enfin au chaud.

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Il avait presque honte de ce qu’il venait de faire. Il ignorait tous ce qu’elle avait subit enfin elle lui en avait parlé mais sans doute trop rapidement pour l’espèce de légume qui lui servait de cerveau. Sa vie à lui était vraiment, facile, un peu trop peu être. Il n’avait vécut que dans un amour étouffant, et ou ses << Parents >> succombaient toujours a ses caprices. Ce qui avait de lui cet enfant turbulent, capricieux, et complètement centré sur sa personne. Enfin il se releva.

- N’hésite pas a parlé, après tous tu trouveras pt’ être un cœur sous le blouson de cuir. Plus sérieusement, tu as étais adulte trop rapidement, il est peut être temps que tu trouve un soupçon d’insouciance et t’en fais pas pour cela, je suis un as pour cela. Et arrête de t’excusais tous le temps, j’te l’ai dis, vais pas te bouffer. Je vais d’ailleurs te faire découvrir une des plus belles valeurs de notre société le repos. Ce soir ca sera soirée télé et pizza.

Il ne pouvait pas s’empêché de penser, effectivement, il était gamin, mais il avait des préoccupations loin de celle des enfants. Enfin, ca c’était une autre histoire. En plus il devait y avoir un ou deux film pas trop mal ce soir. Enfin bref, sans doute une bonne petite soirée en vue. Il continua a marché, qu’est ce qu’il détestait cela. Marché dans la neige était un calvaire. Enfin, bref, si ce fichu temps continué comme ca, il allait bientôt hiberné. Oui il était aussi feignant surtout quand la température était en dessous des dix degrés mais passons ce petit détaille. Ils étaient bientôt en vue de l’appartement, le jeune homme avec les quelques années qui avait passé à sécher les cours, et donc a arpenté les rues avait acquis un sens de l’orientation assez développé. Il s’était écoulé environs une dizaine de minute depuis leur petite discussion. Bref il tourna la clé dans le hall de l’immeuble. Et ne ferma la porte que quand la jeune femme était entrée dans cette pièce chauffée.

-Prend la chambre que tu veux, Je sais pas si tu dois te changer ou pas, après l’épisode de tous a l’heure. Moi je vais aller mettre le chauffage, ca nous évitera de crever de froid cette nuit. Mais d’abord je vais la commander cette pizza. On devrait avoir environs dix a quinze minute avant qu’on soit livrer a cause de cette fichu pellicule blanche. Bon je vais prendre deux trois fromage et un truc du genre gâteau a la crème pour toi. Perso le soir je mange light, donc pas de sucrerie. Ca te va ?

Il tapa rapidement sur son téléphone portable le numéro de la pizzéria du coin. Il y avait mangé quelques temps apparemment. Quand il avait fait le tour de la ville. Il passa rapidement sa commande, puis commença a allumé les radiateurs de l’appart. Cela fait, il ne restait qu’une chose à faire attendre la bouffe.

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La kitsune le regarda après avoir si bien parlé de son passé, il lui dit qu’elle n’avait pas à hésiter à lui parler qu’il y avait peut-être un cœur sous son blouson de cuir. Cela la fit sourire. Il dit quand même sérieusement qu’elle avait été jeune trop rapidement et qu’il était temps qu’elle troue un soupçon d’insouciance et que pour cela il était un as et donc il allait l’aider, mais intérieurement l’hybride se disait que ça allait être un peu le contraire, mais bon ils verraient bien comment cela se passerait à mesure du temps qui défilera. Il lui dit de s’arrêter de s’excuser tout le temps qu’il n’allait pas la bouffer et qu’il allait lui faire découvrir « l’une des plus belles valeurs de la société », le repos, il voulait lui faire faire une soirée pizza – télé.

-Désolée… de m’excuser tout le temps… j’arrive pas à m’en empêcher…

Elle avait rajouté ces dernières paroles, mais le silence s’installa ensuite. Ils avançaient se dirigeant vers l’appartement, enfin… elle, elle suivait parce qu’elle ne savait pas où c’était, mais lui n’avait pas l’air de trop hésiter et finalement, rapidement ils arrivèrent devant un immeuble, Angel ouvrit la porte du hall, la fit entrer, et enfin ils pénétrèrent dans leur nouveau chez eux. Là il prit à nouveau la parole pour lui indiquer de prendre la chambre qu’elle voulait, et qu’il ne savait pas si elle souhaitait se changer ou non après l’épisode précédent, lui il allait mettre le chauffage pour qu’ils n’aient pas froid cette nuit. Il allait quand même commander la pizza d’abord, et ils auraient 10 à 15 minutes avant d’être livrés. Il précisa quelles pizzas il allait prendre et un genre de gâteau pour elle.

-Le gâteau n’est pas nécessaire, je ne vais pas manger beaucoup… je n’ai pas l’habitude, je n’avais que des gamelles de nourriture jusqu’à maintenant. Je vais aller me changer par contre.

Elle déposa le blouson en cuir de son maitre sur le dossier d’une chaise délicatement avant de se rendre dans la chambre la plus petite et la plus simple où elle élira domicile. Elle déposa son sac sur le lit, fouilla dedans pour en sortir un nouveau kimono, beige comme ses cheveux, avec des décorations vertes ressemblants à des bambous. Elle ôta son kimono actuel qui était légèrement mouillé pour le mettre à sécher à plat. Elle mit son nouveau kimono sec avant de retourner voir son maitre dans le salon. Celui-ci était en train d’allumer les différents radiateurs, elle vint vers le milieu de salon regardant un peu plus précisément la décoration et chaque objet, en particulier dans la cuisine, pour se familiariser avec. Ce serait chez elle, et la cuisine serait en quelque sorte son territoire, elle aimait cuisiner et comptait bien faire marcher ce talent là.
Elle croisa le regard de son maitre et lui fit un grand sourire, elle resta quand même silencieuse, un peu timide, ne sachant que dire aussi.

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Bien, les radiateurs étaient maintenant tous en marche, et le repas n’allait pas tarder a arrivé. Il récupéra son manteau et le mit sur lui. Il ne le quittait jamais même quand il dormait. Il avait beau faire de moins vingt degrés a quarante, jamais personne ne l’avait vu sans. Pour vous dire a quel point il y était attaché. Elle était revenue avec un autre kimono de la même couleur que ses merveilleux cheveux. Il hésita sur le coup a se baffer. Ce n’allait quand même pas être une fille qui allait le radoucir. Enfin a vrai dire s’il l’espérait. Mais la partie indomptable de lui ne le voulait pas. Ou alors qu’il ne soit pas comme il était entrain de devenir, une espèce de vieux bombec qui était entrain de fondre au soleil.

Bon il était vrai que la jeune femme était particulièrement rayonnante dans cette tenue mais quand même. Bref, il voulu sortir de rêve ou de ce cauchemar. Enfin bref, l’un des deux, il ne savait même plus. Elle était maintenant dans la cuisine. Entrain d’observait les différents instruments et la disposition des lieux. Elle lui avait dit qu’elle ne mangeait pas beaucoup, car elle n’avait qu’une gamelle ? Il pensait avoir mal entendu, et maintenant qu’elle était la elle pourrait peut être l’éclairé.

-Excuse moi, mais tous a l’heure j’ai crus entendre des gamelles de nourriture, rassure moi, on vous donné pas a bouffé des croquettes. Enfin bref, moi j’dis ca mais ca m’inquiète un peu, mais ca m’expliquerait pourquoi t’a que la peau sur les os. Enfin bref. Eu j’espère aussi qu’t’es bonne cuisinière. Parce que moi, je freeze le zéro absolu. Enfin bref.

Elle lui fit un sourire. Lui aurait voulu faire plus, beaucoup plus. Elle était tellement belle. Tellement femme, bref, mais pour l’instant il se maitrisé. Il n’était pas presser. Pour l’instant, il ne voulait juste que faire un peu plus connaissance avec elle. Il verrait pour le reste. Il avait cependant l’impression d’oublié quelques choses. Les pizzas. Normalement elle devrait bientôt arrivait. Effectivement, un coup de sonnette le tira de ses pensées. Elle devait être encore chaude et lui avait faim. Très faim, pas forcément qu’alimentaire d’ailleurs mais bref. Il alla rapidement cherchait les pizzas. Au rez de chaussé le vendeur l’attendait. Il lui glissa un billet dans la main en guise de payement le remerciant au passage d’avoir fait aussi vite en vue des conditions météorologique. Bon il remonta rapidement. Et déposa le repas sur la table. Il convia la jeune hybride à s’assoir. Après tous elle aussi devait avoir faim. Sans doute pas la même que la sienne.

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Elle finit de regarder le tout dans la cuisine après avoir prit la parole, expliquant qu’elle mangeait peu. Angel réagit d’ailleurs à propos de la gamelle qu’elle avait mentionnée, il demanda de le rassurer sur ce propos demandant s’ils leur donnaient des croquettes à manger. Miyoki se mit à rire à ce propos alors qu’il continuait en annonçant qu’il s’inquiétait un peu et que ça expliquerait pourquoi elle avait la peau sur les os. Il rajouta qu’il espérait qu’elle soit bonne cuisinière parce qu’il était nul apparemment.

-pour les gamelles… et bien… c’est simple en faire… on avait une portion à manger, matin, midi et soir, cette portion c’était l’équivalent d’une gamelle moyenne remplie de nourriture adaptée selon l’animal avec lequel nous sommes croisé… par exemple moi j’avais beaucoup de viandes et quelques fruits, assez peu de légumes. C’était de la nourriture normale sauf qu’au lieu d’être dans des assiettes c’était dans des gamelles. On mangeait correctement, j’ai toujours eut la peau sur les os comme vous dites… c’est naturel chez moi. Pour ce qui est de la cuisine, c’est un art que j’ai apprit lorsque j’étais petite dans mon village, avec ma sœur, et je me suis toujours entrainée depuis, j’aime cuisiner et je pense que je cuisine bien.

Elle fit un nouveau large sourire alors que l’on sonnait à la porte. Angel alla chercher les pizzas pour revenir ensuite avec le tout qu’il déposa sur la table avant d’inviter Miyoki à s’assoir. Elle obéit et vint donc s’assoir sagement et attendit la suite.

-au fromage c’est ça ? je ne prendrais qu’une toute petite part…

Elle fit un nouveau sourire, elle préférait préciser ce qu’elle voulait avant qu’il ne lui serve trop de chose, le fromage n’était pas son truc non plus, vraiment la viande qu’elle aimait beaucoup.

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Ces explications le rassura un petit peu, heureusement qu’il ne mangeait pas de croquette, manquerait plus que cela. Que on leur donne des croquettes, quoi que il était sur que cela devait s’être déjà vu. Alors il ne dit rien. Enfin pas grand-chose. Tous ce qu’il pouvait dire c’était qu’effectivement, elle était réellement angélique quand elle souriait. Un coup de foudre, peu être, sans doute même mais qu’est ce que cela changeait. Après tous, elle ne s’intéressait sans doute pas à lui. Peut importe, pour l’instant il y avait une pizza qui l’attendait. Et on a beau dire, lui il ne se vivait pas que d’amour et d’eau fraiche, se serait plutôt pizza et bière. Quoi que, cela faisait un bail qu’il n’avait pas prit d’alcool. Donc on pouvait maitre cela entre parenthèse.

Il lui découpa rapidement une petite part. Bon ok elle ne prendrait pas une grosse part de pizza, mais si elle ne prenait pas beaucoup de pizza, elle mangerait le gâteau. Ou alors cela se finirait en bataille de tarte a la crème et vu le nombre extrêmement limité de projectile et vu qu’il aurait l’effet de surprise cela se finirait par le dénouement suivant : elle finirait remplis de crème. Et elle lui crierait sans doute. Mais passons.

-Bon, ok tu ne mange pas beaucoup de pizza, mais tu me fais plaisir tu prendras du gâteau non ? Si tu ne veux pas tous, j’en prendrais la moitié mais fait moi plaisir. Enfin, sinon j’espère tu as un autre kimono. Parce que je n’hésiterais pas a me servir de se projectile pour faire feu.

Vous le trouvez gamin hein, et encore vous n’avez pas tous vu. Il était capable de pire, bien pire. Oui il pouvait bien pire, mais passons. Après tous pour l’instant, il ne ferait rien, ou pas grand-chose du moins, juste un petit peu de bêtise.

-alors tu en prendras bien un petit peu non ?

Un petit sourire se dessina sur ses lèvres. Il était machiavélique. Bien sur enfin bref que dire d’autre. Eu pas grand-chose.

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Angel lui servit une part de pizza, elle la prit pour commencer à croquer dedans, doucement, mâchant bien sa bouchée, elle reposa sa part et se leva après avoir avalé pour se rendre dans la cuisine. Là elle se pencha, chercha dans tout les coins avant de s’exclamer et de revenir avec un rouleau de papier pour s’essuyer les mains après ce repas.

-ce sera plus pratique avec ça, non ?

Elle sourit, posa le rouleau sur la table, se servit une feuille avant de reprendre sa part de pizza et de recroquer dedans. Pendant ce temps son maitre prit la parole une nouvelle fois, il lui demanda de manger du gâteau un peu, pour lui faire plaisir et que si elle ne voulait pas tout il en prendrait la moitié. Il ne s’arrêta pas là car il la menaça qu’il pourrait s’en servir comme projectile si elle refusait. Elle soupira alors qu’il reprit avec un grand sourire qui se dessinait sur son visage, il insistait pour qu’elle en prenne. Elle finit sa bouchée actuelle avant de pouvoir répondre.

-J’en prendrais oui… mais pas beaucoup ! le soir j’aime pas trop manger… ce serait dommage de mal digérer… mais j’en prendrais… si ça peut éviter un gâchis de nourriture…

Elle fit un sourire timide avant de reprendre de la pizza, finir sa part même et s’essuyer la bouche et les mains avec sa feuille de papier qu’elle c’était prise précédemment. Elle reprit.

-Vous en prendrez avec moi, et si on le termine pas on le finira demain, dans le réfrigérateur il devrait tenir, moi j’en prendrais qu’une petite part, comme pour la pizza, demain je mangerais peut-être mieux.

Elle insistait sur le fait qu’elle ne voulait pas beaucoup manger, le stresse de la journée, les évènements qui c’étaient déroulés l’avait un peu fatiguée et elle ne pouvait pas beaucoup manger à cause de tout ça, elle était trop fatiguée. Le lendemain elle aura recouvré l’appétit, tant que le repas sera équilibré par contre, elle avait du mal avec tout ce qui était nourriture « rapide », elle avait besoin de manger équilibré et léger, et un peu élaboré, comme elle savait faire en fait, cela changerait surement le jeune homme de ses repas habituels.

-Au fait… j’avais une question à vous poser… Vous attendez quoi de moi ? Pourquoi m’avoir acheté ? Pourquoi vouloir un hybride ? Vous pouvez ne pas répondre… mais je suis un peu curieuse je l’avoue.

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La pauvre, il lui en faisait vraiment voir de toutes les couleurs et elle ne lui disait rien. Enfin bref, elle accepta quand même de mangé un petit peu. Il avait gagné, victoire pour le peuple, eu non victoire pour la mal bouffe. Mais passons. Le jeune homme aussi attaqué la pizza, non pas la part de pizza, la pizza en entier. Que voulais vous il n’en avait pas prit deux pour rien. Et pour dévorer ce morceau de pate avec deux sortes de succulent fromage industrielle dedans, et pour cela il avait une technique. Un peu une sorte d’as qu’il ne sortait que dans ses grandes occasions. Il plia la pizza en un cylindre puis l’enfourna directement le tiers dans se qui se révéla être une abime sans fond. En trois bouchée il finirait se qui aurait put nourrir un régiment. Enfin en attendant les bonnes manières non il connait pas. Apres ce petit contre temps il pouvait enfin répondre à la jeune femme. Enfin avant cela il essuya quand même le reste de garniture qu’avait coulé sur ce qui se révéla être le coin de sa bouche, mais vu toute le formage on pouvait se demandé si s’était de la pizza ou pas. Enfin bref maintenant que ca bouchait était fini et qu’il était a peu prêt présentable il pouvait enfin lui répondre.

-Bon, j’suis désolé, moi et les bonnes manières. Enfin bref, pour répondre a ta question, il faut que tu sache que depuis que j’ai vu il y a quelques mois le premier de votre race, et bien vous m’avez fasciné, après et bien pourquoi toi particulièrement, je ne sais pas. Enfin si je sais, je te trouvais un petit quelques choses que les autres n’avaient pas. Je ne serais pas le définir exactement, peu être ta maturité. Mais je n’en sais trop rien. Après ce que j’attends de toi, eu un ptit coup de main pour les taches ménagères, parce que ca j’ai jamais put les blairé. Pareille pour la cuisine. Mais surtout, je pense de la compagnie.

A vrai dire il n’était peu être pas tous a fait honnête. Mais il s’imaginait mal lui dire, ba écoute, en faite je suis à fond sur toi, et c’est pour ca que je t’ai acheté. Histoire que je puisse mieux te connaitre avant de passé à l’étape supérieur. Enfin bref, la il se serait carrément pendu. Il avait quand même un zeste d’égo. Il ne put s’empêchait de sourire cependant à cette idée. Ca aurait peu être eu le mérite d’être clair et de lui empêchait pas mal d’effort. Mais alors le jeu n’en aurait pas valut la chandelle. Il avait beau être un rebelle a la recherche de ses limites il avait quand même un cœur. Et puis, non il n’était pas du genre a couché juste pour cela. Il lui fallait au moins un ptit truc. Une petite attirance quoi. Enfin bref, il ne dirait rien de cela. Du moins, pas encore, peu être quand il se connaitrait mieux. Mais pas avant

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Avant qu’Angel ne réponde, Miyoki le regarda avec de grands yeux avaler en quelques bouchées sa pizza, c’était un ogre ! Rien qu’à le voir comme ça elle avait la nausée un peu… mais ça disparu bien vite quand il s’essuya la bouche pour lui répondre qu’il était désolé de ses manières et que pour sa réponse, quand il a vu pour la première fois un hybride il a été fasciné, après elle, elle avait quelque chose que n’avaient pas les autres et donc il l’avait prit. Après ce qu’il attendait d’elle c’était les choses classiques, le ménage la cuisine et de la compagnie. Elle fit un large sourire.

-Bon bah je pense pouvoir être capable de faire tout ça. Merci d’avoir répondu, et je suis désolée de ma curiosité.

Elle continuait à sourire, avant d’aller jeter sa serviette en papier. Ensuite elle revint vers son maitre.

-Euh… je suis désolée… je vais… aller dans ma chambre, je suis un peu fatiguée… je vais prendre une petite douche avant tant qu’elle est libre.

Elle fit une légère révérence à son maitre avant de se diriger à la salle d’eau après avoir récupéré un pyjama dans son armoire. Elle ne se ferma pas à clef, ayant peur de rester coincée, puis commença à se dévêtir pour déposer délicatement son grand kimono sur une chaise, elle fit couler de l’eau pour avoir de l’eau chaude puis prit une douche, simplement. Elle prit son temps, peut-être une trentaine de minutes, elle se délassait un peu, elle était tendue.
Après ça elle ressortie, se sécha puis mit son pyjama qui était une longue robe en faite, en soie, de couleur jaune un peu pâle. Elle récupéra dans ses bras ses affaires avant de passer par le salon pour trouver son maitre.

-Voila… la douche est libre. Bonne nuit.

Elle fit une dernière révérence avant de s’isoler dans sa chambre pour dormir. Là elle se coucha directement après avoir posé délicatement ses affaires sur une autre chaise. Elle ferma la lumière et s’endormie, d’un sommeil sans rêve, comme souvent. Le lendemain elle tacherait de se lever tôt pour préparer le petit déjeuner, elle avait oublié de demander à son maitre ce qu’il prenait pour celui-ci… ce n’est pas grave, elle l’attendrait pour le préparer donc.

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Elle s’excusa de sa curiosité, mais il ne comprenait pas pourquoi, après tous il était normal qu’elle lui pose la question. Après tous elle était quand même à moitie humaine donc, elle avait conscience de se qu’il se passait autour d’elle. La jeune femme n’étant pas un simple animale de compagnie même si c’était le cas dans les textes de lois. Enfin bref. La jeune femme s’excusa encore une fois. Elle devait aller se douché. Ce fut d’ailleurs un calvaire pour le jeune homme. Pour dire vrai, il aurait donné absolument tous ce qu’il pouvait en cet instant pour pouvoir la rejoindre. Ou bien juste pour aller l’observer. Il reprit ses esprits. En lui s’engagé un dialogue entre deux parties de sa personnalité.

*Angel, tu peux me rappeler, qu’elle est la première règle de ta vie.

Eux, toujours avec les doigts tes frittes tu mangeras. Eu non jamais tu n’appartiendras à quelqu’un.

Bien, est qu’est ce que tu es entrain de faire idiot. Tu tombes amoureux.

Et alors, il est où le souci.

Tu veux vraiment que je te le dise. Il est que bientôt tu seras a ses pieds et que comme les espèces de bouffon, tu ne pourras plus rien dire sans demandé l’accord de ton ptit bouchon d’abord, rien que d’y penser j’ai envi de vomir. Donc Angel va falloir choisir. Le pire ces quand même que tu t’intéresse réellement a elle, ce serait pour un soir, ok, j’aurais passé l’éponge. Mais va falloir choisir. Ce sera soit elle soit moi.

Tu sais quoi, je te haïs, enfin je me haïs. Tu sais bien que je ne peux pas choisir. Tu sais bien que je suis toi et que tu es moi. Alors pourquoi tu me le demande. On ne peut pas faire une exception, juste pour ce coup ci.

On commence par une exception, et on fini papa avec une maison et une famille, c’est ca que tu veux. Alors crois-moi. Abandonne-la, enfin abandonne toute idée qu’elle s’intéresse à toi.

Mais si je le fais je vais souffrir ?

Peut être mais ca sera que temporaire, six petits mois tous au plus, alors que si tu restes avec elle comme tu le voudrais, les gosses se sera au minimum vingt ans que tu va en bouffé.

Mais c’est peut être pas sur, elle veut peut être pas d’enfant.

Mais bien sur, et moi je suis le lapin de pâque. Ca n’existe pas une femme qui ne veut pas de mômes, sinon ce serait le paradis ca. Tu verras bien sur au début elles ne te le diront pas, mais un jour, ca sera une idée qui lui traversera l’esprit. Et après elle ne quittera ou te tromperas si tu n’es pas d’accord. C’est ca que tu veux.

Non tu as raison, je ne le veux pas. Alors fini l’amour. Bonjours le statut de célibataire. *

Trente minutes et une bonne migraine plus tard, le jeune homme voyait toutes ses belles résolutions partir en fumée. Pourquoi donc. Et bien il se révélait que le jaune allait particulièrement bien a la jeune femme. A moins que ce soit le faite qu’elle était en robe. Peu être un des deux, bref quoi qu’il en soit le jeune homme partis lui aussi ce douché. Et sortit quelques minutes plus tard. Lui aussi partis directement ce couché, mais contrairement a elle, sa nuit ne fut pas vide de rêve. Au contraire, Elle fut un long cauchemar. Mais pourquoi diable avait il franchis la porte de cette animalerie, ce jour la.

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Après sa douche Miyoki alla donc se coucher saluant son maitre au passage, celui-ci avait l’air normal a ses yeux elle était loin de se douter de la conversation qu’il avait eut avec lui-même pourtant juste avant qu’elle ne sorte de la salle de bain.
Elle s’en était donc allé dans sa chambre sagement, alors qu’Angel lui partait à sa suite dans la salle de bain pour prendre une douche. Couchée, elle ferma les yeux donc rapidement et son sommeil fut sans un seul rêve, simplement paisible. Le lendemain matin très tôt elle se réveilla, entièrement reposée, alors que le soleil n’était pas encore levé et qu’il ne risquait pas de se lever tout de suite. Elle avait peut-être deux heures devant elle avant qu’il fasse jour, bien assez pour pouvoir passer du temps tranquillement dans sa chambre. Elle sortie son coffret a dessin, déposa le tout sur le bureau qui était dans sa chambre et s’installa pour commencer à faire un paysage en calligraphie traditionnelle japonaise. Un paysage montagneux avec une petite maison traditionnelle au milieu, entouré de bambous, le tout avec uniquement quelques teintes de couleurs, du vert, mais aussi du orange et du rouge pour le ciel qui était alors représenté comme un coucher de soleil. Elle ne put le finir car elle sentit que les premiers rayons de soleils pénétraient dans sa chambre qui était parfaitement orientée de ce coté là.
Elle se leva alors, laissant son travail ainsi en plan. Doucement en silence elle passa à la chambre de son maitre pour entrouvrir la porte et voir s’il dormait bien. Il avait l’air, elle referma la porte délicatement alors et commença à récupérer son argent, à s’habiller sagement, d’un nouveau kimono rosé avec les bordures rouges et des dessins représentant des papillons. Elle mit des chaussures et sortie pour aller à une boulangerie qui ne serait pas trop loin. Là elle prit du pain frais, des croissants et autres pour le petit déjeuner, paya puis revint aussi vite qu’elle put dans l’appartement où il faisait bien meilleur qu’en dehors bien que le soleil était de sorti et illuminait la neige qui n’avait aucune marques. Rentrée, elle déposa le tout sur la table, fit une belle présentation, sorti deux bols qu’elle nettoya auparavant, elle attendit ensuite que son maitre se lève, en espérant qu’il ne soit pas lève tard. Qu’allaient-ils faire de la journée ? Elle se posait la question en l’attendant assise à la table dans la cuisine, elle avait déjà une idée de son côté, faire des courses et ensuite le ménage.

-Il doit être neuf heure… il ne devrait pas tarder… j’attends encore un peu… si vers dix heure et demi je ne le vois pas se lever je déjeunerais seule… et commencerais le ménage. Il y a à faire de ce côté-là… qu’est-ce que je pourrais faire à manger aussi ce midi ?

Elle réfléchissait à voix haute, le ménage attendrait l’après midi, les courses étaient plus importantes elle irait alors dès qu’elle aurait finit de manger.

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Effectivement, heureusement qu’elle ne s’avait pas lire dans ses pensées. Sinon et bien, elle se serait sans doute enfuit en courant. Cependant ca lui aurait sans doute bien facilité les choses. Mais tant pis, puisque elle n’était pas encore capable du don de télépathie il faudrait faire sans. Il était tard quand il se réveilla : Il était environs neuf heures et demie. Le soleil n’était pas encore très haut dans le ciel. Et à vrai dire, il avait froid. Le choix se posa alors. Se réveillé, et alors avoir a supporté la vue d’une merveille jeune femme. Oui ca posait un petit souci. Il ne devait plus la voir, de peur de continué a tombé amoureux. Amoureux il l’était déjà. Mais il préférait croire à un petit coup de foudre. Enfin c’était peu être le cas. Mais allons voir la seconde proposition, restait sous la couette et ne jamais en sortir.

L’option deux étant apparemment très peu réalisable, et bien il ne restait pas grand-chose à faire a part se lever prendre son courage a deux main. Et faire comme si de rien n’était. Il se leva donc. S’habilla, remit sur son nez ses fameuses lunettes et réenfila le manteau en cuir. Il faisait pourtant très bon dans l’appartement. Mais cela ne le déranger pas. Il se dirigea rapidement vers la salle de bain histoire de se recoiffé. Enfin vu la coiffure qu’il avait d’habitude on pouvait se demandé si c’était le cas ou pas.

Une fois ceci fait, il revint à la salle ou était disposé croisant, pain frais, jus de fruit. Enfin bref tous ce qui était nécessaire pour bien démarré la journée. Il croqua rapidement dans une des croissants. Et bien, elle était décidément bien gentille cette jeune femme. Oui, trop gentille. Bien trop gentille. C’était décidément un gros problème. Par que si elle continué a être aussi sympa avec elle, et bien lui, il ne pourrait pas l’évité.

-Jt’e remercie, mais fallait pas faire tous cela, a cette heure. On a le temps, tu sais tu peux dormir hein. Ce n’est pas moi qui vais t’obliger à te lever à 7 heures du matin pour faire le ménage et la cuisine. On a tous notre temps. Enfin bref, si t’as besoin d’un p’tit coup de pouce, pour quoi que ce soit, et bien je t’aiderais volontiers.

Effectivement, il l’aurait aidait, peut être aurait il fait plus même que ce qu'elle lui demandé. Sa partie égoïste avait raison. Etre amoureux c’est être obligeait d’être dépendant des autres. Mais peu importe, après tout. Dépendant il l’était de ses beaux yeux, et cela depuis la première fois qu’il l’avait vu. Mais bon, ca c’était une autre histoire. Alors bon il ne dirait rien . Il avait beau avoir la langue bien pendue et bien bizarrement en sa présence, il était presque gentil. Et cela si on lui avait dit. Il aurait rit, mais alors rit. Enfin bref que dire d’autre. A si quelques choses, il était a peu près sur que dans les quelques minutes qui viendrais il aurait sans doute le ballais a passer. Mais il ne dirait rien.

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[dsl c'est court...]

Son maitre se leva finalement vers les neuf heures et demi, elle l’avait attendu sagement assise et en entendant qu’il se réveillait elle c’était relevée pour le saluer quand il arriverait. Il vint, « peigné », habillé, à nouveau avec son blouson et ses lunettes qu’il avait l’air de ne jamais quitter. Il vint s’assoir, elle mit de l’eau à chauffer alors. Il croqua dans un croissant et prit ensuite la parole pour la remercier de faire cela à cette heure mais qu’elle pouvait dormir qu’ils avaient le temps et qu’il ne l’obligerait pas à se lever à 7h du matin pour faire le ménage et la cuisine ils avaient tout leur temps. Il lui proposa aussi son aide si elle avait besoin, elle fit un large sourire en se servant l’eau chaude dans une tasse.

-Je n’ai aucunement besoin d’aide, et je me lève naturellement à cette heure, par habitude… cela ne me dérange pas de faire du ménage ou de préparer le petit déjeuner ainsi, ça me fait même plaisir. Tu veux du café ? Du thé ? Quelque chose d’autre de chaud ?

Elle attendit debout, attendant que son thé infuse avant de préparer ce que son maitre lui demanderait.

-Dès que nous aurons fini avec le petit déjeuner je t’abandonnerais un moment, j’irais faire des courses pour que l’on puisse manger à midi, ensuite je préparerais le tout et cette après midi… je commencerais un peu de ménage… tu pourras faire ce que tu veux en attendant sauf si tu auras besoin de moi… tu n’auras qu’à me demander.

Elle refit un large sourire, sortie le sachet de thé de sa tasse avant de rajouter du sucre et de prendre alors une tartine pour pouvoir la manger ensuite avec son thé pour son petit déjeuner, elle ne prendra rien de plus. Un verre de jus d’orange tout au plus et c’est tout.

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Et voila qu’il avait l’impression de retombé en enfance, elle faisait tous. Non pas que cela le dérange bien au contraire mais lui aussi avait besoin de s’occupé. Il se mettrait donc à la recherche de quelques choses histoire de passé le temps. Il y réfléchi rapidement. Quelques chose de sympa, et faisable chez soit. Se déplacé a heure fixe, très peu pour lui. Ne fallait pas pousser. Hum quoi donc, écrivain. Non il était vraiment nul, que ce soit ses lettres ou les quelques rares mots qu’il se donnait la peine d’écrire tous étaient remplis de faute d’orthographe. Quoi d’autre peintre ? Non, ses rares desseins dataient de la maternelle, et vu leurs mochetés, il valait mieux oublier. Hum, il n’était cependant pas trop mauvais dans les mauvaises blagues. Mais ca malheureusement on n’en cherchait pas.

Il était toujours dans ses pensées lorsque la jeune femme lui proposa une boisson chaude. Il hésita un court instant. Entre un chocolat chaud et un café. Puis, il choisi ce coup si ce serait un café. Assez dilué avec un sucre. Il les aimait comme cela. A vrai dire, il n’était pas vraiment un grand consomateur. Mais bref.

- Ouaip, un café, s’il te plait. Mais pas trop fort. Et si je peux avoir un ptit sucre en prime ca s’rait le paradis.

En réalité, ce n’était pas le café, son paradis mais plutôt celle qui lui apportait. Il ne fit cependant aucun commentaire de peur que sa partie sauvage ne rapplique et ne lui donne un fichu mal de tête. Alors pour ne pas la tenté.

Elle reprit encore la parole. Lui expliquant qu’elle partirait sans doute faire les courses, puis le ménage. Enfin lui, il s’en moquait pas mal. Enfin elle ne mangeait pas beaucoup. Et il ne put s’en empêchait.

-Ok, pas de Souci, par contre tu ne manges pas beaucoup, t’es sur de tenir jusqu'à midi avec cela. Au fait, j’ai une petite question. Enfin c’est pas très important mais est ce que tu sais lire et comptait. Enfin, moi je te dit ca c’est histoire de te filait un coup de main au cas ou, ca pourrait t’évitais quelques soucis un de ses quatre. Enfin bref.

Il croqua dans un autre croissant en attendant la réponse de la jeune femme. Et il se remit a pensé sur ce qu’il pouvait faire et ne pas faire. C’était vraiment ca question du jour. Comment meublé tous ces temps libres.

Invité

Il lui demanda un café, elle lui fit, pas trop fort, elle ne mit pas trop de grain alors. Prêt elle lui servit avec un petit sucre comme il lui avait demandé, elle fit tout cela avec un sourire radieux pour enfin s’assoir à ses côtés et manger avec lui. Enfin… surtout boire son thé. Il demanda si elle allait tenir avec le peu qu’elle avait manger et demanda aussi si elle savait lire et compter, que ce n’était pas important mais que c’était histoire de l’aider un peu si elle avait des soucis un de ces quatre.

-Je suis sure de tenir oui, je mange peu et je tiens parfaitement et en très bonne santé. Pour ce qui est de lire et compter je sais faire tout ça, vu que j’ai dut vivre seule avec Shin… j’ai dut apprendre jeune, très jeune avec mes parents encore.

Elle fit encore un sourire radieux envers son maitre, finit son thé et commença à ranger ce qu’il n’utilisait plus. Fit u n brin de vaisselle pour ses affaires et attendit ensuite son maitre pour finir de ranger. Elle hésita légèrement avant quand même de se lancer dans une question.

-tu… tu voudras m’accompagner pour les courses ? j’aurais peut-être beaucoup de sacs à prendre et donc besoin de bras pour porter le tout, il y a pas mal de chose à récupérer pour tout ce qui est ménage et cuisine, il y a des ustensiles qui ne sont pas en bon état et il manque certains produits, sans compter qu’on a rien pour manger pour les repas. Enfin voila… j’aurais peut-être besoin d’aide pour cette fois-ci.

Elle eut un petit rire gêné, elle n’osait pas trop demander ce genre de chose, ça allait peut-être l’embêter, les courses… en général les hommes n’aimaient pas les faire, surtout pas simplement pour suivre bêtement et porter les sacs, et elle lui demandait ça finalement, elle n’avait besoin de lui que pour ça, seule elle ne s’en sortirait pas du tout.

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Elle s’exécuta immédiatement, décidément elle avait vraiment toute les qualités cette jeune femme. Jolie, souriante, gentille, jolie, jolie… Jolie comment ca je me répète ? Enfin bref, elle répondit a sa question. Déjà elle savait lire et écrire. Bon il faudrait peut être revoir quelques légère choses, mais dans l’ensemble elle devait pour se débrouillé. Bien, il dégusta son café, très bon d’ailleurs. Pas trop sérer mais pourtant gouteux, enfin bref, il était bon quoi. Il la vit pendant ce temps s’éloigné, pour faire la vaisselle. Elle était courageuse, lui ne pouvait généralement pas y touché. Un peu comme l’eau bénite et les vampires, il aurait fondu sans doute au contact du liquide vaisselle. Mauvaise foi ? Non, il ne connait pas. Quoi que peu être que pour faire plaisir a la jeune femme il l’aurait faite, mais sinon n’y comptait pas. Enfin elle lui posa une question. Enfin, vu le ton génné de sa voix, il s’attendait a quelques choses d’un peut plus, enfin d’un peu moins. Enfin de quelques choses quoi, mais pas de ca.

Mais voyons le coté positif de la chose. S’il l’aidé, et bien peu être se ferait il bien voir. S’il se faisait bien voir et bien peu être que.

*Angel qu’est ce que je t’ai dis, arrête. Tu te fais du mal.

Mais j’en ai rien a faire de ton avis. T’as beau être moi, je te demande pas ton avis, enfin mon avis. Je tombe amoureux si je veux. Et je ne vais pas me laisser faire.

M’en fout, ce n’est pas moi qui va finir avec des gosses. Mais attends voir, si c’est moi qui vais finir avec des gosses. Je t’en pris, je t’en supplie même, arrête cette folie. Je ne suis pas prêt, je ne suis pas prêt. Je te déteste Angel, je te haïs.

Tien c’est fou comme les rôles change, tous a l'heure j’étais a ta place.

Bien ce petit débat étant clos, il pouvait enfin s’attaqué a la réponse. Oui, fallait juste trouver quelques chose a répondre. Euh… Try again. A moins que . try aigain. Ou alors. Game over… Enfin bref, il fallait le dire, effectivement, la il était foutu, il ne savait pas quoi dire. Enfin si mais comment le dire. Mais bien sur, bien sur que je suis prêt a t’aider, je peux même faire plus si tu veux. Euh non . Bon essayons cela.

-Bha, écoute si j’ peux te filais un coup de main d’accord, j’ai rien a faire de ma journée. Et puis, t’ en fais déjà beaucoup, un peu trop même donc oui j’ vais t’aider un petit peu. Pour ce qui ai des repas tu as raison, et même si l’idée ne me déplairait pas, mangé des pizzas tous les jours, ce n’est pas possible. Tant pis alors. Bon par contre moi je sais pas ou il faut allé. Tu sais peu être toi. Au pire on ira au hasard vu la taille de la ville, il dois pas avoir trente six endroits possible.

Bon effectivement, comme premier sortie en amoureux, il s’imaginé autre chose, par exemple la plage, ou même un cinéma. Parce que les courses ce n’est quand même pas vrai classe. Enfin bref, faut faire avec ce que l’on a.

Invité

Il eut l’air de réfléchir un moment, un bon moment même pendant lequel, il fit de drôle de mimique, comme s’il se parlait à lui-même mais qu’il n’était pas d’accord avec son autre lui. Miyoki s’en moquait de toute façon il faisait ce qu’il voulait c’était certes louche mais c’était son problème et non le sien. Quoi qu’il en soi, elle finissait de débarrasser la table quand il eut fini de manger alors qu’il répondait enfin qu’il était d’accord pour lui donner un coup de main qu’il n’avait rien à faire de sa journée et qu’elle en avait déjà beaucoup fait et donc qu’il pouvait se permettre de l’aider un peu. Pour ce qui était des repas elle avait raison les pizzas tout les jours ça n’allait pas aller. Il rajouta qu’il ne savait pas où aller pour les courses et qu’il ne devait pas y en avoir beaucoup vu la taille de la ville. Elle fit un large sourire.

-Le magasin n’est pas loin, et il y a un tabac presse à côté il me semble, j’ai eut le temps de regarder des cartes quand j’étais encore en cage donc je devrais pouvoir me repérer facilement. Bon… alors… nous n’allons pas tarder, on fini de se préparer et on y va ? ça ne sera pas long je ferais vite.

Elle continuait à sourire, oui elle comptait torcher cela vite fait, elle n’aimait pas spécialement faire les courses mais c’était une nécessité.

Une fois qu’ils furent prêt, ils se rendirent sur place, dans un petit supermarché dans le quartier qui avait tout ce qu’il fallait, elle récupéra tout ce dont elle avait besoin en faisant le tour de tout les rayons et se retrouva avec le chariot pleins d’articles divers, de nourritures, de produits ménagers et de quelques ustensiles de cuisines. Dès que tout fut dans le panier et l’inventaire fait elle indiqua à son maitre qu’ils pouvaient payer, cela revenait cher au final mais ce serait ça de moins ca faire. Au total ils eurent besoin de six grands sacs de courses, elle en prit trois et laissa les trois autres au soin d’Angel pour qu’ils rentrent. La matinée était maintenant bien entamée, et dès qu’ils rentreraient elle pourrait commencer à préparer le repas du midi, et elle avait déjà une idée précise de quoi préparer.

Ils arrivèrent dans leur appartement, Miyoki souriait encore et déposa ses sacs de courses sur la table avant de se tourner vers son maitre.

-Merci de m’avoir aidé… tu peux faire ce que tu souhaite je vais commencer à préparer le repas et ensuite… nous auront un petit moment d’attente avant de manger. Cet après midi nous serons libres, tu pourras faire ce que tu voudras et si tu ne veux pas que l’on sorte alors je me mettrais au ménage.

Avant de partir faire à manger elle préféra attendre la moindre réaction d’Angel.

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Il était encore tôt quand il avait fini. Il la suivit. En réalité comme il le savait, et bien il joué juste les transporteurs. Enfin bref, si elle n’avait pas était aussi mignonne et bien disons le sérieusement, il l’aurait laissé se débrouillé. Mais les choses changeaient, au grand malheur de sa part libre. Angel, schizophrène, non, juste amoureux. Mais les vieilles habitudes du passé prenaient quelques fois le déçut. Alors ne vous inquiétez pas, il ne vous assassinera pas, quoi que, s’il aime votre blouson…

Enfin bref, ils arrivèrent rapidement à l’appartement. La il déposa le tous. Il était en réalité heureux de s’être débarrasser de cette tâche ingrate. Elle le remercia, enfin, il espérait un peu plus notre petit Angel. Mais il ne dit rien. Laissant sa frustration qu’elle part au fond de lui. Au moins quand elle lui tombera dans les bras, le bonheur n’en serait que plus intense. Enfin, fallait qu’elle lui tombe dans les bras. Mais bien sur qu’elle lui tomberait dans les bras. Cette fille lui faisait perdre la tête. Il avait intérêt ne serais ce pour sa santé mentale a trouvé une activité. Enfin, pour dire vrai, il avait intérêt à trouver un job tout court : il avait beau avoir un peu d’argent de coté, ce ne serait pas le cas éternellement. Et puis il fallait le dire, il se faisait chier. Enfin il ne se voyait pas resté comme une larve sur le canapé. Non, il avait besoin de mouvement, c’était dans sa nature. Enfin, bref.

- Pas, de souci J’t’ai dis si j’peux t’filais un coup de main, pas de blême. Mais juste une question, qu’est ce que l’on bouffe ? Question de curiosité, enfin j’te prévins je suis habitué qu’au fast food et co, alors je serais sans doute difficile. Mais bref, bha pour cette aprèm j’en sais rien. J’ai pas de projet. Enfin si pt’ être me trouver un job. Mais ca je verrais.

Il se calla dans un canapé, et fit une sieste. Il s’endormit comme cela, étonnant non ? En réalité angel était un de ses hommes qui avait la capacité de faire totalement abstraction du monde qui l’entourait. Enfin il se réveilla quand même. Histoire de d’avertir la jeune femme.

-j’suis désolé, mais quand je fais rien, je m’endors. Mais dès que le repas sera prêt tu n’auras pas besoin de m’appelé. Je me lèverais de moi-même. Le ventre, n’est jamais au repos.

Oui, il était comme ca Angel. Il replongea dans se sommeil immédiatement, peu importe le temps qu’il durait, de deux heurs a 2 secondes, il dormait. Et il ne s’en portait pas mal. De toute façon, son ventre jouerait un réveil convenable.

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Miyoki continuait à lui sourire il lui répondait que si elle avait besoin qu’il n’y avait pas de problème, il demanda juste ce qu’ils allaient manger par curiosité ajoutant qu’il était habitué au fast food et qu’il serait sans doute difficile, cela ne serait pas dérangeant elle lui réapprendrait au fur et a mesure à manger comme il faut, oui, équilibrer et il ne mangera plus de fast food. Pour l’après midi il n’avait rien de prévu sinon peut-être se trouver un travail mais rien de plus.

-D’accord, on verra alors cet après midi on a encore le temps, pour ce qui est du repas j’allais faire du poulet cuit façon asiatique, avec des nouilles des petits légumes un peu de lait de coco et tout ça, cuit au wok, j’espère que ça te plaira, ça te changera beaucoup des fast food de manger ce que je te préparerais.

Elle commença en disant tout cela à sortir tout ce dont il lui fallait pour préparer le repas, Angel lui commençait à aller dans le salon pour s’assoir dans le canapé, là il s’endormit vaguement avant de prévenir l’hybride qu’il dormait quand il ne faisait rien qu’elle n’aurait pas besoin de la réveiller quand ce sera prêt il se réveillera naturellement.

-D’accord.

Elle ne rajouta rien, certes c’était assez désolant de voir ça mais c’était comme ça. Elle s’affairait au travail en attendant, pendant qu’elle laissait la viande cuire seule elle continua à ranger toutes les courses, hyperactive elle s’afférait partout dans la maison, n’oubliant pas tout ce qui était sur le feu. Très rapidement tout fut prêt, trente minutes au totale de préparation et de cuisson, avec le rangement en plus, c’était convenable. Elle mit la table ensuite et attendit encore le temps que le plat refroidisse un peu, elle le mit sur un plat avec une présentation digne d’un grand restaurant avant de mettre le tout sur la table et d’attendre que son maitre se réveil seul.

[dsl pour le temps que je mets à rep, j'ia quelques soucis en ce moment qui ne me permettent pas de répondre... beaucoup)

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( exuse moi, moi aussi j’ai eu quelques soucis. Je suis désolé. Et en plus je suis pas inspiré. )

Le jeune homme se réveilla. Le doux fumet du plat titillait, ses narines. Oui, il était cuit à point, assaisonné, avec plusieurs épices. Cumin, coco, coriandre, gingembre. Il avait était nourris toute sa vie de nourriture bas de gamme. Son estomac quand a lui, avait un potentielle. Un très grand potentiel. Enfin bref, il se leva, s’étira rapidement, à la manière des chats. Tous en baillant légèrement. Il avait bien dormis. Peu mais bien. Il était l’heure de manger. Il se dirigea donc vers la salle de bain, pour se nettoyé sommairement les mains. Il retourna a la salle a mangé, s’installant autour d’un table qui ressemblait plus a celle d’un restaurant cinq étoile que celle de sa maison. Il se devait de complimenté la jeune femme.

- Bha dit donc, j’dois mettre loupé d’adresse, j’ai commandé un ptit repas indien pas une soirée dans un grand resto moi. Non, sérieusement, je te félicite. Je n’ai jamais vu, une table aussi belle. Par contre, j’ai deux questions. La première, niveau épices : je pense le sentir d’ici, mais je me trompe peu être, est ce qu’il y aurait pas du cumin, de la coriandre, et du gingembre en plus de la coco dans le plat ? La seconde, s’est sur moi. Qu’est ce que tu pense de moi, parce que je sais bien que je dois être un maitre pitoyable. Mais je veux savoir jusqu'à ou.

Il s’installa sur la chaise. Il observait la jeune femme. Il voulait juste la vérité. Et il saurait si elle lui mentait. Il se sentirait. Il avait toujours était perspicace. Et il ne comptait pas s’arrêtait aujourd’hui. Bien, maintenant il n’avait pas d’autre chose à faire qu’attendre. Il détestait cela bien sur. Mais que faire d’autre. Si effectivement il faisait autre chose. Il jouait, jouait avec ses doigts, comme le font les enfants en présence d’un adulte quand il s’apprête à se faire grondait.

Il ne pouvait pas s’empêchait de se faire des films. En réalité il manquait un peu d’assurance. Oui derrière ce blouson noir ce caché un cœur. Un peu noir, mais tellement jolie sous cette couche.

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Il ne mit pas longtemps à se réveiller, il avait eut raison son ventre était donc son réveil et il ne c’était pas trompé, pile quand elle avait finit de tout préparer à croire qu’il l’avait fait exprès, qu’il ne dormait pas vraiment et qu’en fait il avait tout surveillé en faisant semblant. Il se leva en silence, se dirigea dans la salle de bain pour se laver les mains avant de revenir s’installer à table. Il complimenta la présentation en annonçant qu’il avait commander un petit repas simple et non une soirée dans un grand restaurant, il la félicita et demanda quand même ce qu’il y avait comme épices, du cumin de la coriandre du gingembre de la coco.

-Il y a de tout ça du garam masala aussi pour relever un peu. J’espère que cela te plaira.

Il posa aussi une seconde question, ce qu’elle pensait de lui, parce qu’il devait être un maitre pitoyable et il voulait savoir jusqu’où.

-Tu n’es pas un maitre pitoyable… tu es juste un peu… enfantin ? tu aurais surement plus besoin d’une mère ou d’une autorité plus qu’un esclave… enfin je pense… enfin… c’est comme ça… sinon à côté tu es très gentil. Enfin je trouve.

Elle fit un large sourire alors qu’à son tour elle s’asseyait à table, elle le servit pour qu’il puisse commencer à manger tranquillement, ensuite elle se servit elle et souhaita un bon appétit dans sa langue natale, par réflexe, joignant ses mains rapidement devant elle en fermant les yeux avant de regarder son maitre.

-Itadakimasu…. Euh… Bon appétit.

Pour rapidement passer sur son erreur qui la fit légèrement rosir elle commença à manger, maintenant ils le pouvaient elle avait souhaité bon appétit donc c’était bon. Elle mangea simplement. Dès qu’elle aurait fini elle attendrait que Angel finisse pour débarrasser, par contre il n’y avait pas de dessert, peu de fromage qu’elle avait acheté ce matin, du chèvre un peu de bleu, du saint nectaire…

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L’autorité, qu’est ce que c’était que cela. Il ne l’avait en réalité jamais respecté l’autorité. Pour lui ce terme n’avait jamais eu aucun sens, il avait toujours vécut en faisant ce qu’il lui plaisait quand cela lui plaisait. Enfin peu être était il pas si mauvais que cela. Une remarque cependant le fit rire intérieurement, lui gentil, elle ne le connaissait pas. En réalité il était un véritable démon, une espèce de monstre, il n’était gentil a vrai dire que pour elle. Chose extrêmement bizarre, puisque jamais il n’avait fait cela. En réalité dans son corps se jouait une des plus grande bataille qu’il pouvait y avoir. Comparé a cela 2012 était disney land.

*Cerveau cortex de la raison.

- Mais viré moi ces fichu hormones, passé la commende, et bougé vous. Ca va devenir un purée de bazar si tous cela est lâché dans l’organisme. Il risquerait même de devenir amoureux, vous ne vous rendez pas compte amoureux. Cela serait la fin de ma carrière. Allé bougez vous, on a encore quelques petits millièmes de seconde avant la prochaine offensive du cortex des sentiments. Mettez-moi en liaison avec eux.

-cortex des sentiments bonjours.

-Oui ici le cortex de la raison, annulé vous hormones, et bougez vous. Vous savez ce que qui va se passé sinon.

-Biensûr que l’on sait. Mais c’est trop tard, les stocks de dopamines, ocytocine, et adrénaline sont au maximum. Vous avez perdu la guerre. C’est trop tard. Bien trop tard. Allé renoncer, après tous vous savez bien que vous ne pouvez pas lutté

-Non on a encore une carte dans notre manche. C’est.

Le ventre viens de rejoindre votre conversation.

-Vous êtes gentils tous les deux, mais il y a de la bouffe a proximité, et j’ordonne au complexe reptilien de s’en saisir. J’ai faim, je dois manger, Manger. MANGER.

Cortex de la raison.

-Viré moi cela, allez vite, a ou j’en étais. A oui j’ai encore des ressources, je me vois dans l’obligation d’empêché la fabrication de neuromédiateur. Ainsi tes hormones seront complètement inefficaces.

-Mais tu ne va pas bien. Tu va complètement bousiller le cerveau et nous avec. Si tu fais cela, tu va cramer toutes les émotions créant une personne sans aucun sentiment. Ou alors et bien pire tous risque de ce mélanger. Ca va être apocalypse. De toute façon, les hormones sont déjà parties.

- a Oui, tu la joue comme ca. Je me lance moi aussi dans les hormones. Tien prend, ca. Adrénaline, cortisol, noradrénaline. Ca va lui fiché un petit coup de stress bien placé ca.

- Tu gagneras pas, je vais passer a la vitesse supérieur. Les hormones du désir. Tu ne gagneras pas, je te l’ai déjà dit. Testostérone, endorphine, et de la lulibérine pour le contact.

-A oui, bha si c’est ca je coupe circuit le cerveau.

- tu n’oseras pas, tu sais ce que ca peut signifier.

- bien sur et alors. Au pire, il restera un peu plus con encore, ca changera pas beaucoup. Allez les mec on coupe tous. Non pas tous quand même on le met en état de légume, plus de pensé, on garde juste les fonctions vitales.

Tous s’éteint il ne reste qu’une petite loupiote rouge.

*

Pendant ce temps a l’extérieur le jeune homme ce sentait mal, il avait chaud, froid, peur, il était heureux. Puis plus rien. Et puis le dernier sentiment était le plus fort. Il avait envi de lui sauté dessus, et commettre l’irréparable. Mais il se contrôla. C’était cependant de plus en plus difficile. Et puis plus rien.

Il tomba la tête dans l’assiette, complètement inconsciente. Le cerveau était complètement déconnecté, réduit à l’état d’une simple patate. Quoi que non, une patate aurait eu à ce moment un Q.I supérieur au sien. Enfin bref, il barbotait sereinement dans une assiette de poulet. Si c’était de la soupe il se serait noyé.

Invité

Miyoki était contente de pouvoir faire plaisir en faisant à manger. Elle lui avait répondu tellement simplement à tout ce qu’il avait demandé mais finalement lui n’avait pas réagit, en fait il ne bougeait même plus, comme si son cerveau avait bugué. La jeune Kitsune à 9 queues vint le voir, se levant de sa chaise, passa sa main devant son visage pour voir s’il réagissait mais rien. Ce n’était pas normal.
D’un coup, sa tête commença à vaciller et vint finir sa course dans l’assiette pleine sous les yeux ébahit de la jeune hybride, voila qu’il lui faisait un malaise. Rapidement quand même la jeune femme réagit le releva en le tenant par le col, il avait perdu connaissance tout simplement. Gardant son sang froid elle le prit dans ses bras le portant avec quelques difficultés quand même pour l’amener au plus vite jusqu’à sa chambre, d’un coup de pied léger elle ouvrit sa chambre dont la porte était entrouverte puis vint poser Angel sur le lit, l’allonger, le mettre sous les draps. Il ne bougeait toujours pas. Rapidement elle récupéra un gant qu’elle humidifia avant d’éponger le front du garçon.

-ca y est ? Tu commence déjà à me faire faire du souci…. Comme un enfant…

Elle avait dit ça machinalement en s’occupant de lui, elle prit sa température en posant sa main sur son front, il était à peine chaud. Bah ça ne devait pas être grand-chose. Elle se leva, s’absenta un instant puisqu’il était toujours dans les vapes, elle plia tout le repas et revint ensuite avec un morceau de sucre et un verre d’eau qu’elle posa sur la table de nuit. Assise sur le bord du lit elle continuait à éponger son front.

-Bon… si… dans 10 minutes il ne reprend pas conscience il faudra que je l’amène à l’hôpital… ça pourrait être plus grave…

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*

-Ici l’âme j’appelle les deux cortex cérébraux de la raison et des sentiments. Je vous ordonne immédiatement d’arrêté vos âneries, si vous continué, j’arrête immédiatement toute mes activités dans ce corps, et vous savez ce que cela veux dire. Non, et bien je vais vous le rappeler moi. Il va devenir une coquille vide dans les 5 premières minutes ou je serais partis et après, il cessera de vivre tous simplement. Et vous avec. Vous avez donc intérêt a vous calmez.

Le discours était simple, et les deux cortex savaient bien, il n’y avait donc plus qu’une chose a faire, déposé les armes. Enfin pour l’instant.

-Ok on dépose les armes. On redémarre le cerveau. Mais.

Ils n’eurent pas le temps de finir. Que l’âme les coupa une fois encore.

-Bien mais ce n’était que la première condition, car vous allez encore devoir faire quelques choses. Enfin surtout ne pas faire quelques choses. Ce que je veux dire c’est que vous ne devez plus intervenir dans les amours de ce jeune homme.

-Mais ses nous qui en sommes à l’ origine, comment tu veux que on ne s’occupe pas de ses amours. Non parce que t’es bien gentil, mais si ce n’est pas a nous de nous en occupé, et bien je ne vois pas a qui tu peux le demandé.

L’âme avait effectivement oublié se détail, comment régler ce souci. Le seule rôle de l’âme était juste de jugeait le bon est le mal. Et selon les actions prisent de s’élevait ou de se rabaisser. Bien sur, une élévation était préférable. Enfin, pour l’instant il fallait régler cet épineux problème. Il avait peu être une idée.

-Mais cela ne marchera jamais. Tu ne va quand même pas me dire que tu va essayer cela.

*

Voici ce qu’avait répondu la raison. Mais avait-il le choix. Bon il laisserait donc a l’âme le droit a la parole. Un cas extrêmement rare. Enfin, voici le message de l’âme a jeune hybride.

-Ici, l’âme, nous avons un message pour la jeune femme appelé miyoki. Nous avons besoin d’un renseignement, si celui-ci ne nous est pas fourni, le risque de guerre interne et donc avec lui de la destruction du cerveau risque d’être imminent. Nous avons donc besoin d’une réponse claire et précise. Voici les éléments qui vous permettrons de mieux comprendre Le cas. Le cortex des sentiments, et celui de la raison n’arrivent pas a ce mettre d’accord. Le premier veut que notre hôte vous aime, le cortex de la raison lui ne veut pas d’amour, car cela l’obligerait a renoncé a sa vie égoïste. Ce que vous pouvez être sur, c’est que vous ne nous êtes pas indifférente. Ce qu’il nous faut savoir c’est si cela est réciproque ou non. Sa mémoire n’en sera rien. Mais, si vous l’apprécier le cortex des sentiments continuera a produit des hormones, et il vous couvrira d’attention. Sinon, et bien vous serez pour lui qu’une amie, et ce sera la raison qui triomphera. Vous avez les cartes en main, mais dépêchez vous de choisir. L’état ou il se trouve, ne doit pas durait indéfiniment. Vous avez donc 24 heures pour nous donnez votre réponse : Il y a-t-il une chance pour que vous tombiez amoureuse de lui, ou alors n’y a-t-il aucun espoir. Il en va de sa vie. Si vous ne pouvez pas répondre, il risque d’y avoir d’autre guerre, et alors son cerveau serait sans doute endommagé. Souvenez-vous, vous avez vingt quatre heures avant qu’il ne reprenne connaissance. Et si vous n’êtes pas capable de répondre, et bien il risque d’avoir quelques problèmes, enfin a vous de voir.

Invité

Elle était toujours à son chevet et finalement les 10 minutes annoncées étaient passées mais elle ne l’avait toujours pas amené à l’hôpital, manquant de courage peut-être et espérant qu’il se remette seul, elle se posait des questions surtout sur ce qui était arrivé alors qu’il semblait en forme. Alors qu’elle se posait toutes ces questions en épongeant le front d’Angel une voix s’éleva du corps sans pour autant que les lèvres de son maitre bougent.
D’abord elle fit un bond en arrière, surprise mais se calma bien vite quand la voix se présenta comme étant l’âme d’Angel. C’était nouveau ça, les âmes pouvaient parler indépendamment des corps ? Peu importait, Miyoki revint auprès du corps en écoutant alors qu’on s’adressait à elle. L’âme avait besoin d’un renseignement si celui-ci n’était pas fourni il y aurait de gros risques pour la vie du garçon. On l’informa du fait que les sentiments et la raison étaient en désaccord et que le premier voulait qu’il l’aime et l’autre ne le voulait pas, elle pouvait être sure au moins qu’elle ne lui était pas indifférente mais ça elle l’avait déjà remarqué. Ce qui était le plus important d’abord c’était en fait savoir si elle l’aimait ou voulait l’aimer ou si il n’y avait vraiment aucune chance, en fonction de sa réponse alors la raison ou les sentiments « gagnerait » et ils deviendraient plus alors ou resteraient de simples amis. On lui laissait une journée, vingt-quatre heures pour y réfléchir et donner une réponse, au delà de ce délais il serait trop tard pour Angel. La voix « s’éteignit » alors laissant la jeune kitsune sur le cul.

-Euh…

Elle était bien embêtée sur le coup, face à cet ultimatum, elle ne savait que répondre.

-Mais je sais pas moi-même s’il y a la moindre chance ou non… Mon cœur s’est refermé en quelque sorte a cause de LUI… parce que j’ai dut le laisser… ça ne se commande pas les sentiments… Et pour le moment il m’est plus sympathique qu’autre chose surtout que voila… Il est assez gamin… non il l’est trop en fait… trop pour moi… un temps. Je ne sais pas si cela marcherait de toute façon entre nous à cause de ça, j’aurais besoin de le remettre trop souvent dans le droit chemin comme une mère alors plus qu’une personne proche comme il le souhaiterait alors… Je ne sais pas ce que je pourrais vous répondre…

Elle se tut un instant, ses oreilles étaient basses ses queues trainaient derrière elle au lieu de flotter comme elles le faisaient auparavant. Elle fit demi-tour dans la pièce pour marcher sans grande force jusqu’à la porte, là elle s’arrêta jeta un dernier regard sur Angel sur le lit avant de reprendre la parole puis de sortir.

-Il me faut un moment pour réfléchir… j’ai besoin aussi de vérifier une chose je donnerais ma réponse après.

Elle se traina en fait jusqu’à sa chambre, pour s’agenouiller devant son bureau où elle avait laissé auparavant son sac avec les dernière affaires qu’elle n’avait pas rangé. De dedans elle e sorti un cadre avec une photo, elle avait sa sœur jumelle, puis un autre avec ses parents et sa sœur et enfin un dernier, avec LUI, Shin. Elle serra ces photos contre elle avant de sembler prononcer quelques mots sans qu’aucun son ne sorte de sa bouche. C’est comme si elle priait en fait… et c’est ce qu’elle faisait en quelque sorte, elle invoquait les défunts mais ceux-ci ne viendraient pas elle le savait. Elle soupira alors et regarda le portrait de Shin, c’était une photo qui datait d’avant qu’elle ne se fasse esclave, il était si beau sur cette photo et souriant, encore innocent.

-Je ne te l’ai jamais dit à toi… je n’ai jamais osé pensant que tu ne me considérais que comme une sœur alors que nous n’avons pourtant aucun lien de parenté… Aujourd’hui je suis fasse à ce problème et je sais pertinemment que mon cœur va encore vers toi… bien que je sais aussi très bien que je dois t’oublier… ou plutôt oublier ces sentiments, ce garçon aurait alors toutes ces chances… il n’est pas moche loin de là… il est gentil… on se connait encore peu et ce sont des choses qui demandent un peu de temps à l’origine… je ne sais vraiment pas quoi faire aujourd’hui… soupire. Bah… je ne te verrais probablement plus jamais… ou alors ce ne serait qu’une fois, une unique mais tu risque de ne jamais me retrouver… il faut que je t’oublie… je peux bien ouvrir mon cœur à d’autres... je ne pense pas que tu m’en veuille pour ça…

Elle approcha son visage du cadre pour embrasser la photo avant de la ranger à nouveau, avec tous les autres cadres dans son sac. Elle se leva ensuite prit une grande inspiration avant de retourner dans la chambre.

-âme… j’ai fais mon choix, mon cœur est ouvert s’il veut m’aimer alors qu’il m’aime, il me faudra peut-être un peu de temps au début, mais je ne vois plus aucune raison pour qu’il ne puisse rien y avoir entre nous. Il faudra bien sur qu’il me séduise…surement avant, mais je pense qu’il en est capable.

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L’âme était entrain de s’en mordre les doigts. Enfin s’elle en avait. Ce n’était pas le cas après tous. Agir comme il l’avait fait. Ce n’était pas bien. Et il savait de quoi il parlait, après tous c’était a lui de définir ce qui était bien ou pas. Il était l’âme, celui qui permet de jugeait. Celui dont le but et que l’individu s’élève. Pénétré dans le monde des humains était un crime généralement, c’était pour cela que les âmes ne parlaient pas. Ou alors, il n’y a que le corps qui peut entendre son âme. Mais parler comme cela s’était interdit. Enfin, il continuait a la l’observait. Il voyait se qui se passé, après tous, les âmes ne sont elles pas omniscientes ? Mais il n’avait pas a la jugeait. Elle devait faire son choix toute seule. Peut être que son âme viendrait l’aidé elle aussi ? Mais ce n’était pas ses oignions. Il voyait tous ce qui se passer dans la chambre d’à coté. Ainsi son cœur était déjà pris. Elle ne pouvait donc pas choisir tout de suite. Et pourtant elle était obligée d’en prendre une. Ce n’était pas ce qu’il voulait elle devait au moins avoir le choix. Elle revint vers lui. Et lui dit son choix. Il lui répondit de la manière suivante.

- Tu es courageuse, mais tu te mens si tu crois que ton cœur est libre. Il est déjà prit, et je peux le sentir d’ici. Tu ne sais pas quoi choisir. Ton cœur est encore troublé par ton passé. Et tu ne sais pas quoi faire. Alors écoute-moi bien. Je ne devrais pas intervenir sur ta vie. Car je suis son âme, et uniquement la sienne. Je vais donc juste te donnais ce conseil. Car il te reste encore pas mal de temps, et je peux t’en avoir un peu plus. Retrouve celui qui te hante et va le voir. Vois par toi-même si tu l’aime encore. Car en choisissant mon hôte par défaut, tu seras sans doute malheureuse pour le restant de ta vie. La décision t’appartient bien sur mais essaye quand même de le retrouver. Il t’aidera si tu veux. Et restera parfaitement neutre avec toi pour ne pas fausser ce temps de réflexion. A toi de voir car tu as toutes les cartes sont en mains. Tu as donc une semaine si tu le souhaites a partir de maintenant pour le retrouvé, ce sera le temps maximum que nous pouvons t’offrir. Je sais que c’est peux. Mais c’est tous ce que nous pouvons t’obtenir, de plus je pense que avoir fait ce que j’ai fais va m’apporté que des ennuis. Mais ce n’est pas grave. Sache juste que tu es la première à avoir une conservation avec l’un d’entre nous. Je t’enverrais un signe pour commencé les recherches. Si tu le veux bien sur. Mais dis-moi vite ta réponse. Je ne suis pas sur que nous pourrons le maintenir dans cet état encore longtemps.

Effectivement, le jeune homme commencé a remué dans son sommeil. Le maintenir dans cette état demandé une grande dose d’hormone. Et le problème était surtout qu’il ne devait pas rêver. Le rêve pourrait entraver la discutions entre l’âme et le corps. Car les deux l’âme et le rêve sont en réalité très proche. Ainsi si le corps devenait le port parole de l’âme, il pouvait aussi devenir celui du rêve. Et cela aurait pour conséquence que le corps agisse comme dans un rêve. Ce qui pourrait avoir de grande conséquence, surtout selon la nature du rêve. Je vous laisse imaginé ce qu’il se passe lorsque un cauchemar ou pire un rêve tous a fait autre prend le contrôle de votre corps. Enfin pour l’instant c’était sous contrôle. Espérons-le du moins

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