…

Il n’eu pas le temps de finir avant de s’écraser sur une bonne couche de poudreuse. Oui il voulait qu’elle lui tombe dans les bras, pas sur le dos. Le jeune homme essaya de prendre cela avec pragmatisme. Peine perdu, il ne voyait qu’une seule façon de réparer cet affront, son Plant. Oui, son plant sadique, vil, tous droit sortir d’un esprit tordu, que jamais personne ne pourrait égaler. Pendant ce temps, la jeune femme se tué en excuse. Mais cela ne serait pas suffisant.

-Regarde ce que tu as fait, je ne vois qu’une seul façon de réparé ca, tu va devoir subir l’ultime punition. Prépare-toi.

Sa voix était grave, très grave, d’une main il ramassa quelques choses par terre. Enfin pas quelques chose, il ramassait la couche de neige. Sa vengeance serait terrible. Oui, cela serait la pire sentence.

- Bataille de boule de neige !!!

Le jeune homme venait de lancé le premier projectile, une jolie sphère de neige tassée qui alla s’écraser sur la tête de la jeune femme. Machiavélique n’est ce pas ? Oui, il était diabolique. Bon d’accord, il en faisait des tonnes. Mais maintenant son coté enfant reprenait le dessus. La kitsune avait intégrait a répliqué si elle ne voulait pas finir ensevelit sous une couche de neige.

-On rigole moins la.

Il était en position de force canardant la pauvre jeune femme avec des projectiles aussi froid que mouillé, heureusement pour elle le manteau en cuir était assez chaud.

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C’est quand il s’apprêtait à lui répondre qu’elle s’effondra sur lui et elle n’arrêta pas de s’excuser pensant que la réaction de son maitre serait mauvaise. Celui-ci prit un air grave, une voix grave aussi, il annonça qu’il ne voyait qu’une seule façon de réparer ce qu’elle avait fait alors qu’elle était à genoux devant lui. Elle commençait à se préparer au pire fermant les yeux alors que lui commençait à ramasser de la neige, en jetant la boule sur elle il cria « bataille de boule de neige ». Le projectile atterrissant sur son visage, d’autre suivirent rapidement alors que Miyoki resta sur place sans bouger surprise.
Il continuait son jeu, lançant toujours plus de boule de neige sur elle alors qu’elle ne répliquait pas, ne bougeait même pas dépitée peut-être de la réaction si puérile de son maitre.

-Euh…

Elle hésitait, à l’engueuler, à l’arrêter ou à répliquer, finalement elle attendit simplement, elle se laissait canarder de toute part, il se fatiguerait bien à un moment.

-S’il vous plait… monsieur…

Elle essayait de parler entre deux projectiles lancés, il n’avait pas l’air d’avoir remarqué qu’elle ne suivrait pas son jeu.

-Euh… arrêtez…

Il continuait toujours, elle perdit patience, se leva avant de s’approcher en bravant les attaque et de l’attraper par une oreille comme une mère qui viendrait punir son enfant.

-Bon ça suffit maintenant ! Je ne trouve pas ça drôle du tout ! Ce n’est pas vraiment une réaction à avoir, il fait froid, on vient de tomber donc on est trempé et après on ira se plaindre qu’on aura attrapé froid ! Maintenant ça suffit on reprend notre sérieux. Vous vérifiez peut-être que vous avez toujours les clefs de l’appartement et ensuite on reprend la route !

Là elle avait eut le naturel qui avait reprit le dessus, ce naturel d’être très adulte, cette habitude de reprendre qu’elle avait acquit en élevant Shin pendant toutes ces années. Elle c’était quand même rendu compte de ce qu’elle venait de faire, ce n’était pas à elle de donner des ordres. Elle lâcha d’un coup Angel et recula la main sur la bouche, elle baissa la tête ses cheveux venant pour cacher une partie de son visage.

-Je suis désolée… je n’aurais pas due…

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Le jeune homme était pantois, elle venait, elle venait de le grondé lui. Elle l’avait grondé comme on gronde un petit enfant. Il n’en revenait pas. Il resta quelques secondes sous le choc, Et le temps qu’il se remette de ses émotions, elle venait de s’excuser. Il vérifia rapidement s’il n’avait pas perdu les clés non, elles étaient toujours la. Ouf, elles étaient toujours la. Manquerait plus qu’il se fasse crier dessus. Enfin bref, il partit dans un éclat de rire, un grand éclat de rire. Oui il était gamin, trop peu être mais il allait sans doute bien s’entendre tous les deux. Il prit une voix puérile au possible, bien décidé a se moqué, enfin pas trop méchament.

-Oui maman, je m’arrête tous de suite. Mais veux une glace, maman veux une glace.

Il reprit rapidement sa voix normale. Bien décidé à savoir ce que signifié cette abus d’autorité, elle avait vécut beaucoup de chose, mais elle avait oublié de lui dire quelques choses, quelques choses d’important. Après tous, il n’y avait que les mères qui se comportaient comme cela.

-J’sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que tu as oublié quelques choses. N’y a que les mères qui réagisse comme cela, et t’es bien trop jeune pour être maman. Donc il y a autre chose. Je sais pas quoi, et je te le demanderais pas de me le dire. Enfin, s’tu veux mais j’te forcerais pas. Ce que je sais par contre c’est qu’il va falloir que tu retrouve un peu de ta jeunesse. La maturité ces biens, mais si on a pas de jeunes, si on s’écoute pas, si on vie pas un peu dans le fun, on pette un plomb. Alors décompresse reste cool, tu sais on a beau dire, le monde et bien plus beau quand on reste un gosse. Tu as plus de guerre, plus de problème. Je dis pas de tous le temps être comme cela. Mais détends toi de temps a autre, ca fait du bien crois moi. Enfin bref, j’pense qu’on va rentré direct, sinon tu as raisons on va attrapé froid, et je m’occuperais de faire un truc a bouffé, enfin, j’achèterais une pizza, pour le resto ce n’est que partis remise.

Il ne pouvait pas s’empêche de sourire, généralement personne ne lui parlait comme cela, elle avait du cran, et il aimait cela. Une raison de plus pour qu’elle s’intéresse a lui. Elle avait de la chance, la dernière fois que quelqu’un lui avait parlé comme cela le pauvre type avait fini avec le nez cassé, il avait 15 ans. Oui il était infernal. Un diable, et encore, le diable aurait était angélique comparait a lui. Mais au fond peu importe. Elle ne le savait pas.

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Alors que la jeune kitsune s’excusait de son acte et qu’elle gardait toujours la main devant la bouche, la tête baissée, son maitre lui ne réagissait pas encore, il avait l’air surprit, presque choqué de ce qui venait de se dérouler à l’instant. Elle entendit quand même qu’il l’avait écouté et il cherchait les clefs, il devait les avoir encore. Après ça il se mit à rire, d’un coup elle releva la tête alors que son bras était mollement retombé le long de son corps, elle resta sur le cul à le voir réagir ainsi alors qu’elle s’attendait plutôt à un retour plus violent que ça.
Entre deux rires il prit une voix d’enfant et prit la parole comme si elle était sa mère pour dire qu’il arrêtait mais qu’il voulait une glace, sur le coup Miyoki fut plus gênée qu’autre chose, voulant l’arrêter dans son élan, heureusement il n’y avait personne dans les parages grâce au temps qu’il faisait. Après ça il reprit rapidement sa voix normale, il c’était un peu moqué, gentiment. Il prit à nouveau la parole pour dire qu’il avait l’impression qu’elle avait oublier de lui dire quelque chose, que ce n’était que les mères qui réagissaient comme ça et qu’elle était trop jeune pour être maman, donc il y avait autre chose, il ne voulait pas lui demander même s’il voulait savoir, il lui laissait le choix de choisir pour le lui dire. Il rajouta qu’il fallait qu’elle retrouve de sa jeunesse que sinon dans la vie on pétait les plombs si on ne gardait pas un peu de jeunesses. Il lui dit de décompresser un peu que ça faisait du bien. après ça il annonça qu’ils allaient rentrer direct, qu’elle avait raison, qu’ils allaient attraper froid, qu’il commanderait une pizza et que le restaurant n’était que partie remise.

-je suis désolée… encore… de cet excès d’autorité… comme je vous l’ai dit à l’animalerie… j’ai perdu mon père, qui s’est suicidé après avoir été renvoyé de son travail et après avoir apprit la maladie de ma mère… je me suis donc retrouvée seule avec celle-ci à m’occuper d’elle… mais il y a autre chose… à la mort de ma sœur… j’étais avec un enfant de deux ans de moins que moi… cet enfant… on l’a gardé avec nous, avec ma mère malade j’étais la seule à m’occuper des deux… et j’ai dut donc devenir mature très rapidement… ne plus avoir de jeunesse pour qu’ils puissent vivre… ma mère mourante… nous sommes partis en ville… là je m’occupais toujours de ce garçon comme une grande sœur, une mère…. Mais c’était lui qui nous faisait vivre… je n’avais pas le droit de sortir de chez nous… à cause de ce que je suis… finalement il y a trois ans, je lui ais dit de partir, de me laisser… que j’allais vivre comme je le devais normalement, c'est-à-dire en tant qu’esclave… je lui ait donné la moitié de tout l’argent qu’on avait amassé jusque là et il est parti… je me suis rendue à une animalerie alors… transférée il y a un an dans celle-ci… j’ai toujours gardé cette maturité… ça ne part pas facilement… j’avais 7 ans quand ma mère est tombée malade et que j’ai perdue mon père… j’avais 7 ans quand j’ai dut devenir adulte prématurément, aujourd’hui j’en ai 21… ce sera très dur de me défaire de ça…

Elle baissa la tête s’avança vers son maitre sagement, ses neuves queues trainant mollement au sol.

-une pizza ça me va ce soir… le restaurant n’était pas important pour moi… au moins on s’installera… on sera au chaud…

Elle fit un timide sourire en relevant légèrement la tête vers son maitre qui était là. Finalement elle avait tout raconté cette fois, a part un lourd secret, comment était morte sa sœur, mais même elle n’était pas sure de cela.
Elle attendit Angel, pour qu’ils aillent chez lui, qu’ils s’installent.

[je te laisserais faire le prochain sujet dans l'appartement je l'ai fait dans le quartier ouest (me semble) là où ya tout les appartements]

» Sortie mouvementée [PV Zenpashi]
» Une sortie en ville, des retrouvailles[pv Hijiro et Ritsuka]
» J'aime les cages... [PV : angel]
» angel richard: Un ange démoniaque.
» "De retour chez nous" [pv Angel]